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Parler des vins Bio …en respectant la loi !

Vignerons Bio Nouvelle-Aquitaine édite ce mois-ci un pense-bête pour mieux communiquer sur les vins biologiques.

 

Le vin Bio a le vent en poupe : les surfaces connaissent une progression à deux chiffres, et la demande continue d’augmenter. Logique, donc, d’en parler,  mais l’agriculture biologique répond à des règles strictes. Ce guide rédigé rappelle les règles d’une communication conforme à la loi.

« Si c’est Bio, c’est certifié ! », « Embrouiller n’est pas jouer », etc. des chapitres simples pour bien s’y retrouver

« Le vin Bio plaît, et on a l’impression que certains souhaitent se positionner sur ce créneau, sans suivre les contraintes de la réglementation Bio. C’est mentir au consommateur. Et c’est injuste pour les 1.336 vignerons de Nouvelle-Aquitaine qui se font contrôler chaque année pour pouvoir afficher le logo Bio. » déclare Aude Planty, Présidente de la Commission Communication de Vignerons Bio Nouvelle-Aquitaine. Le pense-bête édité par Vignerons Bio Nouvelle-Aquitaine rappelle donc les fondamentaux d’une bonne communication, en s’appuyant sur des exemples très concrets : respecter la période de conversion, rappeler le caractère européen de la Bio, etc.

Un guide adressé aux professionnels, pour une communication complète et juste

Le guide rappelle l’existence d’un autre outil : le Mémorandum des Vins Bio, publié en décembre 2020. Ce document très complet recense les derniers chiffres de la filière viticole Bio de Nouvelle-Aquitaine (production, marché, etc.), ainsi que l’ensemble des atouts de la viticulture biologique. « Avec ces deux documents, les professionnels pourront parler de la Bio en étant sûr de ne pas dire de bêtises. Nous poursuivons ainsi le travail de pédagogie que développe Vignerons Bio Nouvelle-Aquitaine depuis sa création » complète Aude Planty.

 

Consulter le pense-bête.

Une réponse à “Parler des vins Bio …en respectant la loi !”

  1. Embrouiller n’est pas jouer ? dit :

    Lutte contre les dérives sectaires et anthroposophie
    15e législature
    Question écrite n° 13035 de M. Yannick Vaugrenard (Loire-Atlantique – SOCR)
    publiée dans le JO Sénat du 14/11/2019 – page 5695
    M. Yannick Vaugrenard attire l’attention de M. le ministre de l’intérieur sur l’anthroposophie, cette « philosophie » inventée par Rudolf Steiner, qui se veut proche de la nature et qui voit le monde comme mû par des forces spirituelles. Considérées comme fantaisistes par les scientifiques, les théories antroposophiques ont prospéré dans le domaine de la médecine, l’agriculture, l’éducation et la banque.
    Dans l’agriculture, les thèses de l’anthroposophie se basent sur la biodynamie, technique consistant à cultiver en prêtant attention au cosmos et qui se caractérise par l’application de principes ésotériques et astrologiques, tels que l’influence de la lune et des planètes sur les cultures, ou la capture des énergies cosmo-telluriques dans les cornes de bovins enterrées dans le sol. Ces rituels sont liés à la cosmologie religieuse du fondateur de l’anthroposophie. Dans le monde de l’éducation, l’anthroposophie a directement inspiré les écoles Steiner, du nom du fondateur de cette doctrine, qui fournissent une pédagogie alternative. Dans le domaine de la médecine le journal « Science et avenir » dans un article pointe le « scandale de l’Iscador, médicament anthroposophique anticancéreux » à base de gui fermenté, vendu en France selon ce journal sans autorisation.
    En France, toutes les associations de lutte contre les dérives sectaires mettent en garde contre l’anthroposophie, et certains s’inquiètent des liens qui pourraient exister entre l’anthroposophie et certains ministères, notamment suite à un article en faveur de la biodynamie publié dans la revue du ministère de l’agriculture.
    Aussi, il lui demande de lui confirmer, comme cela fut indiqué en séance de questions au Gouvernement au Sénat le 2 octobre 2019 : que les missions et les moyens de la mission de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES) ne seront absolument pas remis en cause, à la suite de la décision de la rattacher à son ministère ; que la nouvelle organisation ne se réduira pas à la lutte contre une seule forme d’emprise, que l’ensemble des dérives sectaires sera appréhendé dans le cadre de ses missions, et que la vigilance restera de mise quant à cette question de l’anthroposophie

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