fbpx

Accueil / Evénements / Infaco, l’appli pour géolocaliser fils coupés, piquets cassés, pieds malades.

Infaco, l’appli pour géolocaliser fils coupés, piquets cassés, pieds malades.

Mon-vitiUne application accessible à tous et gratuitement mise à disposition par cette société reconnue pour ses sécateurs électriques. Extraits du reportage Mon Viti.com.

 

 

appli_infaco

« L’idée est très simple, grâce à cette application, vous remplacez vos petits bouts de papier par des prises de notes numériques, explique Christophe Gout, directeur du bureau d’étude de l’entreprise basée dans le Tarn. Prenons un exemple : lors de la taille, le vigneron ou un salarié, avec son sécateur, coupe un fil. Deux solutions : soit la réparation est faite immédiatement si l’on a le matériel à disposition, soit un repère matériel en bout de rang permettra de faire la réparation ultérieurement. La logique de repérage est la même avec un piquet défaillant ou un tuyau d’irrigation percé. Cette méthode fonctionne, mais avec les outils connectés actuels il est possible de l’optimiser. »

 

Avec l’application Infaco, les points à déclarer (PAD) sont immédiatement géolocalisés, caractérisés et archivés. L’utilisateur ouvre l’application Infaco, choisit dans une liste pré-établie la nature du problème et en un « clic » le PAD est automatiquement géolocalisé. Régulièrement, l’administrateur du compte peut faire un point des tâches remontées par ceux travaillant dans les vignes. « L’application donne une vision globale de l’état du vignoble. C’est un avantage pour planifier les réparations et le matériel à commander », estime Christophe Gout qui précise que le système peut tout aussi bien être utilisé à d’autres fins : « l’administrateur peut paramétrer des PAD pour repérer les pieds atteints de flavescence dorée, de maladies du bois, des pieds cassés ou manquants mais aussi des tâches de mildiou ou encore de black-rot…. Demain, nous souhaiterions créer des passerelles avec des éditeurs de logiciels dont les viticulteurs ont déjà usage afin d’importer leur parcellaire« .

 

 

Lire l’article complet

 

 

 

 

Enregistrer

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *