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Evolution de la consommation de Vin en France en 2015

Logo France-AgrimerExtraits de l’enquête FranceAgriMer Octobre 2015. Enquête réalisée tous les 5 ans depuis 1980 : recul des non consommateurs

 

 

Un recul des non consommateurs
En 2015, pour la première fois depuis 1995, la part des non consommateurs de vin recule au profit des consommateurs occasionnels.

Les personnes ne déclarant pas consommer de vin représentent un tiers de la population. Toutefois, il semblerait que cette donnée soit plus faible. En effet, certaines personnes ne considèrent que les vins tranquilles lorsqu’on leur pose la question sur leur consommation de vin (par exemple, le Champagne n’est souvent pas considéré comme du vin). Le pourcentage des consommateurs réguliers (consommant du vin tous les jours ou presque tous les jours) se stabilisent après une baisse régulière depuis 1980.

Etude 2015 France-AgrimerAu total, il y a plus de consommateurs de vin en 2015 mais la consommation est plus occasionnelle. Le vin est passé d’une composante de repas à une boisson culturelle.

 

 

La perception du vin s’améliore
Entre 2010 et 2015, on observe un regain d’intérêt pour le vin. En effet, une plus grande part de la population déclare aimer son goût. De même, on note un changement positif dans la perception de consommation du vin en dehors des grandes occasions. Cette tendance se corrèle avec le goût des français pour plus de cuisine depuis quelques années et avec le retour du fait maison, des émissions culinaires et l’association des mets avec du vin. On peut ainsi noter que lors de repas améliorés sans invité, la non présence de vin était de 50% en 2010 alors qu’elle n’est que de 39% en 2015.

 

 

L’apéritif : la nouvelle manière de boire du vin ?
La part des français qui ne consomment jamais d’apéritif diminue à chaque enquête (23% en 2000, 15% en 2015) du fait peut être d’apéritifs dinatoires qui se développent. Si l’on considère les vins consommés le plus souvent (donc au moins une fois sur deux), on s’aperçoit que les vins blancs sont en tête suivis par les vins rosés (vraisemblablement pénalisés par la période de réalisation de l’enquête de part leur consommation saisonnière). On retrouve l’idée que le vin rouge, consommé pour 13% des français au moins une fois sur deux, est une boisson qui est associé à la prise de repas à table, à la différence des vins blancs et rosés.

 

 

Télécharger l’enquête FranceAgrimer

 

 

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