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Des sites Internet viticoles encore très statiques

AtemL’enquête réalisée en mars 2011 pour l’Agence Fleurie et la société ATEM montre que la plupart des sites internet viticoles sont encore souvent trop statiques. L’internet viticole est dans une logique de vitrine en ligne plus que dans la construction d’un lien avec ses clients et fournisseurs. 75 % des châteaux ne font pas de mises à jour des sites.


Des rythmes de mises à jour faibles et hétérogènes

Si 89 % des châteaux interrogés ont un site internet consacré à leur domaine existant ou en cours de création, ces sites sont souvent une simple vitrine, une plaquette en ligne.  Seulement 25 % d’entre eux font des mises à jour régulières à un rythme  au moins trimestriel.

Des contenus encore limités

25 % des châteaux ayant répondus ont un site conçu pour être consultable depuis un téléphone mobile. C’est peu quand on connaît le rythme de développement de l’Internet mobile, parti pour dépasser l’internet fixe dès 2015 selon la célèbre analyste américaine Mary Meeker.

20 % des châteaux utilisent les réseaux sociaux. C’est peu mais on note que 40 % des personnes interrogées utilisent déjà un réseau social à titre personnel, le pas est donc en train d’être franchi. Il le faut puisque les réseaux sociaux, Face Book en tête deviennent aujourd’hui les nouveaux portails d’entrée sur Internet.

20 % seulement des châteaux ont une vidéo sur leur site. Pourtant la vidéo est aujourd’hui un contenu très attractif pour l’internaute et un webreportage professionnel est accessible pour quelques centaines d’euros.

10% des châteaux qui ont un site internet proposent l’achat de vin via leur site  et seulement 3% d’entre eux proposent des transactions directes. Ici l’obstacle n’est plus technique mais en logistique et en terme de réseau (exclusivités à des agents commerciaux).

L’enquête
Réalisée entre le 29 mars et le 4 avril 2011 par téléphone par une étudiante en BTS en Services en Espace Rural.
L’enquête a été menée auprès de 131 châteaux de la rive droite de Bordeaux. Enquête réalisée pour le compte de l’Agence Fleurie et la Société Atem (Contact : contact@atem-sas.com).

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