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Édito : l’Union fait la force…

Plus que jamais il est temps de comprendre à Bordeaux que d’évoluer ensemble et d’une même voix est primordial…

 

Photo (c) JB Nadeau

Photo (c) JB Nadeau

Malgré-tout des signes de relance

A la suite d’un millésime 2021 à la climatologie difficile, d’une certaine stagnation de la demande des vins bio comme des produits alimentaires d’ailleurs, de désunions professionnelles multiples, il existe quelques signes positifs de relance.

 

Au moment d’écrire ces lignes, les résultats officiels des Foires aux Vins ne sont pas connus. Cependant, face à un recul en 2020 de près de 2% en volume et de 1,3% en valeur, il semblerait que les chiffres connaissent une légère progression cette année. Place désormais aux salons locaux et de Vignerons Indépendants pour constater si le public se déplace et ne se contente pas de commander par internet.

 

Un besoin de faire front ensemble

Mais de la pacification du climat social dans le monde du vin d’une part et d’une communication intelligente d’autre part dépendront les succès de demain.

 

Que des divergences de points de vue existent, c’est bien normal et d’ailleurs tout à fait propice à une saine réflexion, mais « halte au feu » et aux critiques faciles, parfois destructives, Bordeaux se doit de présenter un front uni. C’est la seule réponse positive à notre avis pour enrayer la crise qui touche ses vins.

 

 

Bernard Sirot
Journaliste et dégustateur Vintaste
(c) Photo JB Nadeau

 

3 réponses à “Édito : l’Union fait la force…”

  1. Reyes Karin dit :

    Bravo! Je vous félicite pour cet article constructif et encourageant!

  2. Bravo Bernard. Ton optimisme me plait. « L’union fait la force » C’est pas la devise d’un pays que nous connaissons bien? Peut-êrte faudrait t’il mettre un belge à la présidence du CIVB 🙂 Ton analyse est incomplète: Pacifier le climat social et une communication intelligente ne suffiront pas au succès de demain.il faut également revoir la gouvernance, la commercialisation, l’exigence qualitative, et mettre le consommateur au centre du débat. La crise des vins n’est pas conjoncturelle mais structurelle. Il faut commencer par l’admettre pour changer la situation. Ne regarder que la communication serait suicidaire.

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