Après un repli en 2009, le exportations ont atteint un record en 2012 grâce au dynamisme des vins haut de gamme sur les marchés de Chine, Hong-Kong, Royaume-Uni et Etats-Unis
Le dynamisme des vins « haut de gamme » s’explique par l’expansion des quantités exportées et par une hausse du prix moyen. Leur part dans les exportations en valeur reste modeste mais tend à s’élargir au détriment des vins « bon marché » (moins de 2 euros). En 2012, les vins « haut de gamme » constituent ainsi 31% des exportations en valeur, contre 2% pour les quantités exportées (voir graph.3).
Les vins du « milieu de gamme », dont les prix s’étagent entre 2 et 20 euros, expliquent le reste du redressement des exportations de vins depuis 2009. Leur croissance vient surtout de la progression des quantités.
Les vins « bon marché », à moins de 2 euros, ne participent que de façon très marginale à la bonne tenue des ventes de vins depuis 2009, en raison de la quasi-stagnation des quantités exportées. En 2012, ils représentent 13% des exportations en valeur, mais encore près de la moitié des quantités vendues.
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