Le Château travaille avec plusieurs bouchonniers dont les usines sont situées à EYSINES (AMORIM) et CESTAS (DUCASSE), en Gironde. Le liège utilisé provient essentiellement de forêts de chêne-liège du Portugal qui jouent un rôle essentiel dans l’équilibre écologique mondial, la lutte contre le changement climatique, la lutte contre la désertification et le maintien de la biodiversité. DUCASSE s’est engagé depuis plus de 10 ans auprès de l’association Le Liège Gascon pour remettre en production les suberaies locales (forêt exclusivement composée de chênes-lièges).
Un seul bouchon peut absorber plus de 300 g de CO² La quantité de CO² retenue par un bouchon peut compenser la quantité de CO² émise lors de la fabrication d’une bouteille en verre. Les forêts de chêne-liège sont aussi de véritable puits de carbone. Un chêne-liège « exploité » (sur lequel le liège est prélevé), renouvelle de manière naturelle son écorce et absorbe de 2,5 à 4 fois plus de CO² qu’un arbre non exploité.
Les bouchons de liège sont écologiques par nature, mais le recyclage les rend encore meilleurs pour l’environnement ! Ne jetez plus vos bouchons à la poubelle, il existe une filière de collecte parallèle et solidaire: trouvez le point de collecte le plus près de chez vous. Le Château Brown quand à lui donnes ses bouchons périmés ou usagés à l’association AGIR CANCER GIRONDE.
Il s’agit du 1er chai de Gironde construit en paille porteuse, technique où la botte de paille a un rôle structurel en plus d’être un isolant thermique.
La ressource en paille est aujourd’hui de plus en plus sollicitée dans les programmations territoriales, en tant que matériau biosourcé pour la construction. Venez visiter le 1er chai en Gironde en paille porteuse à utiliser cette technique, pour atteindre les exigences de la biodynamie.
Visite en groupe du chai Clos Dufourg : 172m² de murs en paille, 570 bottes de paille, avec un enduit terre
Le projet d’un chai en paille est né de la volonté de Christophe Landry, viticulteur à Arsac (33) d’appliquer la notion de terroir dans sa globalité !
Merci à lui de nous accueillir pour cette visite qui sera animée par : Christophe Landry, viticulteur Château des Graviers ; Eddy Fruchard, charpentier, SCOP Bois & Paille (79) ; Isabelle Melchior, architecte, Brin 2 Paille (24) ; Lila Pommier, enduits (79) ; Raymond Paillas, enduits (47).
Le cluster INNO’VIN, structure unique en France, fédère l’ensemble des acteurs de l’écosystème vitivinicole, principalement autour de Bordeaux et Cognac : il rassemble aujourd’hui plus de 170 entreprises (producteurs et fournisseurs), institutions et centres de recherche. Acteur de la compétitivité de la filière, il a pour mission de faire germer et d’accompagner des projets d’innovation en favorisant les rencontres. Véritable réseau d’experts, INNO’VIN propose de nombreux évènements thématiques pour les professionnels, ainsi que des services individuels pour ses adhérents : mises en relation, présences à coûts réduits sur salons, veille et information ciblée, actions collectives etc. Depuis sa création en 2010, INNO’VIN a accompagné avec succès plus de 100 projets.
www.innovin.fr
Après plus de 20 années d’amitié forte, Jérôme FELICI, Françoise ROGER et Bruce ROGER ont décidé de créer en septembre 2020 la société Oenope, dont le nom est une contraction des mots « Oenologie » et « Europe », et cela fait sens : « Notre identité culturelle européenne, franco-italienne en particulier et notre passion pour le vin nous ont conduits à créer OENOPE avec l’ambition première de faire découvrir les vins italiens aux français et les vins français aux italiens. » explique Jérôme. « Depuis de nombreuses années, nous faisons profiter nos familles et amis de nos découvertes de vins, de territoires viticoles d’exception et de vignerons de talents. Désormais, nous voulons faire découvrir au plus grand nombre ces pépites, leur permettre de voyager et de vivre des moments de partage et de plaisir autour de nos vins. »
Pour partager le plus largement possible leur passion pour ces vins italiens et français, les trois amis ont digitalisé les ventes entre amis au profit de tous. Au rythme d’une vente le jeudi toutes les deux semaines, les clients français pourront découvrir les vins d’un domaine italien en vente exclusive sur leur site internet, de même les clients italiens pourront découvrir les vins d’un domaine français en vente exclusive sur leur site internet. En ce moment et jusqu’au 17 juin, ils peuvent découvrir les vins Piémontais du Domaine TOJO et ses appellations « Moscato d’Asti DOCG », « Langhe DOC » et « Langhe » (cépages Moscato Bianco, Favorita et Moscato Bianco di Canelli).
OENOPE travaille sur un autre projet, totalement iconoclaste : créer dés cette année son vin « Made in Europe », le premier vin engagé, solidaire, témoin de l’identité et des valeurs de l’Europe, ce projet a déjà été récompensé par « The European Culture of Solidarity Fund » en septembre 2020.
« La cuvée OENOPE est le témoin de l’alliance des vignerons européens, nombreux à être confrontés aux difficultés économiques, environnementales et aujourd’hui sanitaires. » explique Jérôme. « C’est aussi le vin de l’engagement des consommateurs à valoriser le travail de ces producteurs en s’assurant de par leur acte d’achat du respect de leurs valeurs sociales, économiques et environnementales. » Incontestablement une façon originale d’enfin concrétiser la notion de culture européenne !
Pouilles – Italie
Pour guider les porteurs de projet, la marque collective Végétal local a été créée. Dans la conception d’une haie, le choix des essences et de leur origine n’est pas anodin. « Le sureau des Pyrénées n’a pas la même adaptation que celui du massif armoricain, cite en exemple Sandra Malaval, animatrice nationale de la marque Végétal local. Ils ont vécu depuis des milliers d’années dans leur contexte, se sont adaptés au climat, ont résisté aux maladies. Il est important de conserver cette génétique locale. De plus, un sureau qui vient d’une autre région ne va peut-être pas fleurir au bon moment, et éventuellement prendre le gel. Cela entraîne des risques techniques. ».
L’enjeu est aussi celui de maintenir les équilibres écosystémiques de la région. La flore indigène a évolué en même temps que la faune du milieu. Elle répond donc parfaitement aux besoins de la faune, en matière de nourriture, d’habitat. C’est dans ce sens qu’est née la marque collective Végétal local. Détenue par l’Office français de la biodiversité, elle a été lancée en 2015 par le réseau des Conservatoires botaniques nationaux, Plante & Cité et l’Afac-Agroforesteries. Depuis février dernier, la marque compte 61 bénéficiaires dont des pépiniéristes, des collecteurs de graines et des semenciers. Ils proposent leurs semences, leurs boutures ou leurs plants selon onze régions bioclimatiques1. Le label garantit que les végétaux sont issus de collectes de graines en milieu naturel sur des plantes autochtones répertoriées dans ces régions de France. De plus, afin de garantir une diversité génétique, son cahier des charges spécifie qu’un lot doit contenir des graines provenant d’au moins trente arbres d’une même essence.
Régulièrement, de nouveaux membres intègrent la marque collective. Les Pépinières Naudet, qui emploient près de 200 personnes sur six sites en France, font partie des entreprises proposant des plants estampillés Végétal local depuis le début de l’initiative. Trois des six sites de la pépinière font germer des graines récoltées localement suivant le cahier des charges de la marque.
« En ce moment, nous indiquons aux récolteurs nos besoins pour la campagne 2022 de semis. La récolte commence par les prunus et se finit en janvier avec les troènes et les fusains. À la pépinière, les graines sont mises dans les conditions nécessaires à leur germination. La levée de dormance est propre à chaque espèce. Par exemple, il faut deux ans pour les viornes ou le néflier. Sur le site de Préchac, une personne s’occupe à temps plein de la germination des essences d’arbustes champêtres. Nous arrivons à un taux moyen de germination de 60 %, avec des écarts conséquents selon les espèces, explique Guillaume de Colombel, directeur commercial des Pépinières Naudet et directeur du site de production de Préchac. Sept des onze régions bioclimatiques sont représentées dans nos pépinières. La marque est jeune, mais la filière se structure. Il y a de plus en plus de récolteurs locaux. Pour nous, cet approvisionnement est un gage de réussite ; pas tant dans la levée mais dans la reprise des plants que nous vendons. Les plants issus de graines locales ont une meilleure croissance une fois mis en place dans les nouvelles haies. Nous en faisons le constat depuis notre première collaboration avec Arbres et Paysages 32, il y a plus de vingt ans ! »
De fait, la demande en plants Végétal local augmente. « Nous allons passer de 500 000 plants de la marque à 800 000 sur le site de Préchac, annonce Guillaume de Colombel, avec une demande conséquente sur une douzaine d’espèces qui constituent l’ossature traditionnelle des haies champêtres du Sud-Ouest : érable, charme, viornes, houx, églantier… Avec le programme national Plantons des haies !, qui prévoit la restauration de 7 000 km, il ne nous sera pas possible de fournir uniquement des plants de la marque Végétal local. On manque de graines même si le nombre de récolteurs progresse. De plus, ils sont tributaires de la nature. Depuis deux ans, les sécheresses ont impacté négativement les stocks grainiers des arbustes sauvages. »
Le Domaine du Carrelet, c’est l’incarnation d’un rêve et d’une passion partagés par un père et son fils. Le premier, Frédéric Labatut débute sa carrière comme restaurateur. Par un heureux hasard, il devient vigneron, un domaine d’activité où il trouve vite sa place et s’épanouit depuis 35 ans occupant aujourd’hui les fonctions de Directeur technique d’un vignoble en appellation Fronsac.
D’une certaine manière en inscrivant son enfance dans la vigne et au chai où le petit garçon l’accompagne régulièrement, le père engage son fils dans cette aventure. Dans le sillage paternel, Jérémy a grandi dans l’univers de la vigne, aussi n’a-t-il pas fallu « trop le pousser » pour le décider à se lancer aux côtés de son père.
Après 15 ans passés comme marin d’État en poste dans de nombreux pays de la Méditerranée à l’Océan Indien, Jérémy se rapproche des siens en 2016 au gré d’une nouvelle affectation à Bordeaux. Un an après son retour, des vignes situées en AOC Bordeaux, non loin de la demeure familiale sont mises en vente. L’occasion pour le tandem de concrétiser leurs envies en achetant ces deux hectares alors à l’abandon.
En parallèle de leurs activités respectives, Frédéric et Jérémy se consacrent à la remise en état de ces arpents situés sur la commune de Galgon près de Saint-Emilion. Les deux hommes entreprennent de faire revivre ces alignements. Effeuillage, épamprage, taille, vendanges vertes et automnales, sur leurs parcelles tous les travaux sont réalisés à la main par leurs soins, avec lorsque cela est nécessaire, un coup de main de proches, amis et cousins. Leur objectif ? Remettre les vignes en état et travailler les lieux comme un « petit jardin ».
Frédéric se saisit de l’opportunité d’acheter des vieux chais en béton localisés non loin là, à Fronsac. Grâce à l’acquisition de ces installations en très bon état, ils peuvent façonner eux-mêmes « de A à Z, une cuvée plaisir ». Les deux hommes se portent également acquéreurs de 4 ha de prairie autour de leurs vignes, un atout non négligeable en matière de biodiversité. Leurs pieds sont ainsi protégés par ces parcelles laissées en taillis servant de refuge aux abeilles, ainsi qu’à la faune et la flore locales.
Dans les années qui viennent, Frédéric et Jérémy entendent implanter des haies pour mieux marquer les séparations, d’autant qu’ils déposent cette année un dossier pour le passage dans trois ans du Domaine de Carrelet en agriculture biologique. Dans les faits, vignes et vins sont déjà conduits et élevés comme tels. Une étape favorisée par le fait que Frédéric, à la direction technique d’un domaine de Fronsac classé HVE 3 également en conversion, est déjà complètement rompu aux normes et standards requis pour le passage en bio. D’ores et déjà sur leurs parcelles, les deux hommes pratiquent la confusion sexuelle et travaillent la vigne au maximum pour minimiser les intrants, scrutant inlassablement chacun des pieds de leurs deux hectares.
Le Domaine de Carrelet produit au maximum 10 500 bouteilles par an. De leur « jardin de vignes » de Galgon, les deux hommes élaborent un « vin de plaisir », un 100% merlot en AOC Bordeaux. Parce qu’ils œuvrent sur une petite surface où ils peuvent tout contrôler, père et fils ont à cœur de façonner un « vin sur la fraîcheur ». Dans les cuves en béton de leur chai, ils conçoivent ainsi après un rapide passage en barrique un « vin facile, accessible à tous, initiés et non-initiés. »
Le vin du Carrelet est issu de vieux pieds, âgés de 30 à 40 ans, remis en ordre et contre-plantés par Frédéric et Jérémy depuis leur acquisition. Sur 20 ares, ils ont également planté du carménère. A partir de ce cépage autochtone du bordelais, ils souhaitent composer dès l’an prochain une nouvelle cuvée monocépage. Sous l’étiquette du Domaine, elle viendra s’ajouter aux deux premiers millésimes. Bien que nouveaux venus, les propriétaires du Carrelet sont déjà plusieurs fois primés. Leurs millésimes 2017 et 2018 ont été récompensés comme « Talent des AOC Bordeaux », le 2018 recevant aussi la médaille double or du prix Japonais de Sakura en 2021.
En raison de sa capacité limitée, la production du Domaine reste confidentielle. Un « vin de bouche à oreille » distribué sans revendeur, avec la collaboration de quelques cavistes et restaurateurs. Pour le reste, il est vendu directement aux particuliers. Si la récompense japonaise ouvre des perspectives d’exportation en Asie, elles resteront forcément mesurées en raison de la petite envergure du Carrelet.
Pourquoi ce nom ? Parce que leur domaine réconcilie leurs deux univers, terre et mer, mais aussi parce que la famille possède deux petits carrelets surplombant les flots de l’Isle non loin des vignes. C’est là, après avoir traversé leurs alignements vallonnés implantés sur un joli terrain s’étirant entre Libourne et Saint-Emilion que la visite se termine par une dégustation au-dessus de la rivière.
Si vous n’allez pas les rencontrer sur leurs terres, vous croiserez peut-être le duo père fils, aux beaux jours, sur un des marchés alentours qu’ils entendent parcourir à bord d’un fourgon Citroën vintage en cours de rénovation, pour retrouver l’esprit du camion d’épicier d’autrefois et s’en servir pour faire découvrir leur vin aux amateurs de la région et d’ailleurs.
Il s’agit de lutter contre la flavescence dorée grâce à des observations dans le vignoble.
Les différentes missions proposées :
Les candidats doivent postuler sur le site internet du GDON.
Le GDON des Bordeaux
Le GDON des Bordeaux est un Groupement créé par plus de 5 000 viticulteurs sur les 2/3 du vignoble girondin. L’objectif est de lutter contre une maladie de la vigne – la flavescence dorée – tout en réduisant les traitements insecticides via des observations sur le terrain.
www.gdon-bordeaux.fr
Un millésime fin et précis qui ravira les amateurs de Sauternes de style « moderne ».
On aurait pu s’attendre à un millésime un peu creux … , il n’en est rien grâce à une sélection minutieuse à la vigne, mais surtout au chai. Choisir les meilleurs lots, travailler les assemblages. La réussite à un prix : La quantité de premier vin sera faible mais la qualité surprenante.
Les vins sont fins, frais, tendus, des notes florales et un joli fruit très précis et pour autant d’une belle intensité. Pour finir, un bel équilibre, un Sauternes intense et délicat.
Quelques crus ayant eu une botrytisation plus tardive sont sur un registre aromatique plus classique, des notes de fruits confits avec une belle concentration.
Laboratoire Oenoconseil Preignac et Château Fleur La Mothe
A l’heure où la France se confinait le millésime 2020 émergeait de son cocon pour un débourrement des plus précoces au 17 Mars. Précocité quelque peu entamée par la sècheresse très sévère de la mi-juin à la mi-août sur les zones les plus exposées, mais dans l’ensemble la réserve hydrique accumulée au printemps aura permis une évolution de la maturité dans d’excellentes conditions. Bien que précoce le 2020 a atteint un niveau de maturité exceptionnel. L’enfant précoce est aussi un surdoué…
Ce qui apparait remarquable dans ce millésime c’est qu’il concilie densité-harmonie et subtilité. Une richesse de structure aux tanins civilisés, un équilibre avec beaucoup de fraîcheur et une palette aromatique d’une grande complexité.
Les tanins sont bien présents mais veloutés presque suaves ; une dynamique de bouche quasi désaltérante harmonieusement soutenue par des arômes ou s’entrelacent le fruité et le floral avec une présence singulière de notes typées roses ou pivoine.
De par sa fraicheur on peut voir dans ce millésime une expression classique du style bordelais mais d’un autre côté cette matière en bouche très tactile, très caressante et cette palette aromatique très raffinée lui confère un aspect inédit. Peut-être un classique d’un nouveau genre.
(c) JB Nadeau
Les conditions climatiques, un printemps pluvieux suivi par quasiment 2 mois d’un temps estival rafraichi à point nommé par les averses de la mi-août, ont permis d’amener les raisins dans de très bonnes conditions de maturité. Les vins sont maintenant assemblés depuis environ 6 mois et sont en cours d’élevage. Les aromatiques sont déjà très intéressantes et surprenantes de fraicheur avec de très belles notes de fruits rouges et bleus mais également des notes florales assez légères. Beaucoup de gourmandise. Par rapport aux très beaux millésimes 2018 et 2019, le millésime 2020 est certainement un peu moins concentré mais beaucoup plus équilibré. Pour cause, des degrés alcooliques très raisonnables et des acidités un peu plus marquées qui contrebalancent une belle trame tannique très soyeuse. Des vins taillés pour la garde mais qui pourraient paraître « déjà prêts à consommer » et que la fin d’élevage va rendre encore plus élégants.
(c) JB Nadeau
Apéro Bordeaux a fait déguster à domicile 3 Bordeaux Clairet Oscars 2020 de leur appellation à un panel d’Internautes sélectionnés, les commentaires sont à découvrir sur le site.
Il s’agit du Château Sainte Catherine, du Château La Grande Métairie et du Château Penin.
L’opération Apéro Bordeaux est menée par le Syndicat des Bordeaux et Bordeaux Supérieur. Chaque mois 15 internautes sont sélectionnés parmi les inscrits et un kit de dégustation composé de 3 bouteilles de vins est envoyé à leur domicile . Toutes leurs appréciations sont ensuite publiées sur ce blog. Apéro Bordeaux c’est aujourd’hui 55 000 inscrits à la newsletter, et plus de 45 000 qui suivent la page Facebook, ces internautes français amateurs de vins s’initient ainsi de façon ludique à la dégustation.
Vous pouvez retrouver Apéro Bordeaux sur Facebook.
Apéro Bordeaux a fait déguster à domicile 3 Bordeaux rosés Oscars 2020 de leur appellation à un panel d’Internautes sélectionnés, les commentaires sont à découvrir sur le site.
Il s’agit du Château Labatut Cuvée Prestige, de Tifayne et du Château Tour de Mirambeau.
L’opération Apéro Bordeaux est menée par le Syndicat des Bordeaux et Bordeaux Supérieur. Chaque mois 15 internautes sont sélectionnés parmi les inscrits et un kit de dégustation composé de 3 bouteilles de vins est envoyé à leur domicile . Toutes leurs appréciations sont ensuite publiées sur ce blog. Apéro Bordeaux c’est aujourd’hui 55 000 inscrits à la newsletter, et plus de 45 000 qui suivent la page Facebook, ces internautes français amateurs de vins s’initient ainsi de façon ludique à la dégustation.
Vous pouvez retrouver Apéro Bordeaux sur Facebook.