Afin de mettre encore plus en avant les spécificités et les qualités des vins moelleux, liquoreux, vins doux naturels, vins de liqueur et fortifiés, le Concours Mondial de Bruxelles organise, depuis 2022, une session qui leur est exclusivement consacrée. Les vins sont dégustés par un jury d’experts professionnels et spécialisés.
Cette session est ouverte à tous les vins moelleux (demi-doux, doux et liquoreux) ainsi qu’aux vins de liqueur et aux vins fortifiés quels que soient leur dosage et leur couleur.
Une description complète de tous les vins dégustés est disponible et peut être utilisée pour les démarches commerciales et marketing des producteurs participants. Une roue des arômes et un descriptif argumenté des vins sont téléchargeables à l’issue de chaque session de dégustation.
Le Concours Mondial de Bruxelles est une compétition internationale au cours de laquelle plus de 10.000 vins sont présentés par des producteurs pour être dégustés et évalués par un panel d’experts. Les vins participants sont dégustés en fonction de leur typicité et de leur catégorie par des dégustateurs professionnels du monde entier experts de chaque style de vin. Une description complète de tous les vins dégustés est disponible et peut être utilisée pour les démarches commerciales et marketing des producteurs participants. Une roue des arômes et un descriptif argumenté des vins sont téléchargeables à l’issue de chaque session de dégustation. Le Concours fait partie des plus importants évènements internationaux du genre.
Au lendemain de la quinzaine de dégustation des primeurs 2023, le Château Léoville Las Cases lance la campagne tarifaire avec une volonté réelle de faire bouger le marché… Moins 40% d’emblée…Une seconde proposition est sortie ce 2 Mai, le Château Lafite Rothschild, à – 31,7%, ce n’est pas rien et ces annonces font beaucoup de bruit à Bordeaux comme sur les places de consommation.
Bien entendu, deux questions se posent avec empressement… Tout d’abord la tendance lancée par ces deux propriétés respectables et respectées sera-t-elle suivie par l’ensemble des propriétés proposant leurs vins en primeurs, et, ensuite, quelle sera la réponse des négociants bordelais aujourd’hui bien lestés en stocks de millésimes précédents.
La qualité du millésime est au rendez-vous, du moins pour beaucoup d’observateurs. Bien que, comme à l’habitude, et plus que pour certains millésimes antérieurs, le millésime présente, selon les lieux de production et les producteurs, une réelle diversité. Mais l’attente était importante pour les producteurs. Deux mots reviennent souvent: équilibre et fraîcheur.
Les multiples rencontres organisées font état de bilans mitigés. Il y a eu des visiteurs, mais des acheteurs ? Difficile souvent de faire la différence entre directeurs de crus et producteurs, négociants et opérateurs bordelais et acheteurs étrangers.
il y a du travail dans les vignes, surtout après les gelées qui ont touché par endroits les vignobles de Graves, Sauternes et surtout Barsac, le Médoc, le Blayais, les Côtes et l’Entre deux mers. Et encore, nous n’avons pas à nous plaindre en Gironde par rapport à la Bourgogne, la Champagne, l’Alsace, la Provence et surtout Cahors, dévasté à 90%. Pour couronner le tout, c’est maintenant au tour de la grêle qui vient de ravager le vignoble de Chablis après celui du Gers, dans une moindre mesure cependant en avril. Le prochain millésime paraît donc angoissant d’emblée au même titre que le dérèglement climatique.
D’ailleurs notamment à cause de ce dérèglement climatique, la production mondiale de vins plonge. C’est une information sérieuse qui ne laisse pas indifférent. Elle est au plus bas depuis …1961. Bordeaux et la France ne sont sont donc pas les seuls a être confrontés à ces difficultés de marché et de climat. D’un autre côté, et dans une moindre mesure, certains pays consommateurs comme la Belgique et la Grande Bretagne voient se multiplier la création de petits et moyens vignobles. Une autre conséquence incontestable du réchauffement.
Dans ce contexte incertain, saluons au passage la naissance des vins rouges de l’Entre Deux Mers. Une nouveauté qui a eu beaucoup de difficultés à naître, mais ils sont enfin sur le marché, avec une première dégustation en primeurs. Ils seront commercialisés début 2015. Bonne chance pour ce nouveau marché prometteur.
Bernard Sirot
Journaliste et dégustateur Vintaste
Véritable outil de communication, Les primeurs sont à la fois synonyme d’échange et de partage. Manifestation unique à Bordeaux, c’est l’occasion pour les professionnels de la filière vin de découvrir en avant-première un millésime sur les appellations phares de Bordeaux, de Saint-Emilion à Pauillac en passant par les Graves. Cette année encore, du 22 au 25 Avril, des milliers de professionnels de la filière, français et étrangers, sont venus sillonner la région pour déguster le nouveau millésime, encore en cours d’élevage. Le Millésime 2023 souligne l’hétérogénéité du vignoble Bordelais tant il y a de profils différents.
Du côté des Rouges, bien que le millésime fût un véritable défi à relever pour les vignerons bordelais, à la dégustation il se révèle d’une belle qualité. A l’exception du mildiou, Les conditions climatiques ont été favorables à l’élaboration d’un très bon millésime. Entre couleur, sucrosité, fraicheur et fruit, le millésime 2023 se révèle harmonieux et équilibré. L’expression aromatique est nette, d’une grande pureté et d’une belle fraicheur. Les structures sont douces, amenant une bonne buvabilité dans sa jeunesse mais également un bon potentiel de garde. De belles surprises nous attendent quant au suivi de l’évolution de ce millésime.
Les vins blancs secs, quant à eux, sont d’une grande élégance. Une belle expression aromatique, alliant des notes d’agrumes, de fruits blancs et exotiques, associée à une grande fraicheur, synonyme d’un grand millésime. Les Liquoreux sont riches, d’une grande complexité, offrant une palette aromatique très étendue allant des agrumes confits aux fruits jaunes confiturés, tout en gardant une très belle tension. Une belle qualité d’ensemble pour ce millésime 2023 !
Souhaitons maintenant que les professionnels du monde entier rentrent chez eux conquis et que les commandes et réservations viennent réveiller un marché du vin de Bordeaux bien atone.
Après les grosses chaleurs et la sécheresse de 2022, 2023 marque un retour à un climat plus classique pour Bordeaux avec des températures chaudes et des précipitations moyennes, favorisant une qualité de récolte supérieure.( grâce à une floraison très homogène, faite dans d’excellentes conditions climatiques).
La vigilance accrue contre les maladies cryptogamiques a été essentielle, comme en 2016 ou 2018, nécessitant une grande attention notamment pour les vignobles en Bio/Biodynamie. Les deux vagues de chaleur connues, de mi Août à mi septembre, ont permis aux raisins de se concentrer et d’en faire un excellent millésime avec des rendements en général très bons.
Vignes de Gonzague et Claire Lurton
Ce millésime qui a été assez pluvieux jusqu’au mois de Juin mais une belle arrière-saison a permis de faire des vins de bonne qualité, fruités et dotés d’une belle fraicheur. La récolte des Blanc a débuté fin août et la récolte des vins rouges a débuté début septembre pour les jeunes vignes. Après une période de pluie, la fin du mois de septembre a été estivale, ce qui a permis de récolter les merlots et cabernets à pleine maturité, mais avec une certaine hétérogénéité. Les Blancs de ce millésime 2023 sont élégants et équilibrés, et dotés d’une belle fraicheur. Les arômes de fruits exotiques se font ressentir. On peut parler d’un grand millésime autant pour les blancs secs que liquoreux.
Les vins de la Rive gauche sont sur le fruit, avec des épices et des tannins soyeux. On note une certaine hétérogénéité à travers les différentes propriétés. Les appellations Pauillac et Saint-Estèphe semblent avoir fait les vins les plus homogène de la rive gauche. Les vins de la Rive droite sont sur de beaux arômes de fruits rouges, avec une belle trame tannique. Ce millésime sur la rive droite ne va pas chercher dans la puissance mais dans l’élégance. Les Pomerols tirent particulièrement leur épingle du jeu avec une certaine homogénéité dans les vins et une belle rondeur.
En conclusion 2023 est un millésime qui se rapproche de ce qu’on a connu avec le millésime 2011 : des vins sur le fruit, faciles à boire, avec des tannins fins. Et quelques très belles réussites.
Photo (c) JB Nadeau
Les 18 & 19 mai prochain les Châteaux Larteau, La Capelle et Panchille se réuniront pour faire découvrir au grand public les vins de leurs propriétés dans une ambiance conviviale et chaleureuse.
Les festivités auront lieu dans la cour d’honneur du Château Larteau les 18 & 19 mai prochain de 10h à 17h30. L’occasion pour le public de découvrir les vins de ces quatre propriétes, toutes nichées le long des méandres de la Dordogne, dans le cingle d’Arveyres, mais également de profiter des activités spécialement prévues pour cet évènement: exposition artistique, activités oenologiques pour toute la famille, producteurs locaux, restauration sur place…
Une première pour la petite commune girondine qui, en plus d’être idéalement située entre Bordeaux et Libourne, recèle de pépites viticoles à connaitre absolument.
Château Larteau, 1 lieu dit Larteau, 33 500 Arveyres.
Contact : 06 80 85 12 24
« J’appartiens à la 3e génération familiale de vignerons et à la 2e génération de femmes, » commence Claire Lurton, soulignant l’importance de ce fait « parce qu’il y a 40 ans, les femmes n’étaient pas très représentées dans ce secteur et ma mère gérait toutes les propriétés familiales. »
Claire Lurton se destine à une carrière scientifique. Doctorante en Physique – Chimie, son grand-père, Jacques Merlaut, lui demande de le rejoindre après la disparition accidentelle de ses parents. Âgée de 24 ans, elle « abandonne tout, pour reprendre le flambeau, sans aucune expérience… » Au départ, elle peut compter sur l’expertise de son oncle et celle de son grand-père qui l’épaulent dans la gestion des châteaux Haut-Bages Libéral et Ferrière qu’elle décrit en ce début des années 90 comme « deux belles endormies. »
« Du haut de mon mètre soixante, face à tous ces hommes, c’était un beau challenge. » Et, plus encore, à partir de 2000 quand elle prend seule les rênes de ces deux domaines. « Pour commencer, j’ai fait plein de bêtises, » s’amuse celle qui compte parmi les premières à avoir abandonné la chimie pour adopter des pratiques bio et la biodynamie, regardée alors comme « tout à fait ésotérique. »
À Haut-Bages Libéral, couverts végétaux et cultures régénératrices sont mis en place pour éviter les labours et limiter l’effet de pente. Au départ, l’herbe fait compétition à la vigne. Les rendements sont bas. Avec le temps, ils se redressent. Ces techniques permettent de reconstituer un sol vivant, riche en carbone, fertile et élastique avec un enherbement naturel nécessitant simplement des semis d’automne, seigle, moutarde, trèfles, fèves, lupin…
« À partir du moment où nous avons retrouvé un sol vivant, nous avons pu nous lancer pleinement dans la biodynamie », non sans réticences au départ chez ses collaborateurs, car pas toujours rassurés face à cette prise de risque, mais pleinement engagés pour relever les défis de cette pratique exigeant une présence de chaque jour à la vigne. « Au regard de ce qui a été accompli, aujourd’hui, pour rien au monde, nous ne reviendrions en arrière ! »
« On apprend beaucoup plus vite en gérant deux terroirs différents en parallèle. » La conduite de l’un nourrit les pratiques de l’autre. Claire Lurton dit aussi avoir beaucoup appris de ses équipes techniques et insiste sur les bénéfices du partage d’expérience. Dans une pratique où les techniques anciennes ont disparu, où tout est à réinventer et se fonde sur l’expérimentation, le partage est précieux.
Deux fois par an, c’est à Ferrière que sont effectuées les principales préparations du mouvement de biodynamie d’Aquitaine. L’occasion parfaite d’échanger « connaissances et incertitudes » entre vignerons. Bouse de corne pour favoriser l’absorption microbienne du sol et la formation d’humus, silice de corne pour la pousse. Les vignes de Ferrière sont traitées en autonomie avec les plantes du domaine (décoctions de prêle des champs et d’osier, extrait fermenté d’ortie contre le mildiou…), des engrais verts et des semis adaptés aux spécificités de chaque parcelle.
« À Ferrière, on a relancé un vin que plus personne ne connaissait. » Pendant des années, les raisins de ce domaine placé en fermage partaient pour vinification au Château Lascombes. Sans vin, pas de marque. À partir de 1992, Claire Lurton s’attèle « à la résurrection » de ce vignoble de 24 ha planté de vieilles vignes. Travail massale, sélection des pieds anciens, couverts végétaux et taille douce permettent d’obtenir des rendements satisfaisants et surtout des raisins dotés d’un « autre goût. » En 2015, Ferrière est le deuxième grand cru classé rouge de 1855 à obtenir la certification.
Haut-Bages Libéral est, quant à lui, pionnier en agroforesterie. Depuis près de 25 ans, la biodiversité est au cœur des pratiques sur son vignoble de 30 ha en Pauillac et 8 ha en Haut-Médoc certifié en bio et en biodynamie. Pêchers, pommiers, érables, peupliers, cornouillers, ormes, au fil des années et de l’implantation de plus 600 arbres (sans compter les kilomètres de haies plantées depuis 20 ans), le paysage s’est totalement transformé.
Oiseaux, animaux, insectes et microorganismes font la richesse du domaine. Les sols vivants, aérés et fertiles de ses parcelles bordées de haies portent des fruits permettant de livrer une juste expression de ce grand terroir. Elle se décline en trois vins à travers la dentelle pauillacaise de son grand vin iconique, la gourmandise de La Chapelle de Haut-Bages Libéral et la modernité aérienne des merlots de CERES.
Pour continuer à livrer des vins séduisants et fruités dans les années à venir, les défis sont nombreux. Claire Lurton y répond en travaillant à conserver des zones humides et en agissant pour retenir les eaux pluviales. Haies et sols permettent d’éviter le ravinement en hiver et de traverser les épisodes de sécheresse estivale. C’est également en « capitalisant sur notre vieille génétique, en abandonnant le clonage, en pratiquant la sélection massale et en retrouvant nos vignes anciennes plus résistantes que nous y parviendrons. » .
56 dégustateurs internationaux ont décerné des médailles d’argent et d’or à des vins originaires de 27 nations viticoles différentes. Pour la première fois de son histoire, le Concours se déroulait hors de l’Europe, à Franschhoek, en Afrique du Sud.
L’Autriche confirme indéniablement sa place parmi les meilleurs producteurs au monde avec 42% de ses 161 vins médaillés et les titre de meilleur Sauvignon de la compétition, pour Muster.Gamlitz Sauvignon Blanc Grubthal 2020, meilleur Sauvignon Boisé pour Schmölzer Sauvignon Blanc Kitzeck , et meilleur Sauvignon Sweet pour Frauwallner Essenz Sauvignon Blanc..
La Loire obtient de beaux succès. Le Trophée international du meilleur assemblage revient à un vin de Cheverny du Domaine du Salvard Vieilles Vignes 2023 (Sauvignon-Chardonnay). Isabelle et Elise Balland et leur Domaine Jean-Paul Balland – Grande Cuvée Sancerre 2022 empochent la Révélation France. Le Pouilly-Fumé n’est pas en reste avec une Grande Médaille d’or pour le 2023 du domaine Treuillet, et 21 médailles au total. Ce qui en fait l’appellation la plus récompensée pour la France dans cette édition. Bordeaux progresse avec 24 médailles, 14% de plus qu’à l’édition 2023. Un Pessac-Léognan, le Château Baret 2020, s’est notamment illustré avec une Grande Médaille d’or.
Plus de 33% des vins présentés par la région viticole italienne sont médaillés, ce qui atteste de la qualité de sa production. Le Trophée révélation italienne revient au Wasserhof Sauvignon 2022.
L’Espagne a maintenu son rang en remportant 11 médailles, dont 5 d’or, et une Grande Médaille d’or pour Inurrieta Orchidea Cuvée Sauvignon blanc 2021 de la Bodega Inurrieta en Navarre.
Elle obtient 25 médailles (dont 2 Grandes Médailles d’or) et le trophée du meilleur vin sud-africain revient au Coastal Cuvée Sauvignon Blanc 2017 de Delaire Graff Estate.
(c) Johanna Lamprecht
Conformément aux directives de l’OIV et de l’Union internationale des œnologues, le Concours Mondial du Sauvignon décerne des distinctions à un maximum de 29% du total des inscriptions. Afin de garantir aux consommateurs le plus haut niveau de satisfaction des vins primés, les organisateurs procèdent à des contrôles à postériori des produits primés, en comparant une sélection de ces produits avec un échantillon acheté anonymement.
Pierre-Henri Cosyns, ancien président des Vignerons bio de Nouvelle-Aquitaine ; Pascal Boissonneau, le nouveau président, et Bertrand de Sercey, membre du conseil d’administration en charge de la communication et de l’événementiel.
Les conversions ralentissent tandis que les déconversions augmentent, sans pour autant exploser. Le syndicat insiste sur la nécessité pour ses adhérents de développer leur « autonomie commerciale ».
Environ 70 exploitations ont arrêté la viticulture bio en 2023 en Nouvelle-Aquitaine. Deuxième région viticole bio après l’Occitanie, elle comptait en 2022 un peu plus de 2.000 exploitations viticoles bio pour une surface de 35.706 ha, dont la moitié en conversion. Pour les Vignerons bio de Nouvelle-Aquitaine (VBNA) il n’y a donc « pas de déconversion massive ». Les conversions sont néanmoins en net recul puisque le nombre de surfaces entrant en première année de conversion a diminué de 60 % en 2022 par rapport à 2021.
Si les taux de croissance à deux chiffres ne sont plus à l’ordre du jour, le marché du vin bio français reste néanmoins sur une tendance positive pour 2022. + 1 % en volume et + 6% en valeur par rapport à l’année précédente. La grande distribution est le créneau où les ventes de vin bio dévissent le plus. – 11 % en volume et – 7 % en valeur à l’échelle nationale. Bordeaux est particulièrement touché : – 17,3 % en valeur et – 21,7 % en volume.
« Vignerons bio Nouvelle-Aquitaine a rencontré en 2023 plusieurs acteurs du négoce bordelais et hors région pour connaître leurs ambitions stratégiques vis-à-vis du vin bio dans les années à venir, indique le syndicat. Peu de maisons ont un discours volontariste quant au développement d’une marque forte de Bordeaux bio. » VBNA milite donc auprès de ses adhérents pour que ceux-ci développent leur « autonomie commerciale ».
Organisé par les Œnologues de France, le concours bénéficie de l’expertise d’œnologues, spécialistes du vin et de la dégustation. Après 2 927 vins dégustés par 1122 dégustateurs experts, 879 ont été primés et 9 ont obtenu une Palme.
Les Palmes sont décernées aux vins ayant obtenu la meilleure note des médailles Grand Or, elles récompensent le meilleur vin dans chaque catégorie. La France et la Slovaquie en sont les grands lauréats (7 palmes sur 9).
La Révélation Bordeaux Sud-Ouest est le Château Laubès, Bordeaux Rouge, Fûts de chêne, 2022.
Mardi 16 avril à la Cité des Climats et des vins de Bourgogne, Terre de vins, en partenariat avec une sélection d’acteurs de la filière viticole et œnotouristique, remettait les Trophées de l’Œnotourisme 2024.
Afin de mettre en lumière toutes les tailles de domaine, deux types de récompenses sont remises : « Expériences exceptionnelles » qui vise à récompenser les propriétés d’envergure et « Expériences remarquables » destinée aux propriétés plus confidentielles.
Grande première, en plus des lauréats des six catégories classiques, 4 Coups de Cœur sont également remis. Ces prix spéciaux visent à mettre en avant d’autres pratiques.
CHÂTEAU DE PRESSAC – Catégorie Architecture & paysage
CHÂTEAU SIRAN – Catégorie Œnotourisme d’affaire & événements privés
DOMAINE ROLET – Catégorie Art, culture et savoir-faire
LES CAVES RICHEMER – Catégorie Le vignoble en famille
CHÂTEAU FAMAEY – Catégorie Le vignoble en famille
DOMAINE PIERRE ET BERTRAND COULY – Catégorie Pédagogie & Valorisation de l’environnement
CAVES AMBACIA – Catégorie Restauration & séjour dans le vignoble
LA CITÉ DU VIN – Catégorie Art, culture et savoir-faire
CHÂTEAU LA CROIZILLE & TOUR BALADOZ – Catégorie Pédagogie & Valorisation de l’environnement
DOMAINE DU CHÂTEAU PHILIPPE LE HARDI – Catégorie Architecture & paysage
LA CUVERIE DE VOSNE-ROMANÉE BY COMTE LIGER-BELAIR – Catégorie Restauration & séjour dans le vignoble
LA MAISON NOILLY PRAT – Catégorie Œnotourisme d’affaire & événements privés
COMITÉ INTERPROFESSIONNEL DES VINS D’ALSACE – Coup de cœur Événement de promotion d’un terroir
LA MAISON JEAN LORON – Coup de cœur Initiative originale
CITÉ DES CLIMATS ET DES VINS DE BOURGOGNE – Coup de cœur Lieu de promotion d’un terroir
HENNESSY – Coup de cœur Innovation
Les Trophées de l’Oenotourisme sont organisés par le Media Terre de Vins.