Chaque année est différente, il faut prévoir et s’adapter aux conditions climatiques du millésime pour rectifier les incidences néfastes
Du court terme au long terme, deux types de prévisions nous sont nécessaires :
1 – Une météo quotidienne exacte pour prévoir la date des traitements phytosanitaires qui doivent impérativement intervenir avant les pluies.
2 – les tendances saisonnières de l’année nous sont indispensables pour évaluer à l’avance et prévenir en temps utiles, par des traitements appropriés, les risques et les aléas qui viendraient contrarier une bonne croissance la vigne à ses différents stades de développement. …Or depuis quelques années ces données météorologiques basées sur des modèles statistiques sont imprécises.
C’est pourquoi nous avons été amenés au Château Fougas à mettre en avant une stratégie complémentaire :
Des méthodes dites plus « ancestrales », par exemple :
– La conjonction sur une même période de la pleine lune, de son périgée et des grandes marées indique généralement une période de pluie, tout particulièrement en Bordelais soumis au climat océanique. Ces conditions sont renforcées en période d’équinoxe.
– Le calendrier de Maria Thun en biodynamie, qui présente les tendances météorologiques annuelles en fonction des configurations cosmiques.
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