Il y a neuf ans, les Hauts de Talmont voyaient naître leur première parcelle. Ce fut d’abord une culture dite « raisonnée ». Le temps passe, il nous a paru évident d’aller plus avant dans le respect du sol et de la vigne, cette démarche n’est pas le résultat d’un effet de mode, mais le fruit d’une réflexion de fond qui va nous mener très vite à faire un choix plus radical encore, celui de la culture biodynamique.
« J’en connaissais les grands principes, et le hasard des dégustations m’en a fait découvrir les bénéfices organoleptiques. » (Lionel Gardrat).
Il y a là une volonté claire d’essayer d’établir une symbiose entre la plante et son environnement qui, selon moi, se retrouve dans le vin pour lui apporter la typicité de son terroir.
DE LA DYNAMITE LA BIODYNAMIQUE !