Le 3 juillet un chapitre s’est tourné pour Bordeaux Aquitaine Inno’vin : le CA a élu son nouveau Président. L’ancien Président Dominique Trioné reste administrateur mais passe le flambeau à Jean-Christian Lamborelle, Directeur Juridique & RSE du groupe Oeneo.
Diplômé de la faculté de droit de Paris XII en droit des affaires puis de celle d’Aix-Marseille (DESS Droit de la Vigne et du Vin), Jean-Christian Lamborelle est également co-auteur du Code du Vin. Après un début de carrière en cabinet anglo-saxon à Paris, il rejoint en 1998 la start-up Wine & Co puis en 2003, le groupe Rémy Cointreau en qualité de Directeur Juridique des activités Cognac & Brandy. Il accompagne le développement de ces activités et représente le groupe au sein de différentes organisations professionnelles (Bureau National Interprofessionnel du Cognac, Comité Régional de l’INAO, Fédération du Brandy Français). Il occupe depuis mars 2019, la fonction de Directeur Juridique & RSE du groupe OENEO (Vivelys, Seguin Moreau, Diam).
Inno’vin rassemble aujourd’hui plus de 180 acteurs de la filière : des producteurs et négociants, qui formulent leurs problématiques, majoritairement des fournisseurs de produits et services qui proposent des solutions innovantes, mais aussi des laboratoires et centres d’expérimentation qui apportent leurs connaissances et leurs expertises, et enfin, les institutions, qui mettent en œuvre les politiques publiques et aident au financement.
« Inno’vin favorise les rencontres entre tous ces acteurs pour répondre aux enjeux de la filière et faire germer des solutions. Il apparait clairement comme un outil collectif permettant d’anticiper et d’accompagner les différentes mutations et évolutions. Mon objectif est donc bien de soutenir, promouvoir et diffuser l’innovation éclairée, au service du bien commun ! », précise Jean-Christian Lamborelle.
Avec plus de 150 projets accompagnés depuis sa création en 2010 (représentant plus de 50 M€ d’investissement en R&D dans la filière) et 50 projets labellisés et financés, « le recours à Inno’vin doit devenir le réflexe premier de toute entreprise, installée ou naissante, ayant des projets d’innovation. Dans la continuité du mandat de Dominique Trioné et avec l’engagement du directeur Gilles Brianceau et de son équipe, nous nous attacherons donc à accroitre la notoriété du cluster. Chaque porteur d’innovation doit savoir quelle valeur ajoutée Inno’vin peut lui apporter », conclut-il.
Il revient désormais à Julien Lavenu, Frédéric Massie et Simon Blanchard, ses associés depuis 20 ans, de poursuivre l’écriture de cette aventure professionnelle et humaine. Afin d’assurer une transition efficace, Stéphane Derenoncourt les accompagnera sur le millésime à venir.
Par ailleurs il conservera une activité de consultant auprès du Château Pavie Macquin, domaine dans lequel il est investi depuis 1990 et est toujours intervenu seul. Par ailleurs il participera de façon plus active au développement du Clos Stegasta, sur l’île de Tinos, en Grèce, domaine dans lequel il est maintenant associé à son ami Alexandre Avatangelo.
Surtout, il veut pouvoir se concentrer sur son Domaine de l’A, créé avec son épouse Christine, pour l’amener parmi les plus hautes références qualitatives du Bordelais. En conséquence il sera aussi encore plus impliqué au service de la défense des crus artisanaux du Bordelais et dans la lutte contre le « bordeaux bashing ».
© Mathieu Golinvaux
Les vins de Bordeaux y proposeront un bar à vins pour découvrir et déguster la diversité des vins de Bordeaux grâce aux conseils des vigneron(ne)s et négociants présents sur place ; des ateliers ludiques de l’Ecole du vin de Bordeaux et « Bordeaux wine trip », un espace pour vous faire voyager à Bordeaux et dans son vignoble.
Depuis plus de 10 ans, Eat Brussels est LA vitrine de la gastronomie bruxelloise. Une soixantaine de chefs, pâtissiers, fromagers et artisans bruxellois, répartis sur les 4 jours, font vibrer et goûter le meilleur de la capitale. L’événement accueille également cette année le célèbre Concours bruxellois de la meilleure croquette aux crevettes.
Un verre de vin de Bordeaux sera offert à tous les festivaliers porteurs d’une entrée. Chacun pourra choisir selon ses préférences : des vins rouges bien sûr mais aussi des blancs secs et des doux mais aussi les bulles des crémants et des rosés pour prolonger l’été. Tous les vins seront en vente au tarif de 5 euros le verre.
Ce festival est aussi la promesse de belles rencontres : des vignerons et négociants bordelais (principalement de la jeune garde bordelaise) quitteront leurs vignes pour venir partager leur savoir-faire et faire découvrir les appellations bordelaises.
Elle proposera 2 espaces : « L’Agora » et « La Table d’Hôtes ». L’Agora des Vins de Bordeaux offrira 6 ateliers ludiques pour muscler ses connaissances sur le vin ou déguster tandis que la table d’Hôtes des Vins de Bordeaux proposera deux ateliers libre d’accès en continu.
L’espace détente « Bordeaux wine trip » permettra de préparer son séjour à Bordeaux et dans sa région, en découvrant l’une des 30 expériences coup de cœur, en se plongeant dans des guides touristiques ou en se faisant conseiller par un professionnel du tourisme de la région. Il permettra aussi d’envoyer des cartes postales de la région ou de poser devant le photo booth pour faire « comme si vous y étiez », avec à la clé un week-end insolite à gagner en participant au jeu-concours.
La période d’inscription est terminée et l’organisateur a enregistré plus de 1530 vins provenant d’ une trentaine de pays.
Dans un contexte où de nombreux maux impactent le marché du vin mondial, c’est très satisfaisant pour l’organisateur qui remarque que les producteurs sont plus sélectifs sur les vins qu’ils présentent : moins en nombre, mais plus haut en gamme.
Il faut dire que SMV met en place des partenariats qui ont pour objectif de dynamiser la présentation de vins d’une région en particulier et valoriser les vins et les producteurs. Sur la région de Bordeaux cette année deux initiatives dynamiques ont permis de présenter une offre renouvelée des vins de Bordeaux.
Première alliance pour SMV avec une entreprise en œnologie, qui à décidé d’offrir de façon innovante la possibilité à ses clients de présenter leurs vins sur le marché du Canada. Objectif pour Enosens, mieux participer à valoriser les vins de ses clients en offrant un service de support. La campagne a porté sur plus de 50 vins qui seront dégustés lors du prochain SMV 2023. Cette démarche logistique et de conseil a été pilotée par la chef de projet Marie-Laurence Porte, de Enosens, qui a réalisé avec brio ses objectifs.
Les Crus Bourgeois du MédocLes Crus Bourgeois du Médoc ont eux participé pour la seconde année consécutive. Ils ont regroupé plus d’une trentaine de vins de cette association pilotée par Monsieur Frank Bijon et son équipe.
En 2022 plusieurs médailles de la région de Bordeaux étaient issus de cette collaboration avec les Crus Bourgeois. La région de Bordeaux, malgré les difficultés actuelles de la filière, présentera plus de 130 vins au concours, ce qui en fera une des deux région les plus importante de la France.
SMV constitue un tremplin idéal pour profiter d’une représentation enviable sur le marché canadien. SMV est présent auprès de toutes les associations d’importateurs du Canada et partenaire d’A3 Québec (regroupe plus de 80 agences d’importation parmi les plus importantes au Canada). Au terme du concours, SMV publie le « Top 50 » des meilleures notes du concours, puis, à partir de ce palmarès, prend en charge les coûts de 25 offres spontanées de produits soumis à la gestion de l’offre de la SAQ afin que ces vins soient introduits et éventuellement disponibles à son catalogue de produits.
Partenariat renforcé avec la SAQLe partenariat avec la SAQ prend de l’ampleur en 2023, coïncidant avec le retour du concours SAQ Inspire! Pour l’occasion, trois personnes ayant un profil « Grand Connaisseur » représenteront les consommateurs au sein du jury. De plus, 75 clients membres du programme de fidélité SAQ Inspire seront invités à découvrir les vins médaillés de 10 pays participants le 25 octobre prochain à l’ITHQ.
Autre nouveauté, la promotion des vins gagnants déjà commercialisés à la SAQ. La valorisation de ces produits sera davantage marquée en 2023, grâce à des initiatives promotionnelles comme l’introduction du logo SMV sur la fiche produit SAQ.
Plus que jamais, les clients recherchent des vins biologiques, biodynamiques, nature ou issus de la viticulture raisonnée. La demande est forte pour les vins sans alcool ou faibles en alcool. Les vins en canettes ou en formats innovants représentent une tendance grandissante. Ce sont des éléments à considérer avant d’inscrire ses produits.
L’ensemble des vins médaillés des dernières éditions ont des fiches consultables sur Wine Searcher.
Dates de la compétition : du 11 au 15 octobre 2023
Dévoilement du « Top 50 » : 16 octobre 2023
Palmarès 2023 : 19 octobre 2023
1 259 vins dégustés et 407 vins récompensés lors de la dégustation à l’aveugle Les 10 coups de coeur sont dévoilés.
Les vins médaillés d’or sont sélectionnés pour participer à l’élection des Trophées ELLE à table 2023. Le jury des Trophées sera comme chaque année composé de membres de la rédaction d’ELLE à table.
Prix spécial du jury ELLE à table – Trophée de la rédaction
Corinne et Jean Pierre Grossot – AOP Chablis Premier Cru Fourchaume 2021
Trophée du meilleur rapport qualité-prix
Domaine Terres d’Hachène Zénite – IGP Cévennes 2020
Trophée du meilleur Champagne
Union Champagne Le Rosé Premier Cru – AOP Champagne
Trophée du meilleur vin moelleux / doux
Terres Des Templiers Président Henry Vidal – AOP Banyuls grand cru 2008
Trophée du meilleur vin blanc
Cave Des Vignerons de Buxy – AOP Bourgogne Côte Chalonnaise Millebuis 2022
Trophée du meilleur vin rouge
Domaine Des Chasseignes Evidence – AOP Sancerre 2020
Trophée du meilleur vin rosé
Leplan-Vermeersch Rosé – AOP Côtes du Rhône 2022
Trophée du meilleur vin biologique
Clauze de Jo Blanc – AOP Languedoc 2021
Trophée du meilleur nouveau producteur
Marielle Michot Minérale – AOP Pouilly-Fumé 2022
Trophée de la productrice de l’année
Château Tour Calon – AOP Montagne Saint-Émilion 2019
Dans un contexte social difficile, l’économie touristique risque une fois de plus d’être victime des violences perpétrées par certains. Au regard des destructions gratuites d’établissements publics et privés beaucoup de touristes étrangers se posent la question de leur venue en France. Toutes les grandes villes sont touchées et donc les vignobles proches. Un mauvais coup pour les vignerons qui reçoivent à la propriété.
Mais, le vignoble de Bordeaux qui était à la traîne sur le sujet de l’oenotourisme par rapport aux autres vignobles français comme étrangers, a remarquablement redressé la barre en quelques années. La récente Fête des Vins de Bordeaux a connu, selon les organisateurs, un réel succès populaire. La multiplication des initiatives, bien souvent privées, organisées dans tout le vignoble est une preuve du dynamisme des producteurs qui ont compris l’intérêt de cette communication directe, notamment durant la période estivale.
De son côté, comment ne pas se féliciter du succès du Rosé de Bordeaux qui semble enfin prendre son envol auprès des professionnels et des consommateurs. Au détriment du rouge, diront certains. Pour moi, c’est essentiellement la preuve d’une ouverture d’esprit et d’une réelle réflexion qualitative de production de la part de producteurs souhaitant innover. Des points positifs qui, espérons le, donneront de l’optimisme à l’aube d’une récolte annoncée qualitative mais aussi quantitative malgré les dégâts du mildiou notamment, ce qui ne serait pas forcément positif pour l’équilibre du marché.
Mais septembre est encore loin et d’ici là, je vous souhaite, bonnes vacances à tous…
Bernard Sirot
Journaliste et dégustateur Vintaste
Photo JB Nadeau
Sans parent, ni famille dans le métier, Guilain Latournerie est « devenu vigneron, hors du cadre familial ». Originaire de Bazas, il obtient un diplôme d’ingénieur en agriculture à Toulouse. Sans spécialisation en viticulture au départ, sa formation en agro-alimentaire, agriculture et gestion d’entreprise le conduit via différents stages et expériences professionnelles à s’orienter vers la viticulture et l’œnologie, « se laissant guider par les opportunités qui se sont présentées jusqu’à ce que le vin devienne une vraie passion. »
Stagiaire comme ouvrier de chais pendant ses « jeunes années » à Yquem et Latour, Guilain Latournerie se souvient avoir « particulièrement apprécié ces premières expériences qui le placent au cœur de cet univers à part, tout en lui offrant un rapport particulier avec les équipes de direction puisque j’étais juste là pour apprendre, observer les savoir-faire dans ces deux ‘boutiques’, parmi les plus belles du Bordelais ! »
Cap sur l’étranger ensuite avec la chance de travailler dans des vignobles californien et australien. Là, ce n’est pas tant l’expertise technique qu’il retient mais plutôt l’approche du marché et de l’œnotourisme de ces vignerons qui lui apportent une vision nouvelle très en avance sur ce qui se pratique à l’époque à Bordeaux.
Rentré France, il rejoint le Château d’Agassac, comme directeur technique et adjoint de Jean-Louis Zell. À 26 ans, auprès de cette figure du Bordelais, à l’époque où le domaine obtient son classement de Cru Bourgeois Exceptionnel, il s’imprègne d’un savoir-faire unique, aussi bien du point de vue de l’approche du terroir que des vinifications
« J’ai grandi dans le Bazadais. Depuis l’enfance, j’ai toujours aspiré à l’indépendance » se souvient-il. À l’époque, il n’a pas d’idée arrêtée : culture du maïs, élevage… Mais quand se présente l’opportunité de reprendre une propriété viticole de la région, les choses se précisent. Guilain Latournerie connaît Caillivet. Les vins de cette propriété conduite pendant des années par les époux Carillo ont bonne presse à l’échelon local. En 2013, la propriété est reprise par des investisseurs originaires du centre de la France qui entreprennent des travaux de grande ampleur. La bâtisse est entièrement rénovée et un restaurant panoramique est construit.
Après sept années d’exploitation, en 2018, la propriété est à nouveau en vente. Guilain Latournerie étudie la possibilité de reprendre cette propriété dont le terroir présente un très beau potentiel. Le projet mûri lentement pour se concrétiser en 2020. « À mon arrivée, le domaine qui tournait à plein régime jusqu’en 2013 ne vendait plus une bouteille de vin et, le restaurant refait à neuf était à l’abandon. »
Pour commencer, le nouveau propriétaire construit une équipe, un modèle économique, une nouvelle image et s’attache à retrouver des marchés pour les vins de Caillivet. Entre deux confinements, le contexte est particulier pour débuter une aventure, mais Guilain Latournerie parvient à tisser son réseau. Au gré des opportunités et parce que son projet plaît, il peut s’appuyer dès 2021 sur un réseau de cavistes, de restaurateurs, de particuliers et également sur une clientèle à l’export, attirée par le renouveau bordelais qu’il incarne.
À la vigne, il trouve un domaine de 10 hectares « bien plantés en haute densité » par les anciens propriétaires. Axant d’emblée son travail sur la qualité, le vigneron étudie chaque parcelle et entame dès 2020 la conversion en bio de la propriété. C’est également autour de cette dynamique qu’il constitue son équipe.
Château Caillivet présente un vignoble de coteaux, en AOC Graves, offrant une grande hétérogénéité de terroirs. Le vigneron dispose ainsi d’une large palette pour proposer des assemblages variés et des gammes différenciées. Au chais, il travaille ses fruits en deux segments.
Le premier est issu des parcelles hautes du vignoble, plantées sur des graves argilo-calcaire qui confèrent une belle typicité aux vins blanc et rouge de Château Caillivet. Le second donne des vins gourmands et davantage sur le fruit sous l’étiquette Les Chênes. Cette cuvée d’entrée de gamme ainsi baptisée en hommage aux trois chênes tricentenaires de la propriété, est, quant à elle, issue des parcelles plantées sur graves sableuses.
« À la vigne, chaque année, on s’améliore avec l’envie d’aller toujours plus loin. » Travaux des sols, éco-pâturage, couverts végétaux, fauches tardives, tout est mis en œuvre pour conserver au maximum la biodiversité dans le vignoble, lui conférer davantage de résilience et livrer des vins plus souples et plus frais malgré le réchauffement climatique.
Pour parvenir à l’équilibre, Guilain Latournerie a développé une activité de gite, une offre réceptive et œnotouristique. À Caillivet, les visites s’envisagent comme une immersion dans le domaine. Axées sur le vignoble, le travail au chais, la biodiversité et une dégustation, elle se déclinent en plusieurs formats pouvant durer jusqu’à 3 heures. Aux beaux jours, les amateurs viennent également profiter de la terrasse du bar à vin de la propriété. Et, le 13 juillet prochain, le château ouvrira même ses portes pour une soirée cinéma avec une projection en plein air !
– Euno quoi ?
– OEnologue…
– Ah oui ! Sympa ! Payée à boire et à faire des jolies phrases, c’est ça ?
– …C’est un peu plus compliqué que ça…
Emilie Daret a passé deux ans à illustrer cet ouvrage présentant une partie de son quotidien, l’ensemble donstitue une mise en lumière du métier d’oenologue, de vigneron et plus largement des métiers de la terre. Il aborde le processus d’élaboration du vin de manière simple et ludique et ose s’aventurer sur tous les sujets, comme celui des traitements et des sulfites..
On suit toutes les étapes de la création du vin à travers les yeux de Jimi, un jeune apprenti… Néanmoins il s’agit de processus standards, il ne faut pas oublier qu’il y a autant de manières de faire du vin qu’il y a de vignerons et que l’agriculture reste une science et toute science évolue…
Un évènement à destination des professionnels créé par des professionnels. 10 années déjà que Vignerons Bio Nouvelle-Aquitaine organise le salon BtoBio à Bordeaux.
La Nouvelle-Aquitaine est la 3ème région de production française de vins bios avec plus de 1 100 domaines certifiés.
– Découvrir les derniers millésimes et tous les livrables des 85 vignerons présents ; soit près de 30 appellations.
– Rencontrer, échanger directement avec eux
– Renouveler et diversifier son offre auprès de ses clients
Ce salon sera également ponctué de 2 ateliers animés par un œnologue.
Lundi 4 septembre 2023
Au Palais de la Bourse _ Bordeaux
De 11h à 19h00
VIGNERONS BIO NOUVELLE AQUITAINE
Créé en 1995, Vignerons Bio Nouvelle-Aquitaine regroupe près de 300 domaines, tous en bio ou en biodynamie. Vignerons Bio Nouvelle-Aquitaine a pour missions la représentation et la défense des intérêts des vignerons Bio. Il contribue au développement économique et technique de la production de vins Bio. Vignerons Bio Nouvelle-Aquitaine assure la promotion et développe l’image collective ainsi que la notoriété des vins et spiritueux Biologiques auprès des professionnels et des particuliers. Il initie et collabore à des programmes de développement et d’expérimentation visant à améliorer la qualité des vins Bio.
www.vigneronsbionouvelleaquitaine.fr
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