A Bordeaux lac du 5 au 7 avril – Hall 1 Parc des Expositions
5-6 avril de 10h à 20h / 7 avril de 10h à 18h
270 vignerons / 11 régions / des centaines d’appellations.
23 producteurs en Alsace, 49 Bordelais-Aquitaine, 35 Bourgogne, 8 Champagne, 5 Cognac Charentes, 40 Languedoc-Roussillon, 34 Val de Loire Vendée,
14 Provence Corse, 5 Jura-Savoie, 29 Sud Ouest-Armagnac, 27 Vallée du Rhône, 1 Calvados
Préparez votre visite à lʼavance :
www.vigneron-independant.com
Je recherche un stage dans le domaine du vin. Celui ci peut aussi bien être tourné viticulture, oenologie que communication, marketing et commercial.
Il s’agit d’un stage de 2 mois, du 15 Avril au 15 Juin 2013.
En février 2013 le Blog Apéro Bordeaux a proposé aux internautes de déguster 3 Bordeaux Rouge issus de raisins de l’agriculture biologique.
Retrouvez sur Apero Bordeaux tous les détails sur cette dégustation et bientôt les commentaires du jury d’internautes commentant les vins.
Il s’agit du Château La Caderie, d’Authenta de Cheval Quancard et du Château Les Dauphins.
L’opération Apéro Bordeaux menée par le Syndicat des Bordeaux et Bordeaux Supérieur connait un succès continu sur la Blogosphère. Chaque mois 15 internautes sont sélectionnés parmi les inscrits et un kit de dégustation composé de 3 bouteilles de vins est envoyé à leur domicile . Toutes leurs appréciations sont ensuite publiées sur ce blog. C’est aujourd’hui plus de 30 000 internautes français amateurs de vins qui se sont inscrits, s’initiant ainsi de façon ludique à la dégustation.
Vous pouvez retrouver Apéro Bordeaux sur Facebook et Twitter.
Mardi 9 et Mercredi 10 Avril 2013 de 9h à 19h au Château Dillon
Promenez-vous hors des sentiers battus. Aiguisez vos sens.
Venez au-devant de Découvertes Singulières : 100 viticulteurs représentants l’ensemble des appellations girondines réunis en un seul lieu.
De grands vins parfois méconnus présentés par les producteurs et leurs oenologues conseils.
Dégustation réservée aux Professionnels de la filière vin
Fédération des Centres OEnologiques du Bordelais
Demande d’inscription : wine-else@orange.fr
Le 6 Avril 2013 à la Cité Internationale de Lyon
2400 échantillons dégustés,
19 pays représentés en 2012.
Le Concours réunit tous les acteurs de la filière afin de déguster et récompenser les meilleurs vins de France et du monde.
Chaque jury, composé de professionnels
(sommeliers, chefs, cavistes, œnologues, producteurs…) et d’amateurs, déguste à l’aveugle une catégorie de vins et décerne les 4 médailles.
Plus d’infos : www.concourslyon.com
Les 5 & 6 avril 2013 à Bourg (France)
Près de 5.000 vins provenant de 38 pays seront soumis à l’appréciation du jury
Le Top 6 des pays participants : France, Espagne, Portugal, Italie, Hongrie, Chili sans oublier les belles surprises du concours : des vins australiens, israéliens, japonais, roumains et égyptiens.
Les 800 dégustateurs sont répartis par jury de 4 personnes appartenant à la filière vinicole : du producteur à l’acheteur, en passant par le technicien et le distributeur, ce qui permet une appréciation représentative du marché. Durant 2 matinées, chaque jury procède à la dégustation de 2 séries de 12 produits. Les sessions de dégustation se déroulent dans des espaces cloisonnés dont chaque étape est contrôlée par un commissaire.
Renseignements au + 33 5 57 68 25 66 – www. challengeduvin.com
Une étude menée par Iwsr (International Wine and Spirit Research) pour Vinexpo
Cette étude couvre 28 pays producteurs et 114 marchés de consommation. Créée en 1971, la base de données Iwsr représente la source de données la plus large, la plus précise et la plus détaillée du marché mondial des boissons alcoolisées.
Un marché mondial du vin en hausse
La consommation mondiale de vins tranquilles (moins de 15°) et effervescents a augmenté de 2,8 % entre 2007 et 2011, représentant l’équivalent de plus de 32 milliards de bouteilles.
L’étude de conjoncture VINEXPO, prévoit qu’entre 2012 et 2016 la consommation mondiale devrait accélérer sa croissance à +5,3% sur 5 ans.
La croissance de consommation des vins effervescents plus rapide
En 2011, les vins effervescents représentaient 7,7% de la consommation mondiale de vin.
Leur croissance de consommation s’est élevée à 4,17% entre 2007 et 2011 et devrait être de 8,52% entre 2012 et 2016.
La croissance de consommation sur les quatre premiers marchés mondiaux des vins effervescents (Allemagne, France, Russie et Etats-Unis) explique principalement cette hausse.
La Chine, les Etats-Unis, la Russie et l’Australie sont les moteurs de la croissance de la consommation mondiale
La Chine est devenue en 2010, le cinquième pays consommateur de vin au monde. En 2011, les Etats-Unis sont montés sur la première marche du podium, et l’Australie est entrée dans le top 10 en détrônant la Roumanie.
Crédit Photo : Frédéric Demesure / Yann Kerveno
Les pays européens voient leur consommation se ralentir
La baisse de la consommation de vin entre 2007 et 2011 est de 2,51% en Italie, 2,73% pour l’Allemagne, de 4,07% au Royaume Uni, de 7,13% en France et de 19,67% en Espagne.
Le vin rouge domine
Il représente 54,7% de la consommation de vins tranquilles en 2011.
Entre 2011 et 2016, les vins rouges devraient connaître une croissance de consommation de 9,1%, grâce notamment à la Chine, alors que les vins blancs ne devraient augmenter que de 2,75% sur la même période. Atteignant 9,2% de la consommation mondiale les vins rosés devraient quant à eux enregistrer une hausse de consommation de 7,58% entre 2011 et 2016.
Les ventes des vins à plus de 10 USD la bouteille s’envolent
Elles représentaient 8,6 % de la consommation mondiale de vins tranquilles en 2011 avec une croissance de 12,59% par rapport à 2007 principalement concentrée sur la Chine, Les Etats-Unis et le Canada. Cette croissance devrait s’accélérer entre 2011 et 2016 (+29,93%). Les vins achetés à moins de 5 USD la bouteille (69,92 % de la consommation en 2011) devraient quant à eux connaître une hausse de consommation de 2,77 % sur la même période.
Le « commerce » mondial du vin poursuit son développement
Un peu plus d’une bouteille sur quatre consommée dans le monde est un vin « Importé ».
Ce segment de consommation poursuit une croissance plus rapide que celle de la consommation totale (+ 7,92 % entre 2007 et 2011, contre + 2,83 %).
La France toujours leader mondial des exportations de vin en valeur.
Les vins français confortent leur leadership mondial dans le chiffre d’affaires réalisé par l’exportation de vins (+ 5,24 % par rapport à 2007).
Ils sont suivis par les vins italiens et espagnols dont le chiffre d’affaires à l’export (+ 24, 31 %) croit moins vite que les ventes en volume (+47,62 %) signe d’une baisse importante du prix moyen des vins exportés. La même analyse s’applique aux vins australiens alors qu’à l’inverse les vins chiliens poursuivent une stratégie de « montée en gamme » sur le marché mondial (+ 8,13 % en volume et + 33,09 % en valeur entre 2007 et 2011).
Vinexpo 2013 aura lieu du 16 au 20 juin au Parc des Expositions de Bordeaux – France
www.vinexpo.com
Avec les Oenologues d’Oenoconseil
LE MEDOC par Antoine Medeville
On le sait bien, la qualité d’un vin dépend de 3 facteurs : la qualité du sol, le savoir-faire des hommes et le climat. Or, cette année 2012 aura fait parler d’elle au niveau du temps : tantôt difficile, tantôt favorable.
Le printemps et le début d’été ont fait craindre le pire : le climat pluvieux a permis le développement, localement, du mildiou et de l’oïdium, avec pour conséquence un étalement de la floraison et de la véraison, ainsi que de la coulure. En revanche, les mois d’août et de septembre chauds et secs ont permis de gommer les écarts de maturité et de limiter les pertes de
rendement.
Les vendanges des Merlots se sont bien passées, celles des Cabernets plus tardives se sont déroulées sous un ciel un peu plus pluvieux. Les fermentations alcooliques et malo-lactiques
ont quant à elles été bien maitrisées.
Le travail des vins s’amorce donc bien : la qualité est au rendez-vous, avec des couleurs soutenues, une bonne présence tannique et une harmonie en bouche. Les hommes se sont battus tout au long de cette année viticole et le travail conjoint des viticulteurs passionnés et des oenologues aura porté ses fruits : ce millésime 2012, même s’il n’atteindra pas les niveaux qualitatifs de 2009 ou de 2010 sera de bonne facture avec une qualité d’assemblages de toute première importance, alors que tout laissait présager le contraire.
LES GRAVES par Edouard Massie
Nul doute que pour réussir le millésime 2012 il aura fallu être un bon vigneron, mais aussi être un forcené du travail pour protéger sa vigne tellement la pression des différentes maladies de la vigne était forte. Mais comme tout travail mérite récompense, le résultat est satisfaisant avec des blancs très aromatiques essentiellement sur le caractère thiol et des rouges équilibrés aux
LES BORDEAUX par Edouard Massie
Incontestablement plus denses que les 2011, les Bordeaux rouges 2012 ont su tirer profit de la faible récolte pour obtenir une belle concentration.
Après un beau mois d’août qui a stoppé les débuts de mildiou, la vigne, peu chargée, a pu amener les raisins à une grande maturité. La couleur est profonde et les tanins soyeux.
LES SAUTERNES par Henri Boyer
En septembre, tous les signaux étaient au vert pour réaliser un grand millésime. Volume de raisin modéré, idéalement réparti, une maturation des raisins parfaite suite à un temps sec et sans excès de chaleur. Le botrytis est « lancé » avec les premières pluies du 21 septembre. Il s’en suit un régime alterné de pluie et de période sèche trop courte pour permettre une concentration optimum du raisin. De là, découle la typicité du 2012, un vin fin, délicat, frais, avec un arôme de confit le plus souvent pur, mais avec une concentration plus faible que les précédents millésimes.
LE LIBOURNAIS par Arnaud Chambolle
2012 a été un millésime de vignerons et de vinificateurs :
De vignerons tout d’abord car il a fallu rester très vigilant face à la pression des différentes maladies de la vigne, et ce tout au long du cycle végétatif. En particulier, le risque Botrytis en fin de cycle a été important avec parfois une évolution fulgurante du champignon.
De vinificateur ensuite car il a fallu trier beaucoup, réunir les vendanges de qualités comparables et adapter au mieux la vinification à chaque cuve en fonction de son contenu. En conséquence, le résultat est parfois hétérogène avec de belles réussites tant au niveau de la couleur que de la concentration avec des vins très fruités. On trouve également des cuves plus légères avec des caractères parfois végétaux et des vins de presses à travailler car souvent nécessaires en terme de volume. Le travail d’élevage et d’assemblage sera donc particulièrement important.
Du 9 au 11 avril 2013-Dégustation primeur 2012 et millésime 2010
Au château de Malleret de 9h à 19h – Sélection d’une quarantaine de vins suivis et conseillés par les quatre oenologues d’Oenoconseil
Contact di-costanzo.catherine@wanadoo.fr
Source Conseil Interprofessionnel des Vins de Bordeaux
En 2012 la commercialisation des vins de Bordeaux, en France et à l’export, s’établit à 4,3 milliards d’euros (+10%).
France
58 % des volumes sont vendus en France dont 45 % en GMS (Grandes et Moyennes Surfaces).
Bordeaux reste le premier vignoble d’appellation vendu en GMS.
Il représente 34% de leur chiffre d’affaires (et 50 % du CA des Foires aux Vins).
En 2012 , Les ventes de vins de Bordeaux dans ce circuit s’établissent à 195 millions de bouteilles (-1%) pour un chiffre d’affaires de 909 millions d’euros (- 2 % ).
L’AOC Bordeaux recule de 3%, l’AOC Bordeaux Supérieur progresse de 4%. Stabilité des Côtes et des Saint-Emilion / Pomerol / Fronsac. Baisse de 2 % des Médoc et Graves.
Les Rosés progressent de 3 % avec 14 millions de bouteilles vendues alors que les blancs perdent 2 % à 10 millions de cols (-5% pour les liquoreux).
Export
Les vins de Bordeaux sont leaders dans les exportations de vins français d’appellation (hors effervescents). Ils représentent 41 % du volume et 56% de la valeur de ces exportations.
En 2012 Bordeaux a exporté 315 millions de bouteilles ( +9%) pour une valeur de 2,28 milliards d’euros ( +16%).
La répartition des exportations, en volume, par groupe d’appellation : Bordeaux 60 %, Côtes 5 %, Médoc et Graves 16 %, St-Emilion / Pomerol / Fronsac 9 %, Blancs secs 9 % et Blancs doux 1 %.
Les 10 premières destinations en valeur :
1er Royaume-Uni (4ième en volume) avec 18 % de la valeur des ventes.
Le Royaume-Uni redevient ainsi la première destination des vins de Bordeaux en valeur, dépassant Hong-Kong et progressant de 42 %
2ième Chine (1er en volume) avec 15 % des ventes.
Les vins blancs enregistrent de très belles progressions en volume (+62%), mais pèsent peu. Progression des vins d’entrée et moyenne gamme réduisant la progression à 1 % en valeur (23 % en volume).
3ième Hong Kong (7ième en valeur) avec 11 % des ventes.
Ici aussi ouverture de la gamme (-31 % en valeur et + 4 % en volume) et progression des blancs.
4ième Etats-Unis (6ième en volume) avec 9 % des ventes
Fort effet millésime des 2009 et 2010 induisant une progression de 68% en valeur.
5ième Suisse (10ième en volume) avec 7 % des ventes
Fort effet millésime ici aussi avec une progression de 51 % en valeur. + 37 % pour les Blancs mais toujours 80 % de vins rouges.
6ième Belgique (3ième en volume)
Première destination pour les vins blancs de Bordeaux en recul toutefois de 7 % en volume sur un marché en progression de 5 %.
7ième Allemagne (2ième en volume) avec 6 % des ventes.
L’appellation régionale, AOC Bordeaux rouge, reste majoritaire dans le poids des expéditions bordelaises (57,5%).
8ième Japon (5ième en volume) : marché très dynamique en progression de près de 30 % en valeur et en volume.
9 ième Canada (8ième en volume) en progression de 27 % (+5% en volume).
10 ème Pays Bas (9 sème en volume) en progression de 21 % (5% en volume).
CONSEIL INTERPROFESSIONNEL DU VIN DE BORDEAUX
www.bordeaux.com
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