Le Concours a eu lieu du 15 au 17 mai à Domblans dans le Jura
15 médailles parmi les 46 inscrits en Crémant de Bordeaux.
Le Palmarès des Crémants de Bordeaux
Le Palmarès Complet
Source Les Echos du Jura
Un petit feuilleton très concret de travaux spécifiques à la biodynamie au travers de l’exemple du Vignoble des Hauts de Talmont, récemment converti à ce mode de culture
Premiers jours d’avril
Décoction de Prêle, préparation 500 et dynamisation.
La préparation 500 est un puissant édificateur de la structure du sol.
Fin Avril
Préparation 500 renforcée par une tisane d’ortie pulvérisée en lune descndante.
L’ensemble doit permettre de mobiliser le fer du sol et de contrer la chlorose ferrique, le tout dynamisé une heure.
Mai
Préparation 501
Complémentaire de la Préparation 500, elle s’adresse cette fois non au sol mais à la partie aérienne de la plante. Elle est essentielle pour la structuration des plantes et renforce leur résistance aux maladies.
Ce nouvel ouvrage est un bilan du commerce du vin en Chine (et de la place des vins français sur ce marché) basé sur un travail de 2 ans de recherche documentaire et d’entretiens menés auprès de professionnels du vin en Chine.
Le marché chinois est la 1ère destination des vins de Bordeaux et, en moyenne, 1 bouteille de vin importé sur 2 est française. Les Chinois ont un attrait historique pour le Made in France, qui se confirme avec le vin.
Mais de quelle Chine parle-t-on ? Car le marché du vin en Chine continentale s’avère bien différent de celui de Hong Kong. Et c’est parfois sans tenir compte des limites et des contraintes locales.
Le saviez-vous ? Près de 80 % des vins consommés en Chine sont… chinois ! Et la consommation annuelle par habitant se limite à environ 1,6 litre, soit à peine plus qu’1 magnum de vin. L
a France doit aussi faire face à la concurrence accrue des autres vins importés (en particulier du Nouveau Monde), au risque de contrefaçon et, bien sûr, s’adapter au mode de distribution spécifique et au comportement des consommateurs chinois.
Autant de thèmes abordés dans ce livre après deux ans de recherches et d’entretiens menés en Chine auprès de professionnels du vin.
Attention date limite des inscriptions le 30 juin prochain !
Le Trophée Œnovation® est destiné aux porteurs de projets de création d’entreprises innovantes, ainsi qu’aux entreprises existantes porteuses d’un projet d’implantation ou de développement dans les produits et services destinés à la filière vitivinicole. Les sociétés participantes doivent avoir moins de 4 ans d’existence et s’orienter vers un projet alliant savoir-faire traditionnel, innovation, technologie et créativité.
Ce concours national vise à donner les meilleures chances de succès à des porteurs de projets et à de jeunes entreprises innovantes de la filière vitivinicole (vin, agriculture durable et raisonnée), en leur apportant l’accompagnement et le soutien nécessaire pour la création et le développement de leur projet.
Pour la 10ème édition de ce trophée le lauréat recevra 25 000 € de dotations.
Du 2 au 4 juin à Kensigton Olympia dans le centre de Londres
Une édition en rupture !
Nouveau lieu (retour au centre de Londres), nouveau format, plus participatif pour une nouvelle expérience de visite.
Temps forts :
Dégustation Cru Bourgeois 2011
mercredi 4 juin de 9h30 à 16h30 – Apex Room
Chaque style de vin est le fruit d’interactions entre les raisins, le soleil, les conditions météorologiques et les contextes culturels qui en sont à l’origine. Le sauvignon blanc ne fait pas exception à cette règle.
Les profils à la fois ‘nouveaux’ et ‘anciens évolutifs’ de sauvignon résultent d’une tension créative entre les vignobles traditionnels français – Bordeaux et la Vallée de la Loire – et différentes régions du Nouveau Monde ; ces dernières ont, soit adapté des styles caractéristiques de l’Ancien monde, ou se sont ouvertement révoltées contre ceux-ci pour créer des profils tout à fait novateurs. Cet échange permanent a permis d’asseoir la compétitivité et la notoriété du sauvignon partout dans le monde.
A l’heure actuelle, on compte, peu ou prou, quatre grands styles de sauvignon à l’échelle mondiale avec, qui plus est, quelques variantes susceptibles de titiller nos papilles.
Le style Bordeaux
Il existe, d’une part, les vins issus de climats relativement chauds, d’un style plutôt tendre, corpulent, sur le fruit et le bois, à l’instar des vins de Bordeaux et les types ‘Fumé blanc’ du Nouveau Monde. Et, d’autre part, les vins issus de climats plus frais, au profil plus léger, plus acides et révélant des caractères plus herbacés et floraux, à l’image des vins de Loire et de la Nouvelle-Zélande.
Le Fumé blanc
A la base, le sauvignon blanc est une invention californienne. En effet, ce sont les Californiens qui ont développé le concept de vin de cépage, en désignant des vins par le nom du raisin et non plus par un nom de lieu.
A la fin des années 60, Robert Mondavi et d’autres producteurs californiens ont initié une démarche axée sur les vins de cépage et ont réussi ainsi à faire connaître le ‘chardonnay’ et le ‘cab sav’ auprès d’une nouvelle génération de consommateurs de vins. Chose étonnante, lorsque Mondavi a lancé le sauvignon blanc, celui-ci a connu un échec retentissant car les consommateurs n’appréciaient pas son caractère herbacé ni son acidité mordante.
Afin de pallier ce problème, Mondavi a opté pour un élevage en barriques, ce qui a permis d’assouplir la texture du sauvignon blanc et d’en masquer le côté herbacé grâce aux notes vanillées et grillées apportées par le bois. Par ailleurs, il a astucieusement gommé le lien avec le sauvignon en utilisant le nom ‘Fume Blanc’, faisant ainsi allusion au vin français très chic, le Pouilly Fumé, tout en attirant l’attention des consommateurs sur arômes fumés et grillés qu’ils affectionnaient. Mondavi a réussi à dompter le sauvignon pour l’orienter vers un style plus proche du chardonnay (en réalité un style bordelais exacerbé), que les consommateurs adoraient également. Le Fume Blanc a connu un succès fulgurant, créant ainsi le modèle par excellence sur lequel seraient basés, non seulement bon nombre de profils américains de sauvignon, mais également ceux du Nouveau Monde dans son ensemble. Et ce, pendant des décennies.
Au fil du temps, ce style a évolué en faveur de profils plus mûrs et plus complexes, évoquant des arômes de petits pois, de haricots verts et de fruits du verger ainsi que des arômes moins marqués par le bois neuf ; les barriques neuves ont été progressivement remplacées par des barriques usagées plus « neutres » qui ont tendance à arrondir le vin et avoir une influence moindre sur le goût. L’élevage sur lies a apporté des arômes plus savoureux tandis que le bâtonnage a permis de créer des textures plus crémeuses. La maîtrise de toutes ces techniques a donné naissance à des styles plus raffinés et complets que le Fume Blanc d’il y a 40 ans. Le sauvignon d’aujourd’hui fermenté en barriques est le petit-fils du Fume Blanc.
Le « Savvy » néo-zélandais
A l’origine, les liens entre la Nouvelle-Zélande et le sauvignon blanc se sont noués par l’intermédiaire du Néo-Zélandais Ross Spence, alors étudiant en œnologie en Californie lorsque le Fume Blanc y a fait son apparition. De retour dans son pays, il y a planté les premiers ceps de sauvignon blanc en 1974. Fort heureusement (du moins du point de vue économique !) ces vignes ne se sont pas comportées comme le chaleureux Fume Blanc californien. Plus fidèle à son nom, le sauvignon néo-zélandais est devenu « sauvage ».
Cela s’explique par le fait que le soleil intense de la Nouvelle-Zélande – où l’indice de rayonnement UV est supérieur de 30% à celui des pays plus au nord – a augmenté l’expression par dix, amplifiant les caractères discrets d’agrumes/groseilles à maquereaux pour les orienter vers des notes plus « psychédéliques » et exotiques de fruits de la passion, mangue, goyave, ananas… Mais il ne s’agit là que d’une partie de l’explication.
Les vents frais de l’océan associés aux écarts importants de températures diurnes confèrent une acidité naturellement élevée aux vins néo-zélandais tout en accentuant les arômes herbacés provoqués par la méthoxypyrazine pour arriver à des expressions d’ortie et de feuille de tomate à part entière. Comme un Sancerre « gonflé aux stéroïdes », le sauvignon néo-zélandais se caractérise par sa double personnalité, exprimant à la fois des notes intenses de fruits exotiques et des arômes herbacés flagrants. Si les Californiens ont cherché à masquer le côté herbacé, le sauvignon néo-zélandais le célèbre, avec force et fierté.
Certes, il y avait bien quelques aficionados locaux pour apprécier la nervosité « folle et sauvage » du sauvignon, mais la plupart des consommateurs néo-zélandais préféraient le pilier de la production locale : l’insipide muller-thurgau demi-doux. Pour inverser la tendance, il aura fallu attendre la reconnaissance par les Britanniques d’un genre tout à fait nouveau créé par les sauvignons de Marlborough, Nelson, Martinborough et Waipara au milieu des années 80. Ce style tranchait radicalement avec ce que pouvaient – souhaitaient même – proposer Bordeaux, la Loire ou le Fume Blanc. La production locale a tenté, tant bien que mal, de suivre la montée en flèche des ventes au cours des années 90 et 2000, le sauvignon néo-zélandais ayant systématiquement conquis les marchés britannique, scandinave, américain et australien avec désormais l’Asie clairement en ligne de mire.
La réaction des Sud-Américains et Africains
Au début des années 90, le Chili et l’Afrique du Sud ont rapidement compris le potentiel commercial de ce style extrêmement novateur. Bien que soumis au même rayonnement UV intense et l’influence océanique typiques de l’Hémisphère sud, ils avaient jusqu’alors cultivé le sauvignon dans des régions intérieures relativement chaudes, propices à la maturation des caractères herbacés et à l’atténuation de l’acidité. Pour pouvoir s’approprier ce nouveau style ultra branché, les deux pays devaient obligatoirement rapprocher leurs vignes de la côte. Ce qu’ils ont fait depuis.
Le 100 % Sauvignonasse style des vins bordelais d’antan
L’histoire du sauvignon blanc chilien est très originale. Avant que le phylloxera n’ait détruit les vignobles bordelais à la fin du 19ème siècle, le sauvignon blanc, la sauvignonasse et le sémillon étaient complantés et assemblés à partir d’une même parcelle. Ce fléau n’ayant jamais touché le Chili, la tradition a perduré dans les vignobles de vieilles vignes situés dans les zones plus chaudes à l’intérieur des terres. Avec le temps, cette complantation a été oubliée et les Chiliens ont supposé que ces vignobles étaient plantés exclusivement de sauvignon blanc, une idée fausse qui n’a été corrigée que dans les années 90.
Par conséquent, bon nombre de vins désignés sauvignon blanc étaient en réalité des 100% sauvignonasse (le tocai friulano du Frioul) ou 100% sauvignon blanc ou bien un mélange des deux et/ou de sémillon. Au final, ce phénomène est fort intéressant car ce style « fossilisé » nous donne un aperçu de la typicité des vins blancs bordelais d’antan, comparativement à ce qu’elle est devenue. D’une manière générale, les styles « anciens » sont plus corpulents, moins acides, moins aromatiques et moins savoureux que le sauvignon blanc pur.
La « révolution » chilienne a eu lieu dans les années 90 lorsque du sauvignon blanc seul a été planté dans des vignobles traditionnels et des zones plus récentes à influence maritime comme les vallées de Casablanca, Itata, Bío-Bío, Colchagua, Leyda, San Antonio, Elqui et Limari.
Même si ces vins de type climat frais parviennent à exprimer ce mélange intense de feuille de tomate, d’arômes incisifs de fruits de la passion et d’acidité vive caractéristiques de la Nouvelle-Zélande, bien souvent ils privilégient davantage la finesse et l’équilibre sous l’influence de leurs origines européennes. Enfin, certains émettent l’hypothèse selon laquelle les vignes chiliennes pré-phylloxériques, uniques et franches de pied, donneraient des vins plus harmonieux et des caractères variétaux plus purs.
L’Afrique du Sud a également connu sa propre révolution, à peu près au même moment. Sortant tout juste de l’apartheid avec des vignes malades et des technologies obsolètes, elle a planté des clones de sauvignon blanc plus qualitatifs et a déplacé les vignobles pour les soumettre à des influences maritimes, apportant de la fraîcheur.
Stellenbosch était auparavant le fief du sauvignon de type climat chaud. Désormais, de nouvelles régions, tempérées par l’influence maritime et plus aptes à apporter de la précision au cépage, sont nées. Il s’agit des régions d’Elgin, Elim, Walker Bay et Cape Point.
Comme au Chili, ces nouveaux styles sont susceptibles d’exprimer l’essentiel de la typicité néo-zélandaise – son style racé, herbacé et ses fruits exotiques – mais bien souvent, les origines européennes de l’Afrique du Sud tempèrent ces caractères, conservant de la fraîcheur mais avec un fruité plus discret et plus de finesse.
Les différentes variantes
Où se trouvent donc les variantes les plus notables par rapport à ces quatre grands styles ?
Certains types de sauvignon doivent leur fraicheur non pas à des influences maritimes mais à des altitudes plus élevées de montagne.
En Autriche, la zone la plus qualitative pour la production de sauvignon – le sud de la Styrie – est influencée par les Alpes. Les meilleurs exemples du style styrien sont plutôt sur les agrumes et sont minéraux, acidulés, tendus et linéaires ; ils se rapprochent du riesling sec en termes de profil.
De l’autre côté des Alpes, le Haut-Adige et le Frioul proposent les sauvignons italiens les plus réussis. D’une manière générale, les Italiens apprécient les vins acidulés, frais et de corpulence assez légère. Dans le Haut-Adige comme dans le Frioul, les vins ont plutôt tendance à exprimer des arômes d’herbe coupée, souvent accompagnés d’un soupçon de poudre à canon. Situé à une altitude plus élevée dans les Alpes, le Haut-Adige est le plus léger, acidulé, fin et minéral des deux.
Dans le Nouveau Monde aussi, il existe des interprétations différentes en matière de style des vins.
Par exemple, le sauvignon néo-zélandais, issu essentiellement de l’Ile du Sud, ne suit pas un modèle unique dans l’ensemble du pays. Le climat à Hawke’s Bay sur l’Ile du Nord est beaucoup plus chaud, se rapprochant davantage de celui de Bordeaux. Ici, les styles se situent à mi-chemin entre le bordelais et le Fume Blanc, bien que les termes « Bordeaux gonflé aux stéroïdes » ou encore « Fume Blanc dopé au LSD » soient sans doute plus appropriés pour les décrire.
De même, tous les Américains n’ont pas cherché à reproduire l’exemple du Fume Blanc. Dès les années 70, le climat plus frais dans l’Oregon a permis d’élaborer des vins plus légers, plus sveltes et acidulés, à l’instar des vins de Loire. Les écarts de températures diurnes dans l’Etat de Washington et l’ensoleillement intense peuvent donner des styles qui ressemblent beaucoup à ceux de Hawke’s Bay en Nouvelle-Zélande. Enfin, les nouvelles plantations de sauvignon en Californie se sont dirigées vers les climats plus frais de la Côte centrale, de Sonoma, de la Russian River et de l’Anderson Valley, afin d’élaborer des vins plus acidulés comme il en existe dans la Loire et en Nouvelle-Zélande.
Une grande famille pour le bonheur de tous
Le monde du sauvignon a rétréci et il devient ainsi de plus en plus difficile d’identifier des styles distincts. Des échanges fructueux – dans les deux sens – ont brouillé les anciennes frontières, les rendant parfois méconnaissables. On peut trouver des imitations de Bordeaux dans la Napa Valley et du Fume Blanc à Bordeaux, ou encore des sauvignons de type néo-zélandais dans la Loire, au Chili, en Afrique du Sud ou dans l’Oregon. Il existe même des styles styriens en Nouvelle-Zélande. Le sauvignon forme désormais une grande famille, extrêmement diversifiée et mondiale.
Source : Comité de pilotage pour favoriser les échanges sur le sauvignon
Les organisateurs du Concours Mondial du Sauvignon ont mis en place un comité de pilotage composé de 8 professionnels du vin ayant des compétences rédactionnelles et une connaissance du cépage. Ils constitueront, au fil des mois, un fonds documentaire dans lequel professionnels et consommateurs pourront aller puiser pour en savoir plus sur ce cépage aujourd’hui omniprésent dans le monde, mais qui n’a sans doute pas encore révélé toutes ses qualités et ses spécificités.
Les membres du Comité de pilotage : Sharon Nagel : journaliste freelance (Royaume-Uni/France) ; David Cobbold : journaliste à Vino BFM, Les 5 du vin (Royaume-Uni/France) ; Pedro Ballesteros : Master of Wine (Espagne) ; Roberto Zironi : chercheur-professeur (Italie) ; Valérie Lavigne : chercheur-professeur (France) ; Philippo Pszczolkowski Tomaszewski : œnologue-professeur (Chili) ; Paul White : journaliste au World of Fine Wine, Decanter (Nouvelle-Zélande, Etats-Unis, France) ; Roger Voss : journaliste au Wine Enthusiast.
Article du Dr Paul White, texte traduit par Sharon Nagel
www.cmsauvignon.com
Le Grand Jury Œnovidéo 2014, etait présidé par Bibo Bergeron, Scénariste, Réalisateur, Producteur – Dessinateur, bien connu du grand public, notamment pour la réalisation du film d’animation « Un monstre à Paris » avec Vanessa Paradis et Matthieu Chedid M.
Extraits du Palmarès
Le Trophée Spécial du Grand Jury est remis au long-métrage : Résistance Naturelle Italie réalisation Jonathan Nossiter.
Le meilleur long métrage est remis aux long métrage : La part des anges France réalisation Marie Renucci
Le meilleur court-métrage est remis au court-métrage : Les racines de la Cogevi France réalisation Bernard Billois.
Prix de la meilleure image est décerné au court-métrage : In the wood for life France réalisation Christophe Deschanel.
Le Prix du meilleur scénario et de la mise en scène est remis au long-métrage : Somm États-Unis réalisation Jason Wise.
Le meilleur film « Promotion » est remis au court-métrage : Casillero del Diablo : Wine Legend Chili réalisation Felipe Dacaret.
Le meilleur film destiné aux professionnels au long-métrage : Generation Wine Afrique du Sud réalisation Duff Kristen et Gosia Podgorska.
Mention « Coup de Cœur » du Grand Jury au long-métrage Perles de Vigne Hongrie réalisation Andras Peterffy.
Mention « Fraternité vigneronne » du Grand Jury au long-métrage : Une question d’équilibre France réalisation Sandra Hitouche et Alban Terrier.
Prix du Public : Résistance Naturelle Italie réalisation Jonathan Nossiter.
Les Oenologues libournais d’Oenoteam s’impliquent dans la production de vins en chine
Le vendredi 28 mars dernier, un accord a été signé à l’Hôtel Kempinski à Chengdu entre l’oenologue Thomas DUCLOS (du laboratoire de Libourne OenoTeam) et Monsieur WANG Hong, dirigeant d’une winery très connue dans le monde viticole Chinois, puisqu’elle vinifie depuis 1985 et qu’elle a la capacité de traiter 30 000 tonnes de vins en vrac. En pratique actuellement elle en produit environ 10.000 tonnes par an (l’équivalent de 13.000.000 bouteilles), et elle commercialise 5 200 000 bouteilles.
Ces vins sont produits pour le marché Chinois, et WANG Hong souhaite les positionner en marque Premium.
L’intervention de Thomas DUCLOS a pour objectif de faire de la société XixiaKing le N°5 de la vente de vin chinois en Chine, avec un chiffre d’affaire de 5 milliards de yuans (visant 30,000,000 bouteilles) ainsi que la 1ere marque chinoise revendiquant la région du Ningxia.
La région du Ningxia
Un climat bien particulier, à la limite du désert de Gobi dont le vignoble est séparé par Helan Mountain. Il y pleut seulement 200 mm par an, par conséquent l’irrigation y est pratiquée. Des cépages classiques en rouge, Cabernet sauvignon, Syrah et Merlot, + le Cabernet Gernich que l’on ne trouve qu’en Chine ; en blanc, Chardonnay et Riesling.
Oenoteam
Julien Belle, Thomas Duclos et Stéphane Toutoundji partagent la même passion et la même ambition d’élaborer des vins purs et contemporains. Ils sont à l’écoute de leurs clients tout naturellement par un sens aigu des relations humaines.
Des clients qui sont majoritairement Bordelais mais pas seulement, car c’est le monde entier qui les intéresse. Stéphane vinifie notamment en Turquie, au Portugal et pour deux propriétés bordelaises acquises par des investisseurs Chinois, Julien vinifie aussi pour 7 propriétés bordelaises appartenant à 3 groupes Chinois, et Thomas investit beaucoup de son temps en Chine.
Contact
Jeudi 12 juin de 11h30 à 15h30 au Café Maritime
21 châteaux des AOC Bordeaux et Bergerac, 16 vignerons accompagnés par 3 œnologues, Julien BELLE, Thomas DUCLOS et Stéphane TOUTOUNDJI.
En savoir plus
Dégustation professionnelle accessible sur invitation uniquement.
Contact Club In A Bottle : Florence 06 07 73 43 22