12ème concours international des meilleurs vins Effervescents du Monde®
La confrontation qualitative des meilleurs Vins Effervescents du monde s’est déroulée dans le cadre de l’École Hôtelière du Lycée Le Castel à Dijon (Bourgogne) les 19 au 21 Novembre 2014.
Les experts internationaux ont évalué 606 vins effervescents de 24 pays. Diversité et qualité sont au rendez-vous du palmarès 2014. Des normes de qualité au-delà des standards et des conditions optimales de dégustation ont permis de délivrer 202 médailles (35 Or, 167 Argent) reconnues comme un critère de sélection fiable.
De nombreux pays remportent de très belles médailles : l’Afrique du Sud, l’Autriche, le Brésil, le Chili, l’Espagne, la France, la Hongrie, l’Italie, la Nouvelle Zélande et la Suisse.
Un véritable film réalisé par Luc Plissoneau pour évoquer quatre facette de ce château : la Mémoire historique, le Respect du vin, la Confiance, le Partage et l’évasion avec l’Oenotourime.
Un reportage réalisé pour le Syndicat des Bordeaux et Bordeaux Supérieur, interview de d’Alice Demonchaux du Château Pierrail pour mieux connaître ce Château dont le Bordeaux Supérieur Rouge millésime 2012 fait partie des Talents 2014 de son appellation.
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Le sauvignon blanc a beau être l’un des cépages les plus cultivés dans le monde, son succès commercial reste difficile à expliquer. Qu’il s’agisse des experts en marketing, des chroniqueurs ou des prescripteurs, tous s’avouent perplexes quant aux raisons pour lesquelles ce cépage d’origine française a réussi une telle conquête mondiale. En revanche, ils s’accordent à dire que l’évolution des profils organoleptiques dans les principaux pays producteurs contribuent à consolider cet engouement et à élargir sa clientèle.
Premier à admettre que l’engouement mondial en faveur du sauvignon blanc a de quoi laisser perplexe, Larry Lockshin, professeur en marketing et directeur de l’Ecole de marketing auprès de l’Université de l’Australie Méridionale, explique : « Personne ne semble en mesure d’interpréter le succès du sauvignon blanc. Je pense qu’il a fait l’objet d’une mode qui s’est transformée en tendance, donc plus stable, grâce à son caractère fruité. Pourquoi le sauvignon blanc a-t-il décollé là où le riesling demi-doux n’a pas réussi ? Les cépages sont étroitement liés sur le plan génétique ; il en est de même avec le muscat. Si nous savions comment mesurer ces facteurs et les prédire, nous serions particulièrement sollicités… Tout semble indiquer que le sauvignon blanc néo-zélandais a représenté un tournant en matière de profil organoleptique, avec plus de sucre résiduel que les versions françaises. Ensuite, ce style a été imité par beaucoup d’autres régions productrices ».
Renaissance de l’Afrique du Sud
L’Afrique du Sud compte au nombre de ces dernières. La fin des sanctions économiques a permis l’émergence d’un secteur vitivinicole moderne mais cette évolution s’est accompagnée de choix viticoles peu judicieux, dictés par des considérations peu qualitatives. Du matériel végétal dont l’intégrité génétique était compromise, des terroirs viticoles inadaptés et des rendements trop élevés : tels sont les facteurs qui auraient porté atteinte à la capacité du pays à élaborer des sauvignon blanc qualitatifs selon l’expert en vins sud-africains Michael Fridjhon. Cependant, des améliorations ultérieures dans tous ces domaines conjuguées à la présence d’œnologues dynamiques ont abouti à ce que le chroniqueur Oz Clarke qualifie de « renaissance du sauvignon blanc en Afrique du Sud ». Le pays est désormais reconnu pour son large éventail de vins issus de ce cépage, ouvrant ainsi la voie à de nombreuses opportunités commerciales.
Cinq styles différents
Parmi les adeptes du sauvignon blanc, Charles Hopkins, chef de cave chez De Grendal Wines, près du Cap, croit fortement au potentiel de ce cépage pour séduire un public plus large : « Je suis un inconditionnel du sauvignon blanc. Il s’agit du cépage le plus avant-gardiste et le plus documenté en termes de recherche. Pendant ma carrière d’œnologue en Afrique du Sud, amorcée il y a 26 ans, et suite à des séjours à Bordeaux et en Californie, j’ai pris connaissance de recherches extraordinaires sur les composés aromatiques propres au sauvignon blanc ». Selon lui, l’Afrique du Sud est aujourd’hui à l’origine de cinq profils organoleptiques différents, dont deux présentent des arômes volatils : « Tout le débat sur les préférences des consommateurs tourne autour de la compréhension de la volatilité des composés aromatiques ».
Disponibilités et prix
L’Afrique du Sud a joué un rôle moteur dans l’engouement en faveur du sauvignon blanc sur le marché britannique, estime Natalia Posadas-Dickson, acheteuse chez Enotria Winecellars au Royaume-Uni. « La popularité d’un cépage repose sur les disponibilités et les prix. Seuls l’Afrique du Sud et le Chili avaient la capacité économique de proposer les deux. Ils se sont inspirés de la Nouvelle-Zélande et ont compris qu’ils pouvaient offrir la même chose, à moindre coût ». Historiquement, l’appellation Sancerre a joué un rôle important sur le marché britannique et il y a fort à parier qu’il influe encore et toujours sur les préférences gustatives des consommateurs de ce pays : « Tout en ignorant que le Sancerre est issu du sauvignon blanc, ils se rappellent encore de son goût et l’apprécient. Etant donné son positionnement prix, le Sancerre avait un côté snob mais dès lors qu’on y substitue le nom du cépage, sa réussite est assurée ». Posadas-Dickson réfute l’idée selon laquelle l’envolée commerciale du sauvignon blanc au Royaume-Uni repose entièrement sur les vins néo-zélandais : « La Nouvelle-Zélande n’est pas en mesure de proposer le positionnement prix adéquat ni une typicité variétale. Or, cette dernière s’avère essentielle aux yeux des consommateurs. Par ailleurs, l’acidité et la fraîcheur – rappelant le goût de la bière – représentent des éléments indispensables ».
Plus grande diversité des vins néo-zélandais
Pionnière, malgré tout, du sauvignon blanc, la Nouvelle-Zélande fait évoluer sa gamme, grâce à des connaissances plus pointues sur le cépage et bien sûr, pour éviter qu’une lassitude ne s’installe chez les consommateurs. L’offre qu’elle propose est loin d’être unidimensionnelle, une diversification qui n’est pas passé inaperçue dans la presse. « Il ne fait aucun doute que la Nouvelle-Zélande ne propose plus un seul style de sauvignon blanc. Si vous pensez que le profil organoleptique se limite à des arômes de groseille à maquereaux et de poivron vert, eh bien vous vous trompez ! » affirme Will Lyons, chroniqueur dans The Wall Street Journal. « J’ai remarqué que les vins peuvent être classés selon quatre typicités : un profil sec, des vins avec beaucoup d’arômes exotiques et d’agrumes, d’autres qui affichent un caractère plutôt herbacé et enfin, le sauvignon boisé qui présente un profil plus tendre et plus rond ».
Montée en gamme
Assurer un avenir durable au sauvignon blanc passe par la diversification des typologies, mais aussi par une montée en gamme. Dans la Napa Valley, le sauvignon est de plus en plus pris au sérieux par les plus grands producteurs, sa fonction de culture commerciale ayant tendance à s’estomper. Dans The Wall Street Journal, la journaliste Lettie Teague écrivait au printemps dernier : « de plus en plus de grands producteurs de la Napa Valley recherchent les meilleurs terroirs pour acheter ou planter du sauvignon blanc. Ils expérimentent diverses techniques de fermentation et font des essais avec différents clones. Il en résulte une sélection de vins beaucoup plus ambitieux – dont le positionnement prix l’est aussi – certaines cuvées dépassant 100 $ la bouteille… [Cette] vague de sauvignon ambitieux de la Napa Valley est encensée par la critique ». La France est déjà bien positionnée sur le haut de gamme. Cependant, ses vins portent souvent le nom d’une appellation, ce qui brouille les cartes en matière de compréhension des motivations d’achat. Enfin, l’offre française constitue une alternative intéressante aux vins du Nouveau Monde, qui contiennent souvent du sucre résiduel, élargissant ainsi le champ des possibles pour le consommateur.
Sur le podium
L’ensemble de ces facteurs contribue à maintenir une dynamique autour du sauvignon et à développer ses ventes. Sur plusieurs marchés export clés dans le monde, le sauvignon est souvent cité parmi les cépages préférés des consommateurs. Au Royaume-Uni, des données publiées en septembre dernier par la Wine & Spirit Trade Association (WSTA) montrent que le sauvignon blanc figure dans le trio de tête, avec le pinot gris et le merlot, pour ce qui est des préférences variétales. Aux Etats-Unis, les études révèlent que le sauvignon est fortement apprécié par les consommateurs tandis qu’en Chine, 5ème marché mondial pour le vin, il se place troisième sur les cinq cépages ayant la meilleure notoriété, selon les données de Wine Intelligence. Le cabinet britannique a également observé que les trois pays scandinaves que sont la Norvège, la Suède et le Danemark, réservent une place de plus en plus importante au sauvignon, au détriment du chardonnay.
Polyvalence
Dans bon nombre de ces pays, les vins se consomment en dehors du repas. L’un des plus grands atouts du sauvignon réside dans sa grande souplesse : il peut s’apprécier seul et en accompagnement de mets, en apéritif ou pendant tout un repas. Cette polyvalence devrait lui permettre de perpétuer sa réussite commerciale, mais d’autres facteurs y contribuent également : « De grandes marques font la promotion du sauvignon et elles continueront à y consacrer des sommes considérables car il s’agit d’un cépage aux repères simples », affirme Natalia Posadas-Dickson. Faisant spécifiquement allusion, au sauvignon néo-zélandais, Will Lyons conclut quant à lui, sur ces belles paroles : « Les meilleures cuvées offrent une régularité extraordinaire, sont faciles à comprendre et plaisent au plus grand nombre, le tout à des prix corrects. Ce qui me passionne dans ces vins, certainement comme d’autres consommateurs, c’est leur mariage entre des arômes intenses et une acidité vive et éclatante ».
Source : Comité de pilotage du sauvignon blanc – www.cmsauvignon.com
Par Sharon Nagel.
Un sondage IFOP 2014 pour Vin & Société : boire du vin rend les français heureux
Selon le dernier baromètre IFOP / Vin & Société, 86 % des Français interrogés pensent que le vin permet de passer un bon moment et 69% qu’il rend le quotidien plus agréable et plus festif. Le vin, et avec lui l’art de vivre à la française, est source de partage, de plaisir et de convivialité. Réjouissons-nous une bouffée d’optimisme souffle sur nos tables !
Liens familiaux, liens sociaux : le vin entre source de bien-être et valeur refuge
Pour 82% des Français, le vin se partage de préférence entre amis ou en famille, chez soi ou chez les proches à l’occasion d’un bon repas. C’est l’occasion privilégiée, celle qui procure le plus de plaisir.
Les Français voient le vin comme le symbole de tradition (92%), de convivialité (91%), d’authenticité (87%), de partage (87%) et d’héritage (78%). Il est aussi synonyme de bien vivre ensemble (76%), et pour 58 % des Français interrogés, le vin contribue à les rendre heureux, à se détendre et à être moins stressés. Si le vin est l’élément phare associé au bon repas (87%), il se consomme aussi sans occasion particulière (54%) ou pour fêter un événement exceptionnel pour 38% des sondés. Un constat : le vin fait partie du quotidien des Français, il bénéficie d’une image très positive et son capital sympathie est puissant.
Une consommation responsable entre connaissance et bon sens
Le baromètre IFOP/Vin & Société révèle que 9 personnes sur 10 ne connaissent pas les repères de consommation. Pourtant, les Français interrogés déclarent dans leur ensemble une consommation plaisir occasionnelle, inférieure aux repères recommandés. Pour rappel, les repères de consommation préconisés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), repris dans le PNNS français (Programme National Nutrition Santé) sont : 2 verres maximum par jour pour une femme, 3 verres maximum par jour pour un homme, 4 verres maximum en une occasion exceptionnelle et 1 jour d’abstinence par semaine.
Les Français interrogés déclarent une consommation raisonnable : la France est presque coupée en deux avec 40% de personnes indiquant boire du vin moins d’une fois par semaine, et 49% au moins une fois par semaine tandis que 11% indiquent ne jamais en consommer. Les consommateurs sont en majorité des hommes (59%) contre 39% de femmes avec une prédominance des cadres supérieurs (54%) et des professions intermédiaires (35%). Plus l’âge est avancé, plus la consommation de vin est appréciée avec 70% de buveurs chez les 65 ans et plus, 50% dans la tranche des personnes âgées de 50 à 64 ans, et 45% pour les 35/49 ans par exemple.
Le vin, on l’aime, on en parle, on apprend à le connaître
93% des Français parlent souvent ou de temps à autre de cuisine et de gastronomie. C’est de loin le sujet de conversation préféré des personnes interrogées devant la musique et le cinéma (85%), le vin (75%) et le football (51%). Les Français, contrairement à ce que l’on pourrait croire, parlent donc plus de vin que de football ! 79% des personnes interrogées déclarent aussi chercher à découvrir les vins locaux pendant leurs vacances, ce qui confirme une tendance de fond en faveur de l’oenotourisme et de la découverte du patrimoine culturel français : 10 millions de touristes viennent en effet chaque année découvrir les vignobles. Enfin, 56% cherchent à découvrir la culture du vin : les cépages, les millésimes et les modes de production ce qui semble indiquer que la démarche construite autour du vin est singulière et relève d’une forme de culture et de patrimoine.
Pas moins de 69% des Français ont une cave à vin à domicile, lequel est principalement acheté en grandes surfaces (76%), chez le producteur ou la coopérative (50%), le caviste (36%), les foires et les salons (24%) ou sur Internet (8%). 68% d’entre eux apprécient les conseils d’un caviste pour ne pas se tromper dans leur choix et restent modestes puisqu’ils pensent à 60% qu’il faut être fin connaisseur pour apprécier un vin. 54% ont en effet encore du mal à comprendre à quoi correspondent les informations indiquées sur les étiquettes des bouteilles.
En conclusion, l’attachement au vin des Français n’est pas démenti. Le baromètre indique que le vin célèbre le bien vivre ensemble, suppose de l’apprentissage et de l’éducation, et fait partie de notre culture au sens très large du terme.
En savoir plus : www.vinetsociete.fr
Baromètre : Vin & Société (http://www.vinetsociete.fr) a lancé depuis septembre 2010 un baromètre IFOP sur l’image du vin en France permettant de suivre de nombreux indicateurs : consommation, image, attraits du vin, etc… Le questionnaire a été administré entre le 25 et le 28 août selon la méthode des quotas, auprès de 1002 personnes représentatives de la population française âgées de 18 ans et plus, pour la 5ème année consécutive.
300 tonnes de Liège sont recyclées chaque année, un chiffre qui progresse 30 à 50 % par an
Designers, architectes, industriels… nombreux sont ceux qui sont conquis par ce matériau 100% recyclable qui prend une nouvelle vie dans l’habitat, la mode, l’industrie automobile ou aéronautique.
Pour soutenir ce mouvement, les Professionnels du Liège multiplient les points de collecte et comptent sur les fêtes de fin d’année pour faire le plein de bouchons et inciter le public à venir déposer ses bouchons usagés dans les points de collecte recensés dans l’application « Planète Liège », Disponible gratuitement sur AppStore et Google Play.
Issu d’une ressource naturelle qui est indispensable au maintien de l’écosystème, le bouchon de liège se recycle à l’infini. Une fois collectés, les bouchons usagés sont transportés au Portugal dans une usine de recyclage où ils seront transformés en granulés de liège. Ils trouveront ensuite une nouvelle vie sous forme de chaussures, mobilier, matériaux d’isolation, pièces pour le design et l’industrie, articles de décoration, et plein d’autres choses encore, comme le bordelais BiWine, écrin de transport pour le vin tout en liège.
Salon professionnel à Londres mardi 13 janvier 2015 au Tobacco Dock
120 vignerons et 500 visiteurs professionnels attendus.
Dégustations, conférences, masterclasses.
En partenariat avec Harper et le SPPL
Spécialiste des solutions de lutte contre les marchés illicites (contrefaçon, marchés parallèles…), Advanced Track & Trace® assure depuis le millésime 2012 la traçabilité et l’authentification des bouteilles de Pichon-Baron et Pibran.
La solution « Full Track & Trace » mise en place par ATT permet le marquage et la traçabilité unitaire de chaque bouteille en relation avec sa traçabilité amont, la filiation bouteille-carton-palette, et le contrôle des expéditions, facilitant et fluidifiant les process.
A propos d’Advanced Track & Trace®
Expert français des solutions de protection des produits et des marques, ATT a obtenu la confiance des autorités gouvernementales chinoises pour développer, sécuriser et distribuer le label PEOP. Basée à Rueil-Malmaison (92), ATT s’est développée à l’international, à travers des filiales à Hong-Kong, Shanghai (Chine), Palo Alto (Californie) et Lausanne (Suisse). Contact ATT Paris : press@att-fr.com – 99 av. Châtaigneraie 92500 Rueil-Malmaison – Tel 01 47 16 64 72
Un appel d’offres d’un acheteur membre de GWS
Produit: Cru Bourgeois Margaux (sélection officielle 2012).
Quantité minimum: aprox. 5000 Bouteilles de 750 ml
Catégorie: Vin rouge
Millésime: 2012
Qualité: Qualité complexe
Critère: Margaux