Un appel d’offres d’un acheteur membre de GWS
EUPUR est une société basée à Paris avec une activité principale de sourcing des vins européens, surtout français, et exportation sur le marché chinois.
Nous recherchons actuellement des AOC Bordeaux et Bordeaux Supérieur
Format: 75 cl
Prix : +/- 3 Euros
Quantité: plus de 14, 400 bouteilles
La Bioprotection est une technique mise en place par le laboratoire Oenoteam pour maîtriser le soufre. Mais attention, Bioprotection ne veut pas dire « bio » ! L’œnologue-conseil s’explique sur ce procédé pour le magazine Plus Belle la Vigne Bio
Votre laboratoire a mis au point une technique particulière que vous appelez la bioprotection. A-t-elle quelque chose à voir avec le bio ?
Julien Belle : c’est en travaillant sur le sacro saint problème des brettanomyces* que nous avons mis au point un outil simple pour vinifier sans SO2, en utilisant les microorganismes naturellement présents sur surface des raisins comme les levures ou les bactéries pour tenter de maîtriser les risques de déviations organoleptiques (principalement microbiologiques) qui étaient contenus par le SO2. En effet le sans soufre correspond à une demande globale du marché, qu’il soit bio, biodynamique ou conventionnel.
Nous avons montré qu’il était possible de réduire les teneurs en SO2 et que l’on pouvait se passer de soufre totalement de la vigne jusqu’à la fermentation malolactique. Et que cela donnait des vins qui gagnaient en expression, en pureté et finesse de fruit, des vins éclatants de fruits. Je parle là des vins rouges car pour les blancs c’est plus complexe au niveau des arômes. Notre démarche n’est pas de zapper le So2 mais de l’optimiser. Nous réfléchissons comment encore réduire ces teneurs, notamment au niveau de l’élevage et de la mise en bouteille, surtout pour les vins de garde.
Que représente pour vous le phénomène bio et biodynamique ?
Julien Belle : le marché est très porté sur les vins bio, à la recherche des vins bio pour la pureté de leur expression aromatique. Mais d’un autre côté les consommateurs les fuient en raison de leurs défauts notamment au niveau organoleptique. Il faut que les bios fassent le ménage chez eux. Je pense que le système Bioprotection devrait réconcilier tout le monde, bios et non bios, pour faire ressortir la pureté aromatique des vins. Technique et bio ne sont pas deux choses contradictoires pour moi. La technique n’est pas un gros mot. Un producteur doit pouvoir anticiper, piloter l’évolution de son vin. Pour moi la qualité aromatique d’un vin passe par la technique c’est-à-dire la réflexion sur le vin, l’anticipation.
Lire l’article complet d’Evelyne Malnic dans plusbellelavignebio
Le Palmarès 2015 comporte 525 médailles dʼOr, 727 dʼArgent et 410 de Bronze
Les 20 et 21 mars 2015, à l’Espace Charenton Paris 12ème, le jury d’experts du 26ème concours des Vins des Vignerons Indépendants a récompensé les meilleurs vins des Vignerons Indépendants.
6 019 échantillons présentés, 1662 médailles attribuées, 2 400 jurés.
Le pourcentage des médailles ne dépasse pas 28 %
AOP (ex AOC) / IGP (Vin de Pays) / SIG (Sans Indication Géographique) – Vin de France
Certifié ISO 9001 : la haute qualité du Concours atteint un degré d’expertise irréprochable par sa rigueur et sa crédibilité.
Le Concours des Vins des Vignerons Indépendants a la particularité d’accueillir des jurés non professionnels mais néanmoins formés, pour que ce soit bien le goût du consommateur qui s’exprime.
Consulter le Palmarès des Vins d’Aquitaine
Histoire et actualités du Droit Viticole : étude des liens entre le droit, le vin et l’environnement par le CAHD et l’IRDAP de l’université de Bordeaux
S’interroger sur la qualité environnementale du vin conduit à revenir non seulement sur la définition du vin, mais aussi et surtout à poser un cadre conceptuel.
Le vin est d’abord un produit de consommation qu’il faut produire, conserver, acheminer et vendre. N’est-il pas alors pleinement logique que le droit qui l’encadre soit économique au sens d’une réglementation venant au premier chef réguler un marché et devant s’adapter en permanence aux besoins de la production et de l’économie comme des politiques publiques qui s’imposent historiquement ?
Puisqu’il doit être consommé, le vin est un produit agricole qui doit aussi être surveillé dans un but sanitaire et social. À ce titre, la logique économique s’associe et se mêle aux politiques publiques qui tentent de protéger les populations tant de l’alcoolisme que des produits trompeurs, défectueux et dangereux.
Mais qu’en est-il alors de l’environnement et de l’insertion de cette production et de cette consommation dans une perspective écologique ?
À la confluence de la culture et de la nature, le vin semble a priori être un produit naturel, un don de la « nature ». S’il faut bien sûr une intervention humaine, le vin demeure considéré comme agricole, un produit de la terre, d’autant plus qu’il est issu d’un terroir. Est-il toutefois à mi-chemin entre nature et culture ? Il est possible d’en douter puisqu’il est fortement structuré par des représentations et des pratiques sociales qui en font le résultat complexe de façons de vivre et de techniques qui n’ont rien de « naturel » et doivent tout ou presque à l’histoire.
Au sein de ce sujet vaste et complexe, les réponses du droit et des juristes ne sont nullement à négliger. Les professionnels du secteur vitivinicole trouveront ainsi dans cet ouvrage les informations les plus pertinentes, fruits de recherches récentes.
VINALIES INTERNATIONALES® édition 2015, a proclamé son Palmarès
Durant 5 jours, un jury composé de 18 tables de dégustateurs et d’1 table de 7 dégustateurs (dont 2 Français et 3 ou 5 étrangers,) tous francophones, se réunit chaque matinée sous la gouverne d’un Président de table, oenologue, pour déguster à l’aveugle des vins des quatre coins du monde.
Sur 3 575 vins dégustés cette année, il y a 302 médailles OR et 767 médailles ARGENT.
Consulter le Palmarès pour la région bordelaise
Or
Château Ferrande AOP – AOC graves Blanc 2014 France Bordelais SC Château Ferrande
Argent
Cardus de la Cardonne AOP – AOC médoc Rouge 2009 France Bordelais Les Domaines CGR
Château Baron Fillon AOP – AOC bordeaux rosé Rosé 2014 France Bordelais SCEA Raymond
Château Baron Fillon AOP – AOC bordeaux Blanc 2014 France Bordelais SCEA Raymond
Château Brown AOP – AOC pessac léognan Blanc 2013 France Bordelais SCEA du Château Brown
Château Brown AOP – AOC pessac léognan Rouge 2012 France Bordelais SCEA du Château Brown
Château Crabitey AOP – AOC graves Rouge 2012 France Bordelais SARL Vignobles de Butler
Château d’Arcins Cru bourgeois AOP – AOC haut médoc Rouge 2013 France Bordelais SC Château d’Arcins
Château de Carles AOP – AOC fronsac Rouge 2012 France Bordelais SCEV Château de Carles
Château de Chantegrive AOP – AOC graves Blanc 2012 France Bordelais SAS Vignobles Lévêque – Château de Chantegrive
Château de Landiras AOP – AOC bordeaux rosé Rosé 2014 France Bordelais SCA Domaine La Grave
Château du Bousquet AOP – AOC côtes de bourg Rouge 2013 France Bordelais SC Château du Bousquet
Château du Lort AOP – AOC bordeaux supérieur Rouge 2013 France Bordelais SC Domaine du Lort
Château Fontesteau Cru bourgeois AOP – AOC haut médoc Rouge 2012 France Bordelais SARL Château Fontesteau
Jean-Christophe Mau – Château Brown – AOC Pessac Léognan
Photos Jean-Bernard Nadeau – Réalisation Vidéo Arnaud Fleuri
Jean-Christophe Mau
Cadet de la cinquième génération des Mau, il renonce tout d’abord à la voie toute tracée du négoce et se dirige vers le monde de la finance, obtenant un diplôme en expertise comptable.
Mais, très vite, il comprend que sa vie est ailleurs, répondant à l’appel de la vigne, il reprend alors le chemin de la maison de négoce familiale, et s’initie à l’art du vin auprès de son oncle au Château Ducla dans le sud de la Gironde. Homme d’idées autant que viticulteur exigeant, Jean-Pierre Mau l’ouvre à une approche complète et novatrice de la viticulture, que vient renforcer la formation de la Faculté d’Oenologie de Bordeaux, dont Jean-Christophe sort diplômé en 1998.
Il dirigera une première propriété familiale dans le nord du Médoc, puis en 2005, lorsque sa famille investit dans le Château Brown, une propriété de 29 hectares de vigne en Pessac-Léognan, il décide de relever un ambitieux défi : faire de ce domaine l’un des fleurons de son appellation. Jean-Christophe s’entoure alors de professionnels aguerris, constitue une équipe, et produit en quelques années des vins élégants, dont la qualité ne cesse de croître au fil des millésimes.
Château Brown
Le château Brown témoigne du lien entre la région bordelaise et les Anglo-Saxons. Créé à la fin du Moyen-Âge alors que l ‘Aquitaine était anglaise, il doit son nom au riche négociant écossais John Lewis Brown, qui s’établit à Bordeaux à la fin du 18ème siècle. Son petit-fils fut le grand peintre animalier John Lewis Brown.
Le domaine connaît ensuite une alternance de gloire et d’oubli, il faut attendre les années 1990 pour le voir recouvrer tout son lustre : sous l’impulsion de Bernard Barthe, maître des lieux dès 1994, la propriété entame une renaissance avec des investissements conséquents dans la vigne et l’outil de travail.
En décembre 2004, celui-ci choisit de remettre son « œuvre » entre les mains de la famille Mau, célèbre dynastie de négociants, inscrite depuis 1897 au premier plan de l’histoire viticole bordelaise.
Longtemps réputé pour ses grands blancs, Château Brown va rapidement prouver d’une véritable ascension dans la qualité de ses rouges, plus profonds, plus précis, plus gourmands – grâce à une gestion parcellaire pointue et une meilleure maitrise de l’apport des barriques.
Un écrin de verdure à préserver
Jean-Christophe Mau poursuit une démarche d’excellence dans le travail de la vigne, avec des drainages et labours réguliers, un toilettage ultra-rigoureux, des sessions d’effeuillage et de vendanges en vert quand le millésime l’exige. Le Château Brown est engagé activement depuis 2012 dans une démarche de lutte raisonnée, il a intégré progressivement le SME (Système de Management Environnemental) dans sa gestion quotidienne, et a obtenu en juillet 2014 une certification ISO 14 0001. Une utilisation très réduite de produits phytosanitaires et l’installation de ruches en bordure des vignes en sont des illustrations.
7 hectares supplémentaires vont venir compléter le parcellaire actuel des 24 hectares de vigne en rouge (dont 3 dès le millésime 2017) et de nouveaux investissements sont prévus à Brown dans les années à venir, notamment en œnotourisme avec la réhabilitation de la chartreuse historique.
Making Of
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Site Internet du Château Brown
Lundi 30 mars 2015 à partir de 18h sur le Sicambre – Dimanche et lundi 30 mars 2015 de 9 à 18 h à Planète Bordeaux
Le Château Des Seigneurs de Pommyers vainqueur 2015
Le Jury composé de 20 jurés, professionnels, négociants, courtiers, sommeliers, journalistes, présidents de clubs oenologiques et bloggeurs, et présidé par Jean-Pascal Paubert, Président et fondateur de l’Association des Sommeliers de Bordeaux Aquitaine, a désigné à l’issue d’une dégustation à l’aveugle, les 20 meilleures réussites de l’appellation.
Les lauréats sont :
1 : Château des Seigneurs de Pommyers, propriétaire Sandrine Piva, Saint Félix de Foncaude
2ème : Château Canteloudette, Cave Coopérative de Rauzan-Grangeneuve
3ème : Château Martinon, propriétaire, Jérôme Trolliet, Gornac
Soirée du lundi 30 mars 2015 au CAPC à Bordeaux
Découvrez la liste des 58 vignerons présents
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