Cet ouvrage de référence indispensable aux amoureux du Cognac vient de sortir aux Editions Inventaire des territoires., il a été réalisé sous la direction de Michel Guillard et Nicolas Faith
Conçu de manière originale, ce livre propose de découvrir les secrets du cognac à travers différentes thématiques :
L’abécédaire aborde, par le biais de 116 notices, tout ce qui concerne l’eau-de-vie des Charentes sous la forme de définitions synthétiques, les chroniques et les entretiens (interviews et portraits de personnalités du monde du cognac), destinées aux lecteurs intéressés par des études plus approfondies, sont rassemblées dans des cahiers spéciaux – ainsi que les morceaux choisis, recueil de textes ayant trait au cognac et à sa région.
Superbement illustrée, cette encyclopédie a été voulue aussi sérieuse qu’agréable à parcourir ; grâce à la contribution des très nombreux auteurs (notamment la linguiste Françoise Argod-Dutard, le géographe Gilles Bernard, l’agronome Véronique Lemoine, le sociologue Claude Fischler et le philosophe Michel Onfray) on y trouve aussi bien des textes scientifiques signés par des universitaires que des encadrés anecdotiques et distrayants.
Si le ton général de l’encyclopédie a été souhaité classique, il n’exclut pas l’humour comme par exemple pour l’élaboration du cognac (traitée comme un roman policier) ou la tonnellerie (présentée sous la forme d’un conte).
Marché de Noël les samedi 17 et dimanche 18 décembre 2016 à Planète Bordeaux
De nombreux artisans locaux pour préparer les fêtes de manières conviviales, festives et locales. De nombreux ateliers et bien sur les dégustations proposées par les vignerons des Bordeaux & Bordeaux Supérieur présents pour l’occasion !
Premières impressions sur les vendanges 2016 avec Xavier Planty, Bernard Sirot, Adrien David Beaulieu, Lionel Gardrat et les Oenologues du Laboratoire Oenoconseil.
Les Oenologues d’Oenoconseil – 25 Octobre
A l’opposé du 2013, le millésime 2016 dans le Bordelais présente une double réussite pour les rouges :
Récolte plutôt généreuse et qualité au rendez-vous. La maturation des raisins rouges a eu lieu dans des conditions climatiques exceptionnelles avec une régulation hydrique parfaite, qui a permis d’obtenir des vins d’une grande précision, d’une grande richesse en fruit, en fraîcheur, en couleur et en tanin. Ces derniers sont pleins, denses, fins et veloutés. L’ensemble est harmonieux. Nul doute qu’il s’agira d’un grand millésime.
Bien-sûr, il existe des parcelles en excès de récolte qui donneront des vins plus dilués mais qui reste malgré tout d’un niveau très correct grâce à une maturation prolongée.
Les raisins des blancs secs, malgré des températures un peu élevées et un stress hydrique plus soutenu que la normale, ont gardé un bon niveau aromatique avec une bonne fraîcheur, de l’amplitude et du gras.
Les vendanges des blancs liquoreux auront été particulièrement étalées cette année. Les quelques pluies alternées avec de longues périodes de beau temps ont permis un développement du botrytis puis une concentration dans des conditions climatiques excellentes avec un botrytis très pur. Les vins des premières tries ont un beau éclat aromatique avec de la fraîcheur, pour les tries suivantes le style devient plus classique, plus gras avec un confit très complexe et tout aussi pur.
Plus d’infos avec enoconseil
Rive Gauche
Xavier Planty – Château Guiraud – 1er Grand Cru Classé en 1855, le 25 Octobre
Du 17 au 22 octobre : c’était la semaine attendue patiemment… Une semaine de folie, de feu, de fatigue et de bonheur ! Après 3 passages rapides, peu abondants, où l’on a systématiquement prélevé les raisins concentrés, il a fallu attendre pour voir la pourriture noble s’installer de manière homogène et abondante.
La semaine précédente était celle de tous les dangers avec un botrytis magnifique mais une concentration insuffisante. Il nous fallait deux jours de plus avec du vent. Nous avons eu les deux jours mais seul le samedi 15 a été venteux avec un vent d’Est établi toute la journée et une partie de la nuit. Voilà c’est gagné !
Malgré un lundi 17 dans le brouillard froid, nous trouvons nos équilibres avec une pourriture sublime. En six jours de travail intense, nous rentrons une belle, bonne et grosse récolte de grand vin.
Les jus sont d’une grande pureté de goût, les fermentations sans problème, les arômes dans le chai un pur bonheur. Il nous reste quelques grappes par-ci par-là mais le premier cru est dedans à 100% !
Xavier Planty – Château Guiraud
Bernard Sirot – Château Closiot, le 8 octobre
Les vendanges sont déjà terminées chez nous. En ce début octobre, nous nous penchons avec des spécialistes sur l’incroyable et incontestable précocité rencontrée sur nos parcelles. Que ce soit sur l’appellation où par rapport à nos voisins directs, le contraste est étonnant. En 2015, nous avions commencé nos vendanges en liquoreux le 11 septembre pour les terminer le 8 octobre… Cette année, c’est encore allé plus vite… Démarrées le 19 septembre elles se sont achevées le 7 octobre… Et, avec une richesse en sucres naturels plus élevés qu’en 2015 pour tous les lots rentrés…
Place maintenant aux vinifications,assemblages en chais et préparation de nos salons… Inutile de vous dire que cette précocité est un pur bonheur pour nous…
En savoir plus
Rive Droite
Adrien David Beaulieu – Château Coutet – AOC Saint Emilion Grand Cru, le 24 Octobre
Pour nous ce millésime se caractérise par un des plus gros rendements des 20 dernières années, nous approchons les 40 hecto/ha ! La vendange rentrée aujourd’hui est très saine, nous avons eu la chance de ne pas être impacté par la grêle et les petites pluies du mois de septembre ont bien aidé les fins de maturité. Nous nous attendons à un grand millésime et espérons que sa notoriété sera à la hauteur des millésimes 2009 ou 2010.
Adrien David Beaulieu – Château Coutet
Lionel Gardrat, Vignobles des Hauts de Talmont, IGP Vin de Pays Charentais, le 26 Octobre
Cette année, encore une fois, il aura fallu être patient…. et réactif ! Un printemps humide, un été très sec, avec le juste ce qu’il faut d’eau mi-septembre… et la magie a opéré ! Nous avons commencé les vendanges le 30 septembre et terminé avec le Merlot le 10 octobre. La qualité des raisins était quasi parfaite pour une quantité correcte, correspondant à nos objectifs qualitatifs. Les premières tendances promettent des vins riches et profonds conservant la finesse que ce terroir nous offre. Bien plus de détails prochainement !
Lionel Gardrat – Vignoble Les Hauts de Talmont
Production Advance – Outdoo Factory
Adrien David Beaulieu, Château Coutet AOC Saint-Emilion Grand Cru
Photos Jean-Bernard Nadeau – Réalisation Arnaud Fleuri
« Notre famille est liée au Château Coutet depuis plus de 400 ans, la propriété s’est en effet transmise familialement depuis Thomas d’AUGEREAU, maire de Libourne en 1601, premier propriétaire identifié de Coutet.
Je suis né en 1986, j’ai passé 5 années à la faculté de Bordeaux et obtenu une licence de géologie du quaternaire. Pour financer mes études, je travaillais à la propriété, surtout dans la partie technique. J’ai ensuite intégré une formation d’ingénieur agronome en formation continue, me spécialisant dans la gestion d’exploitation agricole.
Cela fait aujourd’hui 4 ans que je travaille à temps plein à Coutet aux côtés de mon oncle qui en est le gérant, je m’occupe principalement de la commercialisation.
Le développement de l’oenotourisme à Coutet était la première partie de mon mémoire de fin d’étude à BSA (école d’agronomie). Le projet de mise en avant et de production de la cuvée émeri en était la seconde. »
La propriété s’étend sur 16 hectares d’un seul tenant, dont 12 de vignes, à moins d’un kilomètre à l’ouest de la cité de Saint Emilion, à la pointe ouest du plateau calcaire de Mazerat. La répartition des cépages sur la propriété est : 60% merlot, 30% de cabernet franc, 3% de cabernet sauvignon, 7% de malbec.
Au début du XXéme siècle, le vin du Château Coutet était présent sur toutes les grandes tables du monde, du tsar Nicolas II au Grand Khédive d’Égypte. La propriété a été reconnue Grand Cru Classé lors du premier classement de 1954, jusqu’en 1986.
« Ce Château est l’une des rares propriétés viticoles girondine vierge de toute utilisation de pesticides de synthèse ou de désherbants. Nous avons en effet toujours cultivé de façon « bio ». Après avoir été perçus comme des arriérés, nous sommes aujourd’hui considérés comme des précurseurs alors qu’en réalité nous avons peu changé…
Cette spécificité donne à notre propriété une biodiversité faunistique et florale exceptionnelle.
Nous travaillons aujourd’hui nos sols de trois façons : robot tondeuse solaire (vitirover), tracteur mécanique et cheval de trait. »
L’oenotourisme au Château Coutet
« Nous nous sommes lancés dans cette voie de façon sérieuse il y a 3 ans et avons été récompensé par le trophée « Best of Wine Tourism d’or 2015″ du réseau des Great Wines Capitals, dans la catégorie « valorisation des pratiques environnementale ». C’est le côté familial et authentique qui séduit nos visiteurs. En effet toute la famille vit sur place ( 5 foyers) et nos objectifs sont certes la rentabilité (il faut bien vivre), mais aussi le bien être. C’est pour cette raison que 25 % de la surface de la propriété est réservé à l’épanouissement de la biodiversité, vecteur de vie.. Ce point-là est essentiel à notre bien-être, tous passionnés de faune et de flore. Nous proposons donc des visites toute l’année dans notre cadre bucolique et chaleureux en toute simplicité. »
La Cuvée Emeri du Château Coutet
« Tout part d’une bouteille pleine découverte par mon oncle dans la terre battue de la cave familiale, bouchée avec un bouchon en verre (Emeri) et datée de 1750. Après 4 ans de travail sur ce projet nous lançons aujourd’hui une cuvée spéciale à l’image de la bouteille : bouteilles soufflées et moulées à la dimension exacte de l’ancienne, bouchon en verre moulé.
Pour aller au bout de l’idée nous essayons d’approcher aussi le vin produit à l’époque.
Nos sols sont les mêmes, le cépage aussi probablement (merlot à queue rouge) et nous travaillons cette cuvée dans l’esprit de l’époque : travail des sols au cheval, vinification dans un foudre en bois. Une cuvée qui s’annonce donc sans équivalent et qui ne sera produite qu’à 200 exemplaires pour son premier millésime : le 2014. »
Le Making Of
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En savoir plus sur le Château Coutet
22 sites ont été labellisés Best of Wine Tourism dont 7 d’Or lors de la 14ème Nuit des Best of Wine Tourism le 18 octobre dernier.
Prochain défi pour ces 7 lauréats d’un Best Of d’Or bordelais : remporter un « super » Best Of International, le 10 novembre prochain à Porto.
ARCHITECTURE ET PAYSAGES : Château de Ferrand (or)
Château de la Rivière
Château Paveil de Luze
Château de Portets
ART ET CULTURE : Château Siran (or)
Château d’Arsac
Château Bélingard
DECOUVERTE & INNOVATION : Château Marquis de Terme (or)
Château de Cérons
HEBERGEMENT A LA PROPRIETE : Château Feely (or)
Château du Payre
Château Siaurac
RESTAURATION A LA PROPRIETE : Château d’Agassac (or)
Château La Dominique
Château de Léognan
VALORISATION OENOTOURISTIQUE DES PRATIQUES ENVIRONNEMENTALES : Château Fourcas Hosten (or)
Château Guiraud
Château Dauzac
SERVICES OENOTOURISTIQUES : Château Soutard (or)
Château Fombrauge
Maison des vins des Côtes de Bourg
COUP DE CŒUR DU JURY : Château Cantenac
Faits marquants de l’édition 2016 à Bordeaux
Créé à Bordeaux en 2002, le concours Best Of Wine Tourism récompense chaque année les sites les plus remarquables en matière d’œnotourisme. Cette année pas moins de 85 dossiers ont été déposés, dont environ un tiers de nouveaux candidats. Selon les organisateurs : « La sélection devient de plus en plus difficile avec une véritable professionnalisation du secteur. ». C’est ainsi que le jury a souhaité attribuer un « coup de cœur ». A noter par ailleurs que 4 des 22 lauréats n’avaient encore jamais participé à la compétition.
Un label reconnu au niveau international
Les 22 lauréats 2017 bénéficieront à leur tour d’un label internationalement reconnu et d’un dispositif de communication visant à accroître leur notoriété. Site internet, page Facebook, compte Twitter, relations presse, opérations de promotion, guide œnotourisme, autant d’outils qui leur permettront de se faire connaître auprès des journalistes, des agences de voyages, tours opérateurs, ou du grand public.
En France sur un an* les ventes de vins de Bordeaux en grande distribution s’établissent à 168 millions de bouteilles (-3%) pour un chiffre d’affaires stable. Notons que ce recul en volume est commun à l’ensemble des vins d’AOP en grandes et moyennes surfaces (-2%).
Les ventes de vins de Bordeaux sont toujours impactées par le volume historiquement faible de la récolte 2013 (-28% par rapport à la moyenne décennale) et par des récoltes 2014 et 2015 qui ne dépassent pas cette moyenne.
Bordeaux, reste le 1er vignoble AOP vendu en grandes surfaces avec 27% des volumes et 31% de la valeur.
Les ventes de Bordeaux Premium en 75 cl sont en progression :
+2% pour les bouteilles vendues entre 4 et 6 euros
+4% pour les bouteilles vendues entre 6 et 15 euros.
Les volumes inférieurs à 3 euros la bouteille de 75 cl. représentent aujourd’hui 18% des ventes de Bordeaux contre 41% en 2007.
Export (cumul 12 mois arrêté fin juin) : repli malgré le dynamisme du marché chinois
Un repli persistant du à l’évolution du marché européen : Les vins de Bordeaux ont exporté 2 millions d’hectolitres (-3%), pour une valeur de 1,7 milliard d’euros (-5%). Par contre la hausse continue vers les pays tiers (+7% en volume , +5 % en valeur), soit 72 % du total des exportations.
1 Chine 300 millions d’euros + 26 %
2 Hong-Kong 278 millions d’euros + 11 %
3 Etats-Unis 188 millions d’euros – 4 %
4 Royaume – Uni 161 millions d’euros (-1place)
5 Japon 113 millions d’euros (+1place)
6 Allemagne 103 millions d’euros (-1place)
7 Belgique 100 millions d’euros
8 Suisse 78 millions d’euros
9 Canada 53 millions d’euros
10 Pays-Bas 39 millions d’euros
*Cumul mobile 12 mois données arrêtées au 19.06.2016
« Deux Pépites de Flo » pour fêter Halloween autour de recettes de citrouille !
Sortez les griffes !
Un breuvage d’actualité élaboré par la Cave des Vignerons de Pfaffenheim : un vin rouge d’Alsace 100% pinot noir « La Griffe du Diable » sur le millésime 2012. Fait assez rare dans le vignoble alsacien pour être signalé, les vendanges sont manuelles sur l’intégralité des 280 ha. Ce pinot fruité aux notes de fraise et groseille confiturées, une touche de thym, cardamone, poivre, tabac, cuir révèle une bouche fondue et fraîche à la finale poivrée. Un accord parfait avec un velouté de citrouille agrémenté de quelques tranches de boudin noir, suivi d’une pintade rôtie aux gnocchis de potiron. Un vin pour accompagner une entrée et un plat sur un même thème : Halloween.
Contact Caves des Vignerons de Pfaffenheim : 03 89 78 08 08 – cave@pfaffenheim.com – www.pfaffenheim.com
Prix TTC départ cave : 11,95 €
A table, Sorcières !
Toujours en Alsace, mais cette fois, un Gewurztraminer millésime 2011 de circonstances : « Les Sorcières » de la maison Doff&Irion. Un domaine réputé par son Château de Riquewihr, son Grand Cru Schoenenbourg et le Clos Château d’Isenbourg, repris depuis 1998 par la Cave des Vignerons de Pfaffenheim. Sortez des accords mets et vins classiques pour préparer des verrines de potiron au crabe ou encore un potimarron farci…à la tomme de Savoie. Un nez élégant de coing confit, pomme, raisin de Smyrne, amande, noix, associé à une sensation délicatement séveuse et épicée au palais, sera la clef d’un accord réussi et audacieux !
Contact Château de Riquewihr – Dopff&Irion : 03 89 47 92 51 – contact@dopff-irion.com
Prix TTC départ cave : 14,50 €
Après les fêtes d’Hallowen…Noël !
Première idée de cadeau : 100 dessins et schémas simples, ludiques pour comprendre le vin d’un seul coup d’œil dans un ouvrage intitulé VINOGRAPHIE. Les auteurs, deux femmes : Fanny Darrieussecq et Mélody Denturck. La première, diplômée du prestigieux Master of Science (MSc) in Wine Management de Vin de l’OIV, et actuellement à la tête de sa société Bordeaux Wine Campus où elle délivre les formations de la Wine & Spirit Education Trust ®, s’est attelée à la rédaction et au contenu. La seconde, diplômée de l’ENSAAMA Olivier De Serres de Paris a réalisé le graphisme et les illustrations. 125 pages pour répondre à toutes les questions que l’on se pose sur le vin : son élaboration, dans le verre, en bouteille, à table, à l’achat, en France, en Europe et dans le Monde.
(*)Organisation internationale de la Vigne et du Vin
VINOGRAPHIE aux éditions Hachettes
Prix TTC conseillé : 14,95 €
Florence Varaine
Je ne peux oublier mes premières rencontres dans les vignobles avec des vignerons et œnologues attachants jusqu’aux plus médiatiques. Je reste toujours à l’affût de nouvelles pépites «sympathiques, gustatives ou innovantes». Des univers sensoriels partagés avec des d’amis connaisseurs ou pas, des clubs de femmes.
Anne Neuville, d’une grande compétence en vinification dans un cru d’excellence du bordelais, et Denis Barse, gastronome et épicurien, en poste à la Cité du Vin, m’accompagnent dans les dégustations.
Après une mission d’un an en ingénierie pédagogique, je reprends le terrain comme journaliste et consultante. A l’occasion de voyages, de rencontres, des concours internationaux (Concours Mondial de Bruxelles, du Sauvignon), l’opportunité de glaner des informations et déguster des vins parfois insolites s’offrent à moi.
WEB : Echos de Bordeaux, a collaboré avec Gault&Millau, SommelierS International, Gilbert&Gaillard.
Oenologue, riche d’une expérience de neuf ans dans la communication, je souhaite mettre mes compétences et ma passion pour le monde du vin au service de vos projets que vous soyez un domaine viticole ou une institution du secteur.
Parmi mes atouts : d’excellentes connaissances sur le vin, de très bonnes capacités rédactionnelles et des expériences fortes en communication que ce soit en événementiel, relations presse, communication digitale ou médias sociaux.
Après une décélération en 2013, le marché du vin a retrouvé son dynamisme en s’appuyant sur une classe moyenne dynamique qui achète des vins moins chers.
Un article de Marie-Claude Veillette, pour Global Wine & Spirits.
Les ventes des vins d’entrée de gamme sont en croissance contrairement aux vins premium, suite aux mesures anti-corruption du président chinois Xi Jinping.
La France reste l’importateur leader avec 38 % du marché, suivie par l’Australie (21 %), les USA (14%) et le Chili (8%).
Ce sont les vins d’entrée et de moyenne gamme de Bordeaux qui sont maintenant le plus consommés à Hong-Kong.
Même si la croissance des vins australiens est assez modeste, ses vins sont appréciés pour leur puissance et leurs arômes à prix compétitifs.
Les vins d’entrée de gamme des États-Unis, du Chili et de l’Espagne sont en forte croissance, ainsi les ventes de vins américains avec une croissance enregistrée de 41,3 % entre 2010 et 2014.