La web-série « une vigne à ma taille », en partenariat entre Mon-Viti et Infaco, met en avant les particularités de taille des vignobles français.
Tailler des vignes totalement ou partiellement gelées peut s’avérer être un véritable casse-tête. Dans cet épisode, Séverine Favre, la rédactrice en chef de Viti a rendez-vous dans l’Entre-Deux-Mer dans le bordelais, chez Philippe Ducourt propriétaire et responsable Vignoble Ducourt.
Ce vignoble a été touché par le gel au printemps 2017. Les tailleurs vont devoir s’adapter et bien choisir les bois pour une récolte à peu près normale en 2018 !
Marie & Sylvie Courselle, directrices du Château Thieuley.
Photos Jean-Bernard Nadeau – Réalisation Arnaud Fleuri
Marie & Sylvie Courselle, directrices du Château Thieuley
Une enfance joyeuse au Château Thieuley avec comme terrain de jeu le chai et les vignes de l’Entre-Deux-mers ! Pendant les vacances, elles participent aux différents travaux de la vigne et du chai. Elles observent la réussite de leur père qui accroissait la surface de production, qui investissait et réinvestissait dans l’outil de production. L’histoire dit que Francis Courselle pleurait à la naissance de sa deuxième fille (Sylvie) car il n’avait pas eu un garçon… Il n’imaginait pas que ses deux filles lui succéderaient !
Pourtant il leur a bien transmis sa passion pour la vigne et le vin et leurs études s’orientèrent naturellement vers la technique, direction Toulouse pour une école d’Ingénieur en Agriculture : ESAP (Purpan), puis une formation d’œnologue (Fac de Toulouse pour Marie et Fac de Bordeaux pour Sylvie). Pendant ces études supérieures, l’apprentissage s’est fait également grâce à de nombreux stages de vinification en France et à l’étranger : Australie, Californie, Espagne ; Italie, Chateauneuf du Pape, Languedoc, Bourgogne font partie des pays/régions qui les ont accueillies (entre 3 et 6 mois) et inspirées par la suite !
Sylvie a joué en compétition au tennis pendant très longtemps, aujourd’hui c’est en pratiquant la course à pied (route et trail) et la natation qu’elles se défoulent quand elles ont le temps car leurs vies de famille et de maman restent aussi une priorité. Travailler oui, c’est dans leur ADN mais en conciliant aussi l’éducation de leurs enfants ! Marie a un garçon et Sylvie deux filles…
Château Thieuley
Issues d’une longue lignée de vignerons et éleveurs en côtes de Castillon, elles sont la 3ème Génération au Château Thieuley, acheté par leur grand père André Courselle. Leur père Francis Courselle est avant tout un grand passionné, il a enseigné 10 ans à l’école de viticulture de Blanquefort. Il a beaucoup développé le Château, mettant en place un bijou d’outil de production au top.
L’une de leurs spécificités est de produire 50 % en Blanc, car elles croient à leur capacité de produire à Bordeaux des vins blancs à la fois faciles à boire jeunes et complexes à maturité. Leur père a fait la réputation de Thieuley avec la qualité de ses vins blancs et elles comptent garder cette image de blanc et de qualité.
« Notre objectif est de faire reconnaître Thieuley comme le grand cru de l’Entre-deux-Mers (en toute modestie)… »
La reprise de cette propriété est le projet d’un duo : celui de Marie et Sylvie, c’était à deux, ou ce n’était pas !! Une question de partage… et d’équilibre !.
Les Cuvées spéciales : pourquoi ? pour qui ?
Elles ont ainsi souhaité exprimer leur métier de vigneronne au travers d’une marque d’une approche toute différente !
Tout à commencé avec la plantation de deux cépages interdits dans les AOC Bordeaux : le Chardonnay et le Syrah dès 2006 !!! De cette envie d’expérimenter ces deux cépages qui les avaient tant séduits dans leurs différentes expériences hors Bordeaux. Leur gamme Vin de France est née dès 2006., l’approche était novatrice.
Aujourd’hui elles proposent une véritable gamme de cuvées spéciales : Le petit Courselle, la cuvée les copains, les copines : des vins de soif, fruités légers, simples en blanc comme en rouge. Elles ont l’ envie de « casser les codes » d’où des packaging innovants et rafraîchissants… L’envie de montrer qu’il est possible de produire des Bordeaux très qualitatifs sans nécessairement avoir recours à la barrique… à partir du moment où les raisins sont d’excellence…
« Si nous avons appris de notre père la technique, le métier et la passion de celui ci, nous avons appris de notre mère le sens du partage et le goût de recevoir. Au fond nous sommes nées vigneronnes et nous sommes devenues épicuriennes. »
Ces nouvelles cuvées de la gamme M&S Courselle, vigneronnes épicurienne sont des étiquettes qui prônent la convivialité au quotidien !
Dans leurs vies à toutes deux, leurs choix ont souvent été guidés par la quête de l’équilibre. Selon elle cette recherche d’équilibre est essentielle au vin aussi. C’est même leur principale exigence ; faire des vins équilibrés, ni trop alcooleux, ni trop verts, ni trop boisés, ni trop secs, ni trop lourds, ni trop frais. Pour cela il faut s’adapter chaque année à une nature changeante, généreuse et parfois capricieuses. »
Le Making Of
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Vinitiques #12, le 22 novembre 2017 a fait le point avec Alexandre Bertin, de AEC, sur le rôle croissant des algorithmes dans nos prises de décisions.
La recommandation numérique : proposer aux internautes un contenu qu’il n’ont pas choisi mais qui est susceptible de les intéresser.
Il s’agit de proposer à l’internaute un contenu qui correspond aux goûts et intérêts qu’on lui attribue grâce à des algorithmes de recommandation.
Aujourd’hui toutes les grands plateformes qui proposent du contenu (video avec Netflix ou Amazon Prime, musical avec Deezer ou Spotify, actu et news avec le HuffingtonPost ou Le Monde), des produits (comme Amazon ou Cdiscount) utilisent cette technologie pour pousser du contenu vers les utilisateurs.
Comment « deviner » les goûts des internautes et leur proposer des contenu pertinents ?
La base est constituée par les données collectées en permanence sur les internautes,
– volontairement : commentaire et like de contenu, formulaires.
– involontairement : pages consultées et parcours de visite enregistré par les cookies et relevés d’achat.
Ces données alimentent des algorithmes (équations mathématiques complexes) qui vont déterminer des corrélations entre des utilisateurs présentant les mêmes goûts et entre des contenus présentant les mêmes caractéristiques. Ces algorithmes vont alors pousser vers les internautes des contenus correspondant le plus possible à leurs goûts et leurs préférences. C’est ce que font Netflix avec les séries, Amazon avec les biens culturels ou encore Spotify avec le contenu musical.
Pertinence et efficacité de ces recommandations
La plupart du temps, les recommandations correspondent aux attentes des utilisateurs. C’est une raison de leur succès et de leur généralisation. Les internautes plébiscitent les recommandations qui leurs sont faites.
Pour les entreprises, ces algorithmes permettent d’améliorer l’efficacité des campagnes marketing en segmentant beaucoup plus finement les consommateurs. Ils permettent aussi, comme le montre l’exemple de Netflix, de fidéliser les abonnés en leur proposant des services et des contenus parfaitement ciblés.
Limite et enjeux
Ces algorithmes, qui restent de simples programmes informatiques, ne sont pas capables aujourd’hui de deviner correctement le degré de satisfaction de l’internaute si celui-ci a été acheté pour une tierce personne. Ils sont également désorientés dès lors que l’internaute a des goûts très éclectiques.
La méthode tend aussi à enfermer les utilisateurs dans une « bulle de filtre » en ne leur proposant que des contenus correspondant à leurs goûts connus et en ignorant des contenus qui sont plus éloignés de leurs préférences. Le risque est d’appauvrir l’ouverture à des nouvelles choses, de nouveaux contenus.
Demain, nos vies rythmées par les recommandations des algorithmes ?
Aujourd’hui les assistants cognitifs personnels arrivent dans nos maisons (Les enceintes Echo d’Amazon, le Google Home par exemple), assistants qui sont capables de communiquer non seulement avec les objets connectés de notre maison mais aussi avec nous. Les intelligences artificielles présentes dans ces assistants vont pouvoir analyser le contenu de notre frigo et nous alerter sur des aliments trop gras ou nous proposer des recettes « healthy » avec les aliments présents.
Le risque existe de voir nos vies dictées par ces algorithmes, qui vont directement peser sur notre libre arbitre, cela dépendra de notre capacité à ne pas nous en remettre exclusivement à ces intelligences artificielle qui, grâce aux algorithmes, auront toujours un bon conseil à nous distiller…
AEC est l’agence aquitaine pour le développement du secteur numérique.
Elle développe son activité autour de 2 axes :
– favoriser la convergence des différents acteurs au travers d’un laboratoire d’expérimentation, d’une veille technologique, l’organisation d’événements d’échanges.
– accompagner des projets numériques innovants à travers l’Auberge numérique, son incubateur de projets.
En janvier 2018, AEC fusionnera avec la technopole Bordeaux Unitec.
Au printemps 2018, AEC a été missionnée pour intégrer la future Cité Numérique et y proposer des activités pour l’animer.
www.aecom.org
Vinitiques
Les Vinitiques sont nées d’une volonté commune du Pôle Digital Aquitaine, du Cluster Inno’vin et des technopoles Bordeaux Montesquieu et Bordeaux Unitec, d’inventer un lieu convivial et propice aux rencontres et aux échanges d’informations entre les filières du vitivinicole et des technologies numériques, électroniques et informatiques. Lancé en 2012, l’événement Les Vinitiques est un rendez-vous bi-annuel à destination des professionnels.
www.vinitiques.com
Extraits de l’étude Credoc intitulée « La Génération Y et le vin » présentée hier, jeudi 16 novembre, à l’occasion du lancement du laboratoire d’idées de Vin & Société.
Moins de vin et moins souvent à table
La baisse de la consommation de vin traverse toute la population. Parmi elle, en 2003 comme en 2013, les 18-30 ans sont les moins consommateurs de vin : leur consommation est moins fréquente et la quantité moins importante. Parallèlement, la consommation d’autres alcools reste stable chez eux alors qu’elle diminue pour le vin … On observe en particulier une plus forte déconnexion entre le vin et le repas parmi les 18-30 ans. Or, le vin a longtemps été une boisson largement associée à la table. En 2013, 12% des prises de vin des 18-30 ans ne sont pas accompagnées d’aliments solides, soit trois à quatre fois plus que chez les plus de 40 ans. Les 18-30 ans associent moins le vin à un bon repas que les autres adultes : parmi les 18-30 ans, ils sont 32% en 2013 (contre 23% en 2003) à ne pas accorder d’importance à cette association.
Le vin accompagne l’alimentation mais la structure du repas a changé
En dépit de cette représentation en régression, on constate que chez les 18-30 ans, davantage que dans les autres tranches d’âge, le vin accompagne les repas plus conséquents : les repas avec vin sont plus longs, et la durée moyenne des repas est plus élevée lorsqu’il y a du vin, jusqu’à deux fois plus élevée chez les 18-30 ans.
Ces repas caractérisant la génération Y sont les signes de moments conviviaux. C’est moins la nourriture qui appelle le vin que la convivialité du moment, même si la nourriture y participe souvent. Autre dimension significative dans cette convivialité des 18-30 ans, le vin est en premier bu avec des amis, puis en famille, alors que pour les plus âgés, il est d’abord bu en famille. Dans les jeunes générations, l’influence de la famille est plus faible, au profit des pairs … La consommation de vin chez les 18-30 ans, est aussi de plus en plus conviviale : 4% seulement des prises de vin se font seuls en 2013 contre 9% en 2003.
L’apéritif dinatoire, métaphore de la génération nomade
Les 18-30 ans consomment du vin avant tout au dîner (2 fois plus qu’au déjeuner), puis au déjeuner et enfin en apéritif (pratiquement le même poids que le déjeuner). Mais ce qui caractérise le plus les 18-30 ans est l’apéritif dînatoire. La simplification des repas y trouve sa forme la plus aboutie : on circule, on choisit parmi l’ensemble des mets à disposition de même que l’on papillonne d’un convive à l’autre.
La fréquence des apéritifs dînatoires est plus importante chez les 18-30 ans que chez les plus âgés. Le fait d’organiser des apéritifs dînatoires au moins une fois par mois les caractérise fortement : 70%, contre 48% chez les 31-40 ans et 35% chez les 50 ans et plus. Les 31-39 ans sont certes plus nombreux à en organiser (52%, contre 45% des 18-30 ans), mais de façon moins fréquente. La pratique de l’apéritif dînatoire correspond aussi à des étudiants ou à des jeunes couples sans enfants.
Comme les repas, plus simples, moins structurés, moins copieux qu’auparavant, la consommation de vin se fait plus conviviale et moins protocolaire (un vin attaché à un plat, bu assis à table). Le vin reste lié à la nourriture mais moins à la notion de repas à table. Le vin circule de concert avec les convives, qui eux-mêmes ne sont plus assignés aux mêmes voisins. Les autres boissons alcoolisées sont d’ailleurs beaucoup plus consommées que le vin en dehors des repas. Ce sont les 18-30 ans qui consomment le plus de vin à l’occasion des apéritifs : 23%, contre 18%, 12% et 7% pour les autres tranches d’âge.
Les changements de la nouvelle génération liés à la révolution numérique ont un impact sur les modes et les styles de vie, y compris dans les manières de partager des moments de convivialité. L’habitude de mener plusieurs tâches en même temps permet de manger ensemble mais debout, ou assis à plusieurs endroits successifs, en regardant et en partageant un écran (portable, tablette…). A cet égard, l’apéritif dînatoire est symptomatique d’une génération nomade. Les jeunes générations souhaitent vivre des expériences inédites. Elles souhaitent à la fois du lien social et de la liberté.
Vin & Société
Une structure unique en France qui fédère et représente les 500 000 acteurs de la vigne et du vin : production, négoce et interprofession. Elle est composée de 29 membres : 7 organisations nationales, 21 organisations professionnelles régionales. Fortement implantée en régions et porteuse de la dynamique de toute une filière, Vin & Société souhaite transmettre les traditions et les valeurs du vin tout en étant un laboratoire d’idées nouvelles pour le vin et la société de demain.
Le laboratoire d’idées « La Génération Y et le vin »
Lancé par Vin & Société en partenariat avec La Revue du Vin de France, ce laboratoire s’inscrit dans le prolongement du Vinocamp Paris 2016, qui avait rassemblé la communauté des Vinocampeurs autour du thème « La Génération Y sur les routes du vin ». Afin de poursuivre cette réflexion, Vin & Société explorera, d’année en année, les relations et les représentations que les 18/30 ans entretiennent avec le vin. Pour la première édition, Vin & Société s’est associée à l’Ecole Domani Institute (Groupe ISG – Ecole de commerce spécialisée dans les nouveaux mondes du Luxe, de la Mode et du Design). Les étudiants de 2e année de l’école ont exploré le rapport de la Génération Y au vin à travers le réseau social Instagram. Ils ont produit des cahiers de tendances, à l’issue d’un workshop d’une semaine auquel ont collaboré Denis Saverot de La Revue du Vin de France, Eric Briones, le darkplanneur, Arnaud Daphy du Vinocamp et Ophélie Neiman, blogueuse et journaliste au Monde.
Un regard sur l’évolution du marché marché des effervescents proposé par Castel.
Les vins effervescents de bordeaux sont en forte croissance mais pèsent encore peu au sein des AOP effervescentes.
Castel
Castel, au travers de sa marque Malesan, développe sa production de Crémant de Bordeaux en Blanc et en Rosé. Ses équipes on un réel savoir faire sur le marché effervescents puisque Castel est aussi producteur d’effervescent du Languedoc et de Prosecco.
En savoir plus
Du 1er au 3 décembre à Paris, Le Carreau du Temple.
Il s’agit en fait de 2 salons Vinibio et Biogourmet, destinés aux amateurs de vins bio et du Bien Manger. ViniBio – BioGourmet rassemblent au sein d’un même lieu, une sélection de vignerons, de producteurs de produits alimentaires biologiques, de produits festifs, haut de gamme ou rares pour des consommateurs à la recherche de produits de qualité à trois semaines des fêtes de fin d’année.
Quelques chiffres
– Plus de 130 exposants et 10 000 visiteurs attendus.
– Des ateliers œnologiques et conférences pendant 3 jours.
– Dimanche matin et vendredi soir réservé aux professionnels..
– 1 parcours Vins Vegan.
Informations pratiques
Du 1-3 décembre 2017 – Carreau du Temple – Paris 3e
Vendredi : 15h – 20h (soirée professionnelle 20h-22h) / Samedi : 12h – 21h / Dimanche : 12h – 18h (matinée professionnelle 10h-12h)
À un peu moins de trois mois de l’ouverture de Millésime Bio, les organisateurs ont dévoilé les résultats de leur dernière enquête sur les ventes de vin bio. Extraits du 
reportage Mon Viti.com.
Le « boom » du secteur se confirme
Avec un taux de croissance annuel moyen de 20 % sur les sept dernières années, le marché des vins bio est indéniablement en expansion.
En France tout d’abord, où le chiffre d’affaires de la filière a été multiplié par 2,5. La vente de vin bio a ainsi généré en 2016 un peu moins de 800 000 euros de CA.
Le poids des circuits de distribution évolue aussi.
La vente directe reste toujours en tête, néanmoins, les ventes en magasins spécialisés (Biocoop, La Vie Claire…) et chez les cavistes augmentent. A contrario les ventes en grande surface sont stables. Et cela ne devrait pas changer avec le millésime 2017.
À l’étranger, le vin bio français a aussi une clientèle grandissante. D’après les estimations de l’Agence Bio, les expéditions de vins bio, en 2016, auraient généré un chiffre d’affaires de 400 000 euros. Soit une progression de + 32 % sur un an, quand les vins français, tous modes de production confondus, enregistrent un retrait de 0,8 %.
Objectif 50 % des vignes en bio en 2025
Le marché enregistre une croissance à deux chiffres mais l’offre n’est pas en reste. La France abrite le troisième vignoble bio au monde avec 70 740 ha en bio ou en conversion (9 % de la surface nationale) derrière l’Espagne et l’Italie.
La progression des surfaces est en moyenne de 10 %/an sur les dernières années.
surface de vignes certifiées AB par région en France en 2016 (Agence Bio)
Le nombre de conversions est lui aussi dans une dynamique très positive. En 2014, ils étaient 170 à être entrés en conversion. Sur le premier semestre 2017, ils sont 467 !
Découvrez ce nouveau guide proposé par La Maison des Vins de Cadillac.
Le schéma d’organisation des certifications environnementales issu du Grenelle Environnement est applicable à l’ensemble des certifications environnementales existantes, toutes filières confondues. L’organisation en trois niveaux permet de hiérarchiser les labels selon leurs exigences.
Chaque niveau de certification présente ses propres exigences d’un point de vue environnemental. L’acquisition d’un niveau donné conditionne le respect des exigences du niveau précédent.
Le vendredi 3 novembre, 144 dégustateurs chinois (dont des importateurs, distributeurs et acheteurs chinois, …) ont dégusté 180 vins médaillés au Concours de Bordeaux – Vins d’Aquitaine. Ils ont décerné 27 Trophées « Coup de Cœur ».
Le Palmarès
Blaye et Blaye Côtes de Bordeaux
BC de Bayle Carreau 2015 – SAS Vignobles Bayle-Carreau
Château La Botte Réserve Cuvée Alexandre 2014 – SCEA Vignobles Blanchard
Bordeaux
Château de Beauregard-Ducourt 2015 – Vignobles Ducourt
Château Thieuley 2014 – SCEA Vignobles Francis Courselle
Château Thieuley Réserve Francis Courselle 2014 – SCEA Vignobles Francis Courselle
Cru La Maqueline 2015 – Castel Frères SAS
Bordeaux Supérieur
Château Coursou 2015 – GFA Coursou
Château de Parenchère Cuvée Raphaël 2014 – SAS Château de Parenchère
Château Le Moulin 2014 – SARL Vignobles Querre
Château Pierrail 2015 – EARL Château Pierrail
Les Hauts de Naudon 2015 – EARL Château Pierrail
Castillon – Cotes de Bordeaux
Château La Roche Beaulieu 2012 – SARL Vignobles Querre
Côtes de Bourg
Château Grand Jour 2014 – SAS Lamont Financière
Château Jean de la Monge 2015 – SARL Vins Chety
Château Puybarbe Cuvée le Maine 2015 – SCEA Orlandi Frères
Sainte Croix du Mont
Château Crabitan Bellevue 2013 – GFA B. Solane et Fils
Saint-Emilion Grand Cru
Château Jean Voisin 2015 – SCEA Château Jean Voisin
Château Montlabert 2013 – Castel Frères SAS
Lalande de Pomerol
Château Pavillon Beauregard Le Chapelain 2012 – SCEA Château Beauregard
Haut Médoc
Chevalier d’Arcins 2015 – Castel Frères SAS
Médoc
Château Gémeillan 2014 – EARL Uijttewaal
Château Tour Prignac 2014 – Castel Frères SAS
Remparts de la Cardonne 2012 – Domaines CGR
Moulis
Château Pomeys 2014 – SCEA Vignobles Lalaudey et Pomeys
Saint-Estèphe
Château Morin 2014 – JJ Mortier & Cie
Côtes de Bergerac
Château Bélingard 2014 – SCEA Comte de Bosredon
Jurançon
Le Bon Roy Henry 2016 – Cave des Producteurs de Jurançon
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