L’entreprise Baron, tonnellerie familiale replante à compter de cette année, 12 000 chênes par an, soit l’équivalent de sa production en nombre de barriques, par l’intermédiaire du fond de dotation « Plantons pour l’avenir ».
Devenue mécène en janvier 2018, la Tonnellerie Baron, participera ainsi chaque année, au reboisement de 8 hectares de forêt, soit 1 800 m3 de bois produits, l’équivalent de 1 400 tonnes de CO2 valorisées soit 18 emplois ETP dans la filière bois.
Cette démarche fait partie d’un plan d’action plus large à horizon 2019 : autonomie énergétique, mise à disposition de véhicules électriques pour les salariés, réintroduction d’une zone biotope sur le site de production, bassin de filtration des eaux usées.
Tonnellerie Baron
Cette entreprise familiale créée en 1875 compte 60 salariés, elle est dirigée par Nicolas Tombu, Xavier Baron et Lionel Kreff. Sa production annuelle moyenne est de 12 000 barriques.
Plus d’infos : www.tonnellerie.com
Plantons pour l’avenir
C’est le premier Fonds de dotation pour replanter des arbres en France. Créé en 2014, il s’inscrit parfaitement dans la lignée de la loi d’avenir pour l’Agriculture, l’Alimentation et la Forêt (n°2014-1170 du 13 octobre 2014, article 67), en suivant « Une mission d’intérêt général qui soutient des projets de reboisement pour une filière d’avenir ».
Plus d’infos : www.plantonspourlavenir.org
Au Château Brown en Pessac-Léognan, les parcs du Château proposent des espèces végétales et florales uniques sur le domaine, ils constituent des refuges pour la faune.
Les parcs du château sont un milieu proposant des espèces végétales et florales uniques sur le domaine (châtaigniers, sapins, muscaris à toupet, serpolet….) et dans lesquels sont aperçus parfois quelques mammifères auxiliaires (lièvres, renards, écureuils…).
Une zone forestière entoure par l’ouest et le nord 50% du domaine sur laquelle on trouve majoritairement des acacias, châtaigniers et pins. Une majorité des massifs forestiers de la propriété est classée comme espace boisé à conserver, par conséquent leur abattage est soumis à réglementation. L’activité humaine est très faible sur ces zones forestières , ce qui est bénéfique à la biodiversité faunistique.
Le vignoble est en zone interdite de chasse et il n’a recours que ponctuellement à un piégeur agréé, qui contrôle la population d’animaux nuisibles (renards, taupes…) et régule la diversité des espèces animales présentes sur le site (blaireaux, lièvres, chevreuils…).
Cette stratégie globale est définie au sein d’une charte environnementale, illustrée par une carte interactive :
Consulter la carte interactive.
En savoir plus sur le Château Brown
Dixième édition jeudi 6 décembre 2018 au Palais des Congrès Bordeaux Lac à 9h.
Programme :
Grand Témoin : Jean-Louis Etienne
9h00 – Introduction d’Allan SICHEL et Jean-Louis ETIENNE.
10h00 – La filière s’adapte au changement climatique
Projet LACCAVE (Nathalie Ollat – INRA), Plan Climat 2020 Vins de Bordeaux (JM Voigt – CIVB)
10h30 – Objectif « 100% du vignoble engagé dans une démarche environnementale » : la preuve par l’exemple
SME du vin de Bordeaux (Agathe Minot), outils réglementaires de la filière (Yann Slostowski – CIVB), et témoignage
11h45 – La réduction de l’usage des produits phytosanitaires et atouts de la biodiversité :
Projet VITIREV (L. Héraud – Conseil Régional), état des lieux à Bordeaux (L. Charlier – CIVB), biocontrôle (N.s Aveline – IFV), biodiversité en Gironde (J. Guenser de Vitinnov, Y. Charbonnier de la LPO Aquitaine, V. Hermouet de la Fédération des Chasseurs de la Gironde)
12h30 – Soyons fiers de nos actions Développement Durable
Stratégie de communication développement durable du CIVB (Stéphanie Sinoquet – CIVB) et remise du certificat ISO 14001/HVE par Fabien Zedde – OCACIA, et Philippe Bardet – Président de la 1ère Association pour le SME du Vin de Bordeaux.
14h00 – Les vins de Bordeaux vers la RSE par B.Calvet – Commission Technique CIVB, et témoignage d’acteur (E. Mazeiraud – Aqualande)
14h30 – Enjeux et objectifs RSE
Présentation des résultats de l’étude-miroir sur le socle d’engagements RSE (Institut BVA)
15h30 – Plan Bordeaux Ambition 2025 et la stratégie RSE de la filière
Perspectives et plan d’action (Muriel Barthe – CIVB)
Inscription obligatoire, par ici
Le vendredi 2 novembre, 120 dégustateurs chinois (dont des importateurs, distributeurs et acheteurs chinois, …) ont dégusté 120 vins médaillés au Concours de Bordeaux – Vins d’Aquitaine. Ils ont décerné 22 Trophées « Coup de Cœur ».
Le Palmarès
Bordeaux Blanc
Château Pierrail 2017
Bordeaux
Château Ballan Larquette Prestige 2015 – Vignobles Chaigne et Fils
Château Jaumard 2015 – Union de Guyenne
Bordeaux Supérieur
Château Pierrail 2016
Château Floréal Laguens 2015 – Grands Vins de Gironde
Château Grossombre de Saint-Joseph 2016 – Vignobles André Lurton
Castillon – Cotes de Bordeaux
Château Lamartine 2016 – Gourraud et Fils
Château de Belcier 2014 – Gironde et Gascogne
Sainte Foy – Cotes de Bordeaux
Château Baby Réserve 2015 – Lamont Financière
Côtes de Bourg
Château Puybarbe Cuvée Prestige 2015 – Orlandi Frères
Château Carpena 2015 – Vignobles Bayle-Carreau
Lalande de Pomerol
Château Perron 2015 – Vins Fins Massonie
Saint-Emilion
Château de la Cour – Cuvée Jean-Jules 2015 – JJ Mortier
Graves
Château Jouvente
Château Haut-Gagnan – Labbé Lalanne
Sauternes
L’Ilôt de Haut-Bergeron 2015 – Château Haut-Bergeron
Haut Médoc
L’enclos de Ramage 2015 – Château Ramage La Batisse
Ailes de Paloumey 2015 – Château Paloumey
Château Beaumont
Médoc
Château de La Croix 2015
Château Saint-Christophe 2015 – Vignobles Cruchon
Moulis
Château Pomeys 2014 – SCEA Vignobles Lalaudey et Pomeys
Saint-Estèphe
Château Morin 2014 – JJ Mortier & Cie
Montravel
Terre de Pique-Sègue – Anima Vitis 2015 – Château Pique-Sègue
Le sauvignon blanc est plébiscité par des consommateurs à travers le monde mais comment son succès varie-t-il d’un pays à l’autre ? Avec une boutique au Touquet Paris Plage en France, et une autre à Tournai en Belgique, Pascale Guillier est particulièrement bien placée pour évaluer des différences d’approche selon chaque culture.
Tout d’abord, présentez-nous vos magasins
La société a 125 ans et nous nous sommes consacrés uniquement aux vins à partir de la fin des années 70. En 1999 j’ai créé la cave Touquettoise et deux ans après la Cave Saint-Jacques à Tournai. A Tournai, notre sélection comporte environ 400 références tandis qu’au Touquet, nous référençons un peu moins de 300 vins. Nous donnons des cours de dégustation aux professionnels et aux particuliers et possédons également une maison de gros qui travaille avec environ 125 restaurants, ainsi que d’autres cavistes. Les caves Touquettoise et Saint-Jacques sont plutôt orientées vers une clientèle de particuliers. Au total, nous commercialisons plus de 650 000 bouteilles. Au Touquet, 40% des ventes sont des blancs et 25-30% des blancs sont des sauvignons.
Comment se compose la gamme des sauvignons dans vos magasins ?
Nous travaillons avec toutes les régions françaises qui cultivent le sauvignon. Malheureusement, nous n’avons pas de sauvignons étrangers, faute de place pour l’instant. Dans la région de la Loire et du Centre, nous référençons par exemple des Touraine, Reuilly, Menetou-Salon, Pouilly et Sancerre. Nous travaillons avec des Bordeaux blancs, et proposons un certain nombre de sauvignons assemblés avec du sémillon. Nous commercialisons aussi un sauvignon de la région de Saint-Chinian, qui est complètement atypique, comme quoi le sauvignon peut avoir une signature aromatique très reconnaissable, mais pas toujours ! En l’occurrence on ne le reconnaît pas du tout ! Nous référençons aussi un « Blue Sauvignon », mais là, c’est pour le fun. Nous le travaillons davantage sur le Touquet qu’à Tournai. Nous proposons aussi un château dans le Cabardès qui fait de jolies choses.
Y a-t-il des différences importantes dans les sélections entre le magasin en France et celui de la Belgique ?
En effet, il y en a énormément. La Belgique est moins orientée vers les vins blancs. Notre cave française se situant sur la Côte d’Opale, nous y commercialisons beaucoup plus de vins blancs et énormément de sauvignons. C’est un cépage qui plaît bien, pour sa fraîcheur et aussi en accompagnement des plateaux de fruits de mer consommés dans cette région côtière. Les accords mets et vins sont toujours très jolis parce que le sauvignon gomme l’iode. C’est le choix numéro un pour ce type d’alliance. Nous travaillons avec de grandes maisons de sauvignon et sommes plutôt sur des profils d’appellation. Pour les vins de cépage du Sud, c’est à nous de les faire découvrir parce que les gens n’iront pas spontanément les chercher. Ils ne s’imaginent pas qu’il peut y avoir du sauvignon dans le Sud. Ils n’associent pas le Languedoc par exemple avec le sauvignon alors qu’il s’en produit des magnifiques dans cette région.
Y a-t-il des différences importantes dans les sélections entre le magasin en France et celui de la Belgique ?
Le critère essentiel pour nous, c’est l’équilibre et je travaille beaucoup là-dessus. Ensuite, il faut que cet équilibre offre un bon rapport qualité-prix et réponde à la demande des clients.
Quels sont les styles de sauvignon blanc les plus en vogue actuellement ?
Les consommateurs recherchent plutôt des vins sur la fraîcheur. Le bois passe difficilement. Dans tous les cas, il faut faire preuve de doigté avec le bois. Nous avons fait des essais avec quelques profils légèrement boisés et ce n’est pas ce que les consommateurs recherchent encore. Ils cherchent des vins frais, consommables tout de suite, avec des arômes de type agrumes, fleurs blanches. Il ne faut pas non plus qu’ils soient trop exubérants. Le sauvignon se consomme notamment en accompagnement de mets. Il est moins évident à proposer à l’apéritif. Dans le Nord, nous sommes plus attachés aux bulles à l’apéritif et les vins blancs sont plutôt des accompagnants de table.
Le profil le plus recherché a-t-il évolué au cours des dernières années ?
Absolument. Les consommateurs recherchent moins aujourd’hui des sauvignons trop typés thiols. Ce style passe moins bien qu’auparavant. Ce qui est privilégié, c’est plutôt le côté fruits de la passion, et de la minéralité, même si ce mot est un peu galvaudé. Ce sont malgré tout les qualificatifs qu’on entend le plus. Les profils tendus sont préférés.
Comment résumer les raisons du succès du sauvignon blanc ?
En réalité, le sauvignon est un cépage polyvalent par excellence, il peut tout aussi bien être exubérant comme discret. Il peut être simple et consommable tout de suite, mais aussi se marier avec de la grande gastronomie comme le homard ou le turbot. C’est ce qui le rend passionnant.
Son intérêt, c’est qu’il est consommable presque tout de suite. Une bouteille vendue est consommée dans les 24 ou 48 heures et le sauvignon ne nécessite pas d’être mis en cave pendant plusieurs années pour être prêt à boire. Les clients nous posent quand même la question de savoir s’ils peuvent garder le sauvignon et même si nous répondons qu’il est possible de le mettre en cave, on sait qu’il sera quand même bu dans les 48 heures ! On le voit surtout au Touquet – les gens ne viennent pas en vacances avec leur cave à vins, donc très souvent nous les recevons deux fois par jour et souvent ils repartent avec du sauvignon. Pourquoi ? Parce qu’ils ont le plaisir immédiat, ils n’ont pas à se creuser la tête et ils peuvent l’ouvrir tout de suite.
Peut-on parler de gamme de prix que les consommateurs trouvent acceptable pour le sauvignon ?
Nous commercialisons certains sauvignons à 6-7 euros la bouteille mais la majeure partie de ceux que nous vendons se positionnent entre 10 et 15 euros. Au-delà, c’est plus aléatoire et cela concerne vraiment des amateurs à la recherche du côté terroir. Si on prend l’exemple de la Loire, il s’agit d’expressions de terroir différenciées comme le silex ou le calcaire, ce qui donnera des vins soit sur la fraîcheur et la vivacité, soit sur plus de gras. Ce sont là des amateurs plus éclairés et on aura du plaisir à discuter avec eux.
Quel avenir prévoyez-vous pour le sauvignon blanc en termes de profil gustatif et d’occasions de consommation ?
Je pense que le sauvignon a une place énorme à prendre sur le marché, à condition de pouvoir surmonter les conséquences de certains aléas climatiques – comme ceux qui ont déjà frappé la Touraine – qui sont susceptibles de casser toute une dynamique. Autrement, je pense que le sauvignon ne pourra qu’assumer une place plus importante parce que beaucoup d’efforts ont été réalisés. Les vignerons travaillent beaucoup plus la maturité, ce qui était le gros défaut des sauvignons auparavant. Pour notre part, nous développons de plus en plus notre gamme. Notre prochaine optique, ce sera de faire entrer des sauvignons étrangers – Californie, Allemagne, Autriche, Australie, Nouvelle-Zélande. Nous aimerions beaucoup développer le sauvignon – c’est un cépage en vogue et on nous en demande de plus en plus.
Source : propos recueillis par Sharon Naguel
Les organisateurs du Concours Mondial du Sauvignon ont mis en place un comité de pilotage composé de 8 professionnels du vin ayant des compétences rédactionnelles et une connaissance du cépage. Ils constitueront, au fil des mois, un fonds documentaire dans lequel professionnels et consommateurs pourront aller puiser pour en savoir plus sur ce cépage aujourd’hui omniprésent dans le monde, mais qui n’a sans doute pas encore révélé toutes ses qualités et ses spécificités.
Les membres du Comité de pilotage : Sharon Nagel : journaliste freelance (Royaume-Uni/France) ; David Cobbold : journaliste à Vino BFM, Les 5 du vin (Royaume-Uni/France) ; Pedro Ballesteros : Master of Wine (Espagne) ; Roberto Zironi : chercheur-professeur (Italie) ; Valérie Lavigne : chercheur-professeur (France) ; Philippo Pszczolkowski Tomaszewski : œnologue-professeur (Chili) ; Paul White : journaliste au World of Fine Wine, Decanter (Nouvelle-Zélande, Etats-Unis, France) ; Christian Eedes : rédacteur en chef du WineMag.
www.cmsauvignon.com – Prochaine édition 8 au 10 mars 2019 à Udine (Italie)
Le géant chinois du e-commerce Alibaba investira 253 millions d’euros, sous forme d’achat d’actions, pour stimuler la croissance du marché du vin en chine.
Le Chiffre d’affaires de 1919.cn a augmenté de plus de 16 % l’an dernier à environ 425 millions d’euros.
1919.cn importe et vend du vin, des bières et des spiritueux importés de France mais aussi d’Australie, du Chili d’Italie, des Etats-Unis directement aux consommateurs chinois.
Il distribue aussi des boissons chinoises.
Source et article complet Vinexpo Newsroom
Le 16e concours international des meilleurs Effervescents du Monde® a réuni 22 pays. En 3 jours, des experts internationaux ont évalué 594 vins effervescents.
182 médailles on été délivrées (33 Or, 163 Argent). Le classement Top 10 compte6 vins français dont 2 Champagnes et 4 Crémants : trois de Bourgogne, et un d’Alsace.
De nombreux pays remportent de très belles médailles : Afrique du Sud, Argentine, Brésil, Suisse et Moldavie !
Consultez le palmarès complet
Palmarès France
Ce plat traditionnel riche en nutriments s’harmonise avec le fruit et les tanins souples de ce Bordeaux rouge Talent 2018 de son appellation proposé par Planète Bordeaux.
Le magret est un filet de viande découpé à partir de la poitrine du canard gras. Ce magret apporte 205 calories pour 100g dont 10% de protéines et 30% de lipides quand il est cru, mais 30% de Protéines et seulement 10% de graisses une fois cuit, grâce à la fonte des graisses.
A noter aussi sa richesse en vitamines D ainsi qu’en oligo-éléments tel que le sélénium (puissant anti-oxydant, anti-âge et anti-virus) et le zinc (qui en particulier contribue à l’élimination de l’alcool par le foie).
La garniture se compose de :
– christophines appelée aussi «chayotte» ou «chouchou» de la famille des cucurbitacées, cultivée sous climats chauds comme plante potagère. C’est un légume peu calorique, constitué à 90% d’eau, riche en fibres douces excellentes pour notre intestin. A noter son apport en potassium et en magnésium.
– quelques chanterelles, appelées aussi girolles, peu énergétiques elles aussi : 30 calories pour 100g. Ces champignons sont aussi riches en fibres mais contiennent du cuivre, du sélénium et des vitamines B1,B2 et B5. Ils contiennent des lectines, protéines qui pourraient avoir un effet bénéfique sur les risques de certains cancers, notamment celui du colon.
Consulter la recette complète et l’accord sur Planète Bordeaux
Une création Agence Fleurie.
Apéro Bordeaux a fait déguster à domicile trois Bordeaux rosé Oscars 2018 de leur appellation à un panel d’Internautes sélectionnés, les commentaires sont à découvrir sur le site.
Il s’agit de Flair, du Château Lauduc et du Château Vermont..
L’opération Apéro Bordeaux est menée par le Syndicat des Bordeaux et Bordeaux Supérieur. Chaque mois 15 internautes sont sélectionnés parmi les inscrits et un kit de dégustation composé de 3 bouteilles de vins est envoyé à leur domicile . Toutes leurs appréciations sont ensuite publiées sur ce blog. Apéro Bordeaux c’est aujourd’hui 45 000 inscrits à la newsletter, et 35 000 qui suivent la page Facebook, ces internautes français amateurs de vins s’initient ainsi de façon ludique à la dégustation.
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