Apéro Bordeaux : 3 Bordeaux Clairet oscars 2019 de leur appellation

Apéro Bordeaux a fait déguster à domicile 3 Bordeaux Clairet oscars 2019 de leur appellation à un panel d’Internautes sélectionnés, les commentaires sont à découvrir sur le site.

 

Il s’agit du Château des Tourtes, du Château Lamothe de Haux, et du Château Cajus.

 

Retrouvez sur Apero Bordeaux tous les détails sur cette dégustation et les commentaires du jury d’internautes commentant les vins.

 

 

L’opération Apéro Bordeaux est menée par le Syndicat des Bordeaux et Bordeaux Supérieur. Chaque mois 15 internautes sont sélectionnés parmi les inscrits et un kit de dégustation composé de 3 bouteilles de vins est envoyé à leur domicile . Toutes leurs appréciations sont ensuite publiées sur ce blog. Apéro Bordeaux c’est aujourd’hui 45 000 inscrits à la newsletter, et 40 000 qui suivent la page Facebook, ces internautes français amateurs de vins s’initient ainsi de façon ludique à la dégustation.

Vous pouvez retrouver Apéro Bordeaux sur Facebook.

 

 

Portraits d’acteur :
Thomas Guibert

 

Thomas Guibert, propriétaire du Château Roquevieille et du Château Palatin.
Photos Jean-Bernard Nadeau – Images Drone Stéphane Labaurie – Réalisation Arnaud Fleuri – Interview Frédérique Nguyen Huu.

 

Thomas Guibert : Voir plus loin et plus grand

Ingénieur de l’École de Purpan, Thomas Guibert dispose aussi d’un diplôme d’œnologue. Il commence sa carrière dans une propriété viticole appartenant à une société de négoce où il reste deux ans avant de prendre la direction d’une propriété de Saint-Émilion. Il y reste 15 ans, période pendant laquelle ce domaine passe de grand cru à grand cru classé.

 

 

Depuis l’enfance, Thomas Guibert évolue dans l’univers du vin et de la vigne. Son grand-père cultivait une douzaine d’hectares de vignes, situées en côtes-de-Duras, dans le Lot-et-Garonne, tandis que sa belle-famille possède une propriété à Castillon et une autre à Saint-Émilion. Quand son beau-père décède brutalement il y a 5 ans, cette ascendance terrienne et viticole n’est pas sans incidence sur sa décision de se lancer et de « tenter ce pari ».

 

 

Après avoir travaillé 17 ans pour d’autres, il reprend les domaines de Roquevieille et Palatin. Les deux propriétés représentent alors un peu moins de 12 hectares. Thomas Guibert rachète des vignes et prend des fermages pour arriver aujourd’hui à une vingtaine d’hectares sur les deux appellations. Dans les années à venir, il entend continuer de se développer pour enrichir son offre.

 

 

 

 

 

 

Château Roquevieille et Château Palatin : un terroir où « faire de très beaux produits »

Sur ses deux domaines, Thomas Guibert met tout œuvre pour proposer des vins « les plus naturels possible qui reflètent au mieux leur terroir ». Château Roquevieille dispose d’un vignoble unique implanté sur un des points les plus élevés de Gironde. Il se déploie sur un sol où le rocher calcaire affleure ce qui confère aux vins une belle minéralité. Situées sur un dôme entre 120 et 130 m de hauteur, les vignes sont naturellement ventilées et ainsi protégées contre la pourriture, le mildiou et le gel. En 1991 et 2017, Roquevieille n’a pas souffert des gelées ayant frappé la grande majorité des propriétés du Bordelais.

 

Ces éléments ont été décisifs dans son choix de reprendre le domaine explique Thomas Guibert : « en tant que technicien, l’ingénieur agricole que je suis, voit là la possibilité de faire des très beaux produits ». À Roquevieille, il élabore deux cuvées pour une production totale de 120 000 bouteilles dont 80% composent la cuvée tradition avec « des vins souples, élégants, offrant finesse et gourmandise ». Plus exclusive, la cuvée excellence vinifiée dans des foudres de 500L donne des vins de garde plus structurés.

 

Toutes les couleurs du vin
Sur le terroir argilo-calcaire et graveleux du domaine du Château Palatin, Thomas Guibert produit entre 15 et 20 000 bouteilles. Bien qu’ingénieur et œnologue, à Saint-Émilion comme à Castillon, il travaille avec Œnoteam et Thomas Duclos avec lequel il partage une même vision visant à façonner des vins issus de leur terroir, fruités, élégants et dotés d’une grande netteté aromatique.

Passionné d’histoire, Thomas Guibert produit aussi un Clairet, rosé, foncé et soutenu, dans la tradition des vins qui partaient d’Aquitaine pour l’Angleterre à la suite du mariage d’Aliénor et Henri Plantagenêt. Pour compléter l’ensemble et pouvoir offrir « toutes les couleurs du vin », il souhaiterait pouvoir vinifier des Castillon en blanc.

Autre spécificité des vins de Thomas Guibert, leur réseau de distribution. L’homme privilégie le contact direct avec ses clients, cavistes, restaurateurs ou hôtels, en France comme à l’étranger et notamment aux États-Unis où il se rend plusieurs fois par an.

 

Environnement : une vision et une responsabilité collectives

L’environnement est un sujet qui lui tient à cœur depuis de longues années. Son mémoire de fin d’études a conduit à la mise en place d’une station de traitement des effluents pour les adhérents du Syndicat de Castillon Côtes de Bordeaux. Aujourd’hui, l’ancien étudiant n’a rien perdu de ses convictions. Elles se traduisent par un engagement environnemental sur ses propriétés qui disposent d’une certification de niveau 2. Elles s’expriment aussi au niveau collectif « puisque dans ce secteur agir seul n’a pas de sens, l’impact ne peut venir que d’actions communes. »

S’il se félicite des progrès « énormes » réalisés par les vignerons de Bordeaux dans le domaine environnemental ces cinq dernières années, beaucoup reste à faire. Élu syndical de Castillon, il plaide pour que l’ensemble des viticulteurs s’inscrivent dans une démarche globale. À Saint-Émilion aussi les choses avancent. La Commission environnementale de Saint-Émilion, qu’il a co-présidée, a instauré l’inscription d’une certification environnementale dans le cahier des charges de l’appellation pour les propriétés au plus tard en janvier 2023.

 

 

Making of

 

 

En savoir plus sur le Château Roquevieille

 

 

 

Matinée Innovation : Les business models du vin

Matinée innovation Inno’Vin « existe-t-il un business model gagnant ? » lundi 21 octobre 8h30 à Bordeaux Sciences Agro, Amphi Lescouzères.

 

 

Le business model, modèle d’affaires ou encore modèle économique est défini comme la manière dont une entreprise peut engendrer ses revenus.

Au niveau mondial, la diversité des business models des entreprises vitivinicoles reflète la grande hétérogénéité de ce secteur. Pour autant, connaître les différentes approches possibles peut permettre aux acteurs économiques de s’inspirer pour se réinventer, s’adapter aux nouveaux enjeux commerciaux et rester compétitifs.

 

« The Palgrave Handbook of Wine Industry Economics » co-édité par Adeline Alonso Ugaglia, Jean-Marie Cardebat et Alessandro Corsi, publié en mars 2019, offre un aperçu global de ces business models à l’échelle mondiale. Il a reçu le prix 2019 de l’OIV du meilleur livre, catégorie économie.

Cette Matinée Innovation vous propose de venir échanger avec les chercheurs qui ont contribué à cette réflexion.

 

Plus d’infos

 

Inno’Vin Bordeaux Aquitaine
Le cluster INNO’VIN, structure unique en France, fédère l’ensemble des acteurs de l’écosystème vitivinicole, principalement autour de Bordeaux et Cognac : il rassemble aujourd’hui plus de 170 entreprises (producteurs et fournisseurs), institutions et centres de recherche. Acteur de la compétitivité de la filière, il a pour mission de faire germer et d’accompagner des projets d’innovation en favorisant les rencontres. Véritable réseau d’experts, INNO’VIN propose de nombreux évènements thématiques pour les professionnels, ainsi que des services individuels pour ses adhérents : mises en relation, présences à coûts réduits sur salons, veille et information ciblée, actions collectives etc. Depuis sa création en 2010, INNO’VIN a accompagné avec succès plus de 100 projets.
www.innovin.fr

 

 

Création du site internet du Conservatoire des Landes de Gascogne

L’agence Fleurie a cré le site Internet mais aussi le logo et la charte graphique de ce conservatoire nouvellement implanté à Sanguinet.

 

 

Vinexpo 2019 et millésime 2018

L’éditorial de Bernard Sirot.

 

Vinexpo 2019 : retour sur un évènement naguère d’exception…

Au-delà des chiffres de fréquentation donnés au soir du dernier jour, il semble bien que l’édition 2019 de Vinexpo ait réussi son examen de survie en mai dernier. Certes ce n’était pas la grande foule mais les avis des exposants étaient plutôt positifs quand au niveau du business. Certains visiteurs sont cependant restés sur leur fin. La raréfaction de l’offre habituelle étant clairement mise en question. Et demain, que va t’il se passer… Vinexpo Bordeaux deviendra annuel à partir de 2021.

On ne peut imaginer un instant en Gironde que le salon disparaisse de l’univers des salons professionnels du vin ainsi que de la région de Bordeaux.
La ville et son vignoble ont une carte essentielle à jouer et ont peut leur faire confiance pour repenser l’évènement. Mais l’innovation vient d’une présentation commune avec les organisateurs de « Wine Paris ». L’évènement majeur aura lieu à Paris à la Porte de Versailles du 10 au 12 février 2020.  L’objectif conjoint de Vinexpo – Vinisud et Oenovision étant de redevenir le premier salon professionnels des vins au monde….

 

Et pendant ce temps, comment se passe la commercialisation en primeurs du bien beau millésime 2018 ?
Il est toujours difficile de donner un aperçu précis de ce phénomène de vente unique au monde. Les acheteurs et négociants avaient donné au moment des dégustations une barre de prix à ne pas franchir, celle du millésime 2016. Ils semblent avoir été écouté par les producteurs d’où un marché soutenu, sans être exceptionnel cependant. Gageons sur l’innovation des professionnels de Bordeaux pour profiter de ce beau millésime afin de relancer la mécanique économique et commerciale….

 

Bernard Sirot
Journaliste pour Echos de Bordeaux – Dégustateur Vintaste

 

 

Mission exploratoire Inno’Vin Afrique du Sud

A l’occasion de l’Innovation Summit de Cape Town (du 11 au 13 septembre 2019), inno’vin propose aux start-ups et entreprises innovantes une mission exploratoire pour prospecter le marché sud-africain.

 

Le 17 mai dernier, INNO’VIN, SIRENA Technopoles et Launchlab (incubateur de Stellenboch en Afrique du Sud) signaient un protocole d’entente à Paris à l’occasion du salon VIVATECH, afin d’accélérer l’internationalisation des start-ups de Nouvelle-Aquitaine et d’Afrique du Sud en facilitant l’implantation conjointe d’entreprise entre les deux zones.

 

Inno’vin met en place à cette occasion une mission exploratoire à l’occasion de l’Innovation Summit de Cape Town, du 9 au 14 Septembre 2019. Vous pourrez pitcher et exposer lors du salon de l’innovation et Inno’vin organisera des rencontres B to B qualifiées avec des professionnels du secteur viticole d’Afrique du Sud les jours précédents et pendant le salon.
Bénéficiant de l’aide des organisateurs et du soutien de l’Ambassade de France, le prix de la participation est faible et les conditions idéales. De plus, sous certaines conditions, vos frais peuvent être pris en charge en partie par la région Nouvelle-Aquitaine..

 

En savoir plus

 

 

Inno’Vin Bordeaux Aquitaine
Le cluster INNO’VIN, structure unique en France, fédère l’ensemble des acteurs de l’écosystème vitivinicole, principalement autour de Bordeaux et Cognac : il rassemble aujourd’hui plus de 170 entreprises (producteurs et fournisseurs), institutions et centres de recherche. Acteur de la compétitivité de la filière, il a pour mission de faire germer et d’accompagner des projets d’innovation en favorisant les rencontres. Véritable réseau d’experts, INNO’VIN propose de nombreux évènements thématiques pour les professionnels, ainsi que des services individuels pour ses adhérents : mises en relation, présences à coûts réduits sur salons, veille et information ciblée, actions collectives etc. Depuis sa création en 2010, INNO’VIN a accompagné avec succès plus de 100 projets.
www.innovin.fr

 

 

Vinitiques #15 Une co-botique centrée sur l’Humain

A l’occasion de la dernière édition des Vinitiques, Maxime Hardouin, directeur d’Aerospline a présenté son approche d’une co-botique centrée sur l’Humain et les savoir faire,  une approche qui va révolutionner l’emploi en revisitant de nombreux métiers manuels.

 

Des Cobots pour préserver la santé et la sécurité des travailleurs.
Notre offre consiste à créer des machines dédiées et des interfaces simples pour profiter directement (sans passer par de la programmation PC) de la dextérité humaine et de la performance de la machine co-botique. Ces nouveaux cobots attirent les nouvelles générations rebutées par la pénibilité des métiers manuels.

 

Une première mondiale pour Figeac Aero
Plus de 940 composants 960 cage écrous et rivets sont assemblées. Chaque opération fais coopérer homme et robot collaboratif. La pause des rivets Associe donc un cocobot six axes suspendu avec un opérateur. Après repérage le cobot détermine la taille du rivet en fonction de son emplacement. Puis sa tête spécial positionne le rivet pendant que l’opérateur présente la cage écrous à l’extérieur de la virole. Toutes ces opérations de pause son minutieusement consignées :  ordre de fabrication numéro de série, matricule d’opérateur, effort de traction. Pour s’affranchir de tout risque de trouble musculo-squelettiques, chaque manipulation se fait sans efforts pour l’opérateur.

 

Les projets
Aujourd’hui Aerospline travaille sur un projet trans-filière autour de la viticulture en région Nouvelle Aquitaine. Ce projet se fonde sur une solution innovante à base d’une nouvelle approche de la robotique collaborative. A suivre !

 

 

AEROSPLINE construit principalement des outils qui s’intègrent sur des robots collaboratifs. Il peut s’agir de visseuse, de pistolet de peinture, de pinces, de ventouses… Depuis la création de la société en 2012 les ingenieurs en mécatronique d’AeroSpline ont développé toute une gamme de machines robustes et innovantes. Les plateformes cobotiques AEROSPLINE sont certifiées par le Centre Technique des Industries Mécaniques de Senlis et éprouvées en production depuis plusieurs années.
www.aerospline.eu

 

 

Vinitiques
Les Vinitiques sont nées d’une volonté commune du Pôle Digital Aquitaine, du Cluster Inno’vin et des technopoles Bordeaux Montesquieu et Bordeaux Unitec, d’inventer un lieu convivial et propice aux rencontres et aux échanges d’informations entre les filières du vitivinicole et des technologies numériques, électroniques et informatiques. Lancé en 2012, l’événement Les Vinitiques est un rendez-vous bi-annuel à destination des professionnels.
vinitiques.com

 

Palmarès Oenovideo 2019

Le 26e Festival Oenovidéo s’est déroulé du 13 au 16 juin à Marseille.

 

 

Les Festivaliers, producteurs et réalisateurs de films, photographes, professionnels du vin,  ont découvert, en sélection officielle, 37 films sur 144 films de 17 pays en compétition.

Le Grand Jury, présidé par Catherine Lamour, productrice, journaliste créatrice du département des documentaires de Canal+, les jurys partenaires et le public ont primé : 14 films.

 

 

Le Palmarès 2019

 

Grand Prix Oenovideo 2019 est décerné à « 40 hectares, la terre et le cultivateur » Espagne
Production : PEP Puig Films – M. Cortadelia
Réalisation : Clara Isamat

 

Prix du meilleur long-métrage est décerné à : « Vitis prohibita – Le retour des cépages résistants » France
Production : Association Lumière du Jour
Réalisation : Stéphan Balay
Connaissez-vous l’incroyable histoire des vins interdits ? Nous vous invitons à un voyage gustatif hors des sentiers battus de l’œnologie.

 

Prix du meilleur court-métrage est décerné à :  « Vinum insulae » Italie
Production : Cosmomedia – Stefano Muti
Réalisation : Stefano Muti

 

Prix de la meilleure image est décerné à : « Terroir Squad #2 – Spiegelberg » Hongrie/Allemagne
Production : Terroir Squad
Réalisation : Terroir Squad
Stephan Spiegelberg est un vigneron hongrois-allemand qui vit dans la région de Somló en Hongrie. La musique de cette vidéo est celle qu’il joue en permanence à ses vins lorsqu’ils sont élevés dans ses chais.

Prix du meilleur scénario/Mise en Scène est décerné à :  « (R)évolution champenoise – La Vina Manda » Espagne
Production : Vigneron Wines S.L. – D. Martinez
Réalisation : Alvaro Moreno
Hommage aux travail des petits viticulteurs en champagne et à l’évolution de leurs méthodes.

Prix du meilleur film « Promotion » est décerné à :  « Cultivare – La máquina natural » Espagne
Production : Centset
Réalisation : Oriol Gallart
Cultivare, la machine naturelle,une nouvelle façon de penser et d’entendre le vin au travers de la création d’une étiquette.

Prix du meilleur film destiné aux professionnels est décerné à : « La vie sous le bouchon » France
Production : Serena Porcher-Carli, Vincent Zanetto
Réalisation : Serena Porcher-Carli, Vincent Zanetto
Film documentaire.

 

 

Mention spéciale « Coup de Cœur »  du Grand Jury est décerné à :
« Epileptic Inspiration » Afrique du Sud
Production : Green Cub
Réalisation : Sergey Tsoller
« La Voz de la Garnacha : Doble Cuerpo » Espagne
Production : Master Winemakers Espana
Réalisation : Nunam – Wouter Vanmol, Laure Cops

Prix du Public : « Wine Calling – Le vin se lève » France
Production : Pintxos – N. Manuel
Réalisation : Bruno Sauvard

 

Prix partenaires
Prix de l’imaginarium décerné par l’Imaginarium à : Sparflex, l’art et la matière France
Production : Ilomba – Romain Mourgue
Réalisation : Nicolas Humbert
Prix de la meilleure action d’intérêt général décerné par l’ANEV/ADELPHE à :  « Le Jura, un vignoble, une personnalité » France
Production : CDT du Jura – CIV Jura – Ruya Film
Réalisation : Jérémy Hugues dit Ciles
Prix de la Revue des Œnologues décerné par la Revue des Œnologues à :
« Vinum insulae » Italie
Production : Cosmomedia – Stefano Muti
Réalisation : Stefano Muti.
« La vigne hybride » France
Production : Héloïse Bauchet, Lise Deville
Réalisation : Héloïse Bauchet, Lise Deville
Prix Science & Culture décerné par la Fondation Internationale pour les Sciences & Culture de la vigne et du vin (Aigle, Suisse) à : « Georgia – The homeland of wine » Géorgie
Production : Cinemani Films
Réalisation : Aleksandre Gabunia

 

La Cérémonie officielle de remise des Trophées 2019 aura lieu au Palais­ du Luxembourg le lundi 14 octobre 2019.
Demande d’invitation

 

Le Palmarès Complet

 

 

Environnement : Planter un arbre pour 10 ha de vigne

Mon-vitiReplanter des arbres pour maintenir la faune et la flore au vignobles. Extraits de l’article des Vignerons en Développement Durable pour Mon Viti.com.

 

Les Vignerons de Buxy ont rejoint le label des Vignerons en Développement Durable en 2013, pour qui la biodiversité constitue une richesse héritée du passé.

 

En 2014, la cave réalisait un inventaire de la biodiversité sur son territoire en partenariat avec le CENR, le Conservatoire des espaces naturels régional. Ce diagnostic permettait de prendre en compte l’hétérogénéité des pratiques et des structures des associés coopérateurs de la cave.

 

En 2017, les pistes d’action identifiées étant le maintien ou le retour d’une biodiversité à l’échelle des parcelles, à l’échelle du paysage puis à l’échelle du vignoble, fut initiée l’opération « Un arbre pour 10 ha de vignes ». En effet, les arbres isolés sont extrêmement favorables à la biodiversité, ils structurent le paysage et favorisent les transits et refuges d’espèces sauvages

 

Une dimension sociale : le choix d’impliquer  les plus jeunes sur la biodiversité
Les vignerons ont choisi de faire appel pour le conseil et la plantation au lycée de l’horticulture et du paysage de Tournus. Ce projet collectif s’est concrétisé avec la plantation de 121 arbres par 45 associés coopérateurs, permettant ainsi d’améliorer l’inventaire initial sur la flore et donc la fréquentation de la faune. Plus d’arbres, donc plus de biodiversité dans les vignes.

 

 

L’article complet sur Mon-Viti

 

Le site internet des Vignerons en Développement Durable