Une dégustation organisée par la commission dégustation des Oenologues de Bordeaux, mardi 5 novembre à l’ISVV.
Une soirée imaginée par Marie-Laurence Porte. Elle sera animée par Barbara Bacic, fondatrice des Robes de l’Est, DUADiste et formatrice a à l’école du Vin de Bordeaux.
Cette dégustation a lieu à l’ISVV le mardi 5 novembre 2019, à 19 h (jusqu’aux environs de 21 h 30).
La dégustation sera suivie d’un apéritif dégustation de fromages et de charcuterie.
Oenologues de Bordeaux
Plus de 2450 œnologues ont été diplômés ou titrés au sein de l’école d’œnologie bordelaise depuis la création du DNO, en 1955. Environ le quart de ces diplômés suit régulièrement la vie de l’association, par leur adhésion ou/et par leur participation aux différents rendez-vous : dégustations thématiques ou techniques, matinées des œnologues, baptêmes de promotion des nouveaux diplômés…
Le journal La Tribune organisait mardi 16 octobre la 6ème édition de son Wine’s Forum, l’occasion de récompenser des acteurs innovants de la filière Vin.
Les lauréats sont les Vignobles Ducourt, Talent de l’année, la Maison de Cognac Camus, D Innovation, Vegetal Signals, Château Guibeau et Château Guibot la Fourvieille.
Vignobles Ducourt élu Talent de lannée
Les Vignobles Ducourt expérimentent une vingtaine d’hectares de cépages résistants depuis 2014, sur les 450 hectares de vignes qu’ils ont en production. « La 3e année, nous avons baissé le nombre de traitement de 80 %. Et nous ne procédons plus qu’à des traitements au cuivre et souffre. Il y a eu deux traitements en 3e année et aucune maladie. Cette année, un seul. »
Maison de cognac Camus, prix commerce et distribution
Sa stratégie en Asie : favoriser l’e-commerce en BtoB pour gagner en nombre de détaillants et limiter les intermédiaires. Elle a notamment racheté une société d’e-commerce, Fancy Cellar, créée en Chine par deux Français. L’essentiel du trafic s’y effectue sur WeChat. « En Chine, l’e-commerce est intégré aux réseaux sociaux, précise Cyril Camus. Il n’y a pas de barrière entre le monde réel et le numérique. Pour le consommateur, la fluidité est bien meilleure : depuis l’information sur la marque, le désir d’achat, l’achat lui-même et le paiement, jusqu’à la livraison dans un point de vente ou chez soi.
D-Innovation, prix Equipementier
Trois jeunes ingénieurs se sont associés en 2017 pour créer D-Innovation, société basée à Beychac-et-Caillau en Gironde qui développe des inventions, brevetées, pour améliorer les pratiques au chai. Ils ont mis au point un premier robinet de dégustation, Heclipse, qui ne se bouche pas pendant les périodes de vinification et ils préparent également un autre produit pour la barrique, une jauge de niveau.
Vegetal Signals, prix Jeune Talent
Derrière Vegetal Signals, un chercheur en neurosciences qui travaillait sur le sommeil humain, Fabian Le Bourdiec. « J’ai éveillé l’intérêt d’un industriel et commencé à travailler sur le stress hydrique sur la tomate. Résultat : nous étions capables de distinguer une plante qui avait soif d’une plante qui n’avait pas soif, concrètement, le signal de soif déclenche le robinet« , explique Fabian Le Bourdiec. Le travail sur le stress hydrique de la vigne a alors été lancé. « L’intérêt, c’est d’avoir un signal pris à l’intérieur de la plante et que potentiellement nous pouvons lire tout un tas de phénomène : maladie, soif, faim… »
Châteaux Guibeau et Guibot la Fourvieille, prix spécial du jury
Ces deux domaines, qui n’en forment plus qu’un sont des pionniers de la culture Bio en Gironde, puisqu’ils ont basculé dans ce mode de production dès 2009. « Nous vivons au milieu les vignes avec trois enfants, nous avons donc fait le choix de stopper les produits chimiques« , explique Brigitte Destouet. « En théorie, il faut compter 3 ans de conversion mais je pense, pour ma part, qu’il en faut 5, voire 10 le temps que le vignoble s’adapte. Au début, il souffre. Les rendements ont baissé, , il y a eu les événements climatiques : gel, grêle… Mais le plus dur, c’est le stress humain. Dès qu’il pleut, la vigne n’est plus protégée. »
Lire l’article complet de Mikaël Lozano
Une entrée en fonction à un moment clé dans l’histoire du syndicat, avec le lancement du futur classement fin février 2020.
Jennifer Mathieu
Travaillant depuis 2010 à l’Alliance des Crus Bourgeois du Médoc, comme chargée de communication puis Responsable de communication depuis 2016. Elle avait notamment pour mission de développer la communication et la promotion de la mention traditionnelle en France et à l’export aux côtés de sa prédécesseur Frédérique Dutheillet de Lamothe. Agée de 33 ans et titulaire d’un Master en Marketing Communication et Stratégies Commerciales à l’Inseec, elle a travaillé dans les télécommunications puis dans la promotion culturelle à New York avant de rejoindre le syndicat.
Aujourd’hui, Jennifer Mathieu commence une nouvelle aventure à un moment clé dans l’histoire du syndicat, avec le lancement du futur classement fin février 2020
L’Alliance des Crus Bourgeois
Crée en 1962, le syndicat rassemble environ 300 propriétés réparties sur les AOC Médocaines : Médoc, Haut-Médoc, Listrac, Moulis, Margaux, Pauillac et Saint-Estèphe. Les Crus Bourgeois du Médoc ont obtenu, début 2018, l’accord des ministères français pour l’organisation d’un classement quinquennal avec la réintroduction des 3 niveaux hiérarchiques historiques : Cru Bourgeois – Cru Bourgeois Supérieur – Cru Bourgeois Exceptionnel. Les candidatures des propriétés souhaitant accéder à ce classement sont en cours et la publication du Classement est prévue fin février 2020.
SITEVI est le salon international des équipements et savoir-faire pour les productions vigne-vin, olive, fruits-légumes.
Les innovations s’imposent dans les vignobles français, une majorité d’entre eux utilisent désormais des machines de plus en plus perfectionnées pour vendanger, voire des robots pour désherber, travailler le sol, pulvériser de façon raisonnée…
Deuxième producteur européen et deuxième importateur mondial de matériel pour la viticulture, la France est une véritable vitrine de l’innovation de ce secteur, qu’il s’agisse de viticulture de précision, de robotique, d’équipement associant technologies digitales et capteurs numériques… L’objectif est de tendre vers toujours plus de performances tout en respectant l’environnement et en améliorant les conditions de travail.
Les temps forts :
Découverte des SITEVI INNOVATION AWARDS
Le logiciel ID Pack Line d’ATT devient la référence traçabilité pour la filière vin
A voir Stand A3 A 057
En savoir plus sur le salon Sitevi
Ces innovations apportent des réponses à des problématiques comme les contraintes climatiques, le manque de main d’oeuvre, la nécessité de répondre aux attentes du marché et des consommateurs, le bon usage des phytos ou, encore, des alternatives à cet usage….
Cette année, sur les 77 dossiers présentés, le jury a sélectionné 19 produits ou services qui vont dans ce sens. 2 médaillés d’Or, 5 médailles d’Argent
et 12 médailles de Bronze.
Chaque millésime a ses spécificités, heureusement d’ailleurs, mais depuis quelques années, ils sont de plus en plus étonnants, le réchauffement, pour l’instant, n’y est pas pour rien. Les vignerons ont donc de plus en plus la nécessité de s’adapter à ces conditions. 2019 n’échappe pas à cette règle…
Partout dans l’hexagone, les avis sur la qualité sont élogieux, ce n’est pas le cas concernant les volumes. La production a bien entendu souffert de la sécheresse mais à des degrés divers selon les régions. Il faut s’attendre, selon les localisations, à des baisses de production de l’ordre de moins 10 à moins 20 %. Néanmoins la pluie de ces derniers jours est une excellente nouvelle pour tous les vignerons.
Bordeaux n’échappe pas à cette tendance mais son vignoble s’en sort plutôt bien… A ce jour, partout les vendanges sont en cours sauf en liquoreux bien entendu. Les raisins blancs pour le crémant et les vins secs sont magnifiques avec des arômes prometteurs. Pour le merlot, tout le monde est dans les vignes, de Pomerol à Langon en passant par Sauveterre de Guyenne. Même en Médoc où la dernière semaine avec ses températures élevées a permis de récolter des merlots de belle maturité. Pour les cabernets, patience pour optimaliser la qualité. Rien ne presse car les conditions atmosphériques sont prometteuses avec des journées prochaines à 22 – 24° et nocturnes à 10 – 12°. Néanmoins, ce n’est pas une règle générale, car la pluie pourrait engranger l’apparition de foyers de pourriture sur les pellicules sensibles.
La surveillance est donc de mise et le vent bienvenu. Quand aux liquoreux, patience mais la présence dans les vignes est aussi indispensable car la pourriture aigre s’installe dans certains endroits.
Globalement la promesse d’un grand millésime est donc quasi certaine pour la Gironde en ce 26 Septembre… Pour les volumes, patience car les situations sont très contrastées…
Bernard Sirot, journaliste Echos de Bordeaux.
Après les aléas climatiques marquants des millésimes 2017 et 2018, nous avons abordé 2019 avec beaucoup d’espérance et d’humilité face à la nature. Par chance, les conditions météorologiques ont été plus favorables. Ces conditions propices se sont poursuivies du 5 au 13 septembre lors des vendanges de nos cépages blancs. Des nuits fraîches ont contribué à la protection des arômes et des matinées autour de 12 à 15°C pendant la récolte ont été idéales pour ne pas altérer la qualité des baies ramassées manuellement, en petite cagette.
Les sauvignon blanc et sémillon ont donné de beaux volumes et une très belle qualité de raisins. Les jus promettent déjà un grand millésime avec peu d’alcool et une acidité qui apportera un bel équilibre au vin. Les vendanges de nos cépages rouges débuteront vers le 25 septembre, si tout se passe bien jusque-là, la récolte sera au moins aussi belle que celle des blancs ! « En revanche, 2019 nous prouve encore que le dérèglement climatique est bien réel et il a une conséquence sur la maturité des raisins. » Face aux épisodes de sécheresse la vigne a développé son système racinaire afin de puiser eau, fraîcheur et oligo-éléments dans les sous-sols, mais ce n’est pas toujours suffisant, notamment sur les parcelles de cabernet-sauvignon. La vigne a bénéficié d’un ensoleillement très intense depuis juin, ce qui est positif, mais le temps extrêmement sec et le déficit hydrique qui perdure depuis le printemps bloque aujourd’hui la maturité du cabernet sauvignon. Ses pépins ne sont pas encore mûrs, il n’a pas encore atteint sa pleine maturité phénolique. Il faudra être encore un peu patient !
Château Brown – AOC Pessac-Léognan
Après un hiver doux et humide, permettant de refaire les réserves des nappes phréatiques, le printemps, frais, entraine une pousse ralentie de la vigne, et des dégâts de gelées dans certains secteurs. La mi-floraison a lieu autour du 04 juin, soit la date moyenne des 30 dernières années. Les parcelles précoces fleurissent en conditions douces et sèches, mais celles plus tardives, subissent le froid et la pluie, entrainant coulure et millerandage. L’été est particulièrement chaud et sec avec plusieurs périodes de canicule, en juin, juillet et août. La mi-véraison s’établit autour du 09 août, soit 3 jours de retard par rapport à la moyenne. Elle est lente, augmentant l’hétérogénéité issue de la floraison. L’été caniculaire et sec entraine un stress hydrique important, mais le vignoble réagit globalement bien, comme habitué suite à ce 5ème été de sècheresse consécutif. Chaleur et sècheresse empêchent le développement des maladies cryptogamiques, ainsi le vignoble est tout particulièrement sain.
Septembre est chaud et sec, avec des amplitudes thermiques jour/nuit de 20°C, favorisant la concentration des baies en couleur et en arômes de fruits.
A la veille de la récolte, le vignoble est parfaitement sain ; les baies sont petites et les quantités apparaissent déficitaires. Les raisins sont gorgés de sucres tout en conservant un bon potentiel acide ; les peaux sont épaisses, riches de couleur et d’arômes de fruits ; les baies sont délicieuses à déguster.
La récolte des premiers Merlots se fait dans les terroirs précoces (Pomerol, Margaux) vers le 18 septembre, puis se généralise après les pluies du 22. Les Cabernets présentent un très beau potentiel et seront récoltés fin septembre/début octobre. Les premières cuves de rouge révèlent la promesse des beaux raisins récoltés : une couleur noire comme de l’encre, des arômes noirs comme des petits fruits, des bouches noires comme du chocolat avec de la rondeur et de la sucrosité. Un nouveau beau millésime en devenir pour Bordeaux.
Enosens Coutras
Après une floraison sous une climatologie un peu mitigée, plutôt froide et pluvieuse donc favorable à la coulure et au millerandage, suivant le stade physiologique de la vigne, le début de campagne a très mal démarré avec un printemps très pluvieux et une forte pression des maladies cryptogamiques et notamment le mildiou faisant craindre un bis repetita de 2018. Et puis à partir de mi juin à mi juillet l’épisode caniculaire a permis d’assainir complétement la végétation. Ensuite, et c’est ce qui fait souvent la force du terroir de Bordeaux alors que la vigne commençait à réellement souffrir de la chaleur deux épisodes pluvieux conséquents (plus de 50 mm) ont permis à la physiologie de la plante de se relancer. Une très belle arrière saison nous laisse présager une magnifique récolte même si les graines sont petites par manque d’eau et donc le rendement risque de ne pas être si élevé que ce qu’on pouvait présager au moment de la sortie des grappes. Certaines parcelles ont gelé mais ce n’est pas notre cas au vignoble Palatin Guibert. Nous pensons démarrer les vendanges le 25 septembre avec des degrés sur certains merlots déjà un peu élevés. Mais un assemblage avec les cabernets équilibrera tout ça et nous nous attendons à un très beau millésime même si rien n’est jamais gagné. Croisons les doigts !!!!.
Château Roquevieille
L’enjeu principal est de rester à l’horizon 2050 une terre agricole, viticole, dynamique et attractive pour ses habitants, les entreprises et leurs salariés ainsi que pour les touristes attirés par cette destination. La viticulture en Nouvelle-Aquitaine a façonné nos territoires et forgé notre culture. La vigne et le vin structurent, animent, et dynamisent ainsi une grande partie de la région. C’est pourquoi la transformation de la viticulture en Nouvelle-Aquitaine permettant de concilier les attentes sociétales, le respect de l’environnement, l’adaptation au changement climatique et la préservation de la typicité de ses vins est un enjeu territorial fort aussi bien au niveau régional que local.
Impulser les changements nécessaires pour modeler les territoires viticoles de demain qui devront créer de la valeur, respecter l’environnement et répondre aux attentes des citoyens demande d’atteindre plusieurs objectifs :
Il s’agit d’accompagner les territoires engager un nouveau dialogue autour des pratiques agricoles et des incidences des changements globaux, d’incarner les changements de pratiques afin que ces derniers deviennent des atouts économiques et des facteurs positifs en termes d’image.
Inno’Vin travaille à identifier et intégrer dans le projet les innovations dont la thématique est liée aux ambitions du projet VITIREV, sont appelés à se faire connaître afin de participer à la construction de solutions pour des territoires viticoles durables d’excellence, et bénéficier de l’effet de levier apporté par cette grande opportunité. Contacter Inno’vin
A l’occasion de la dernière édition des Vinitiques, Joël Donadi, de la MSA nous a expliqué la nécessité d’identifier et de mesurer les nouveaux risques pour l’homme au travail, liés à l’évolution fulgurante des technologies dans l’agriculture.
L’évolution fulgurante des technologies et de l’informatique concerne aussi l’agriculture. Elle découle de l’adaptation nécessaire des modes de production aux nécessités contemporaines et offre des perspectives attrayantes. Mais elle génère de nouvelles situations de travail et de nouveaux risques pour l’homme. Il faut donc identifier et mesurer son impact.
Construire un projet d’achat de robot
Bien que ces nouvelles solutions suscitent un vif intérêt, l’achat d’un robot ne peut pas se faire au hasard. Un grand nombre de contraintes vont apparaître lors de sa mise en place avec un impact sur le système de production de l’entreprise qui en fait l’acquisition. L’apparition de nouvelles situations de travail va générer de nouveaux risques. Pour éviter de produire plus d’effets négatifs que positifs et investir à perte dans l’achat d’un robot, il est primordial de bien construire son projet. Afin d’aider les entreprises à réfléchir aux impacts de l’acquisition d’un robot, le Service Santé et Sécurité de la MSA Gironde propose un accompagnement dans la définition des étapes clés d’un projet. Cet accompagnement consistera à définir les tâches concernées et définir les objectifs de gains visés, de rentabilité, d’efficacité, de réduction de pénibilité, d’amélioration des conditions de travail. Ensuite, un travail de réflexion sur l’implantation du robot permettra de choisir la meilleure solution technique disponible en rapport avec les contraintes de l’entreprise.
Les différentes phases d’avancement d’un projet
Idéalement, l’acquisition ou l’implantation d’un robot, d’une machine, d’un bâtiment ou de toute autre solution doit faire l’objet d’une étude approfondie de faisabilité et d’un découpage organisé en phases clairement définies. La prise en compte du changement d’organisation, des nouveaux processus de production, des nouveaux besoins nécessaires, permettra de proposer les formations nécessaires à la montée en compétences des futurs utilisateurs ou des salariés concernés par le changement.
Enfin, une phase de tests et d’évaluation est indispensable pour ajuster si nécessaire le fonctionnement du robot et monter progressivement en charge pour atteindre son fonctionnement optimal. Cette phase permettra aussi d’identifier les risques professionnels qui n’auraient pu l’être préalablement.
La MSA
2ème régime de protection sociale, la MSA gère l’ensemble de la protection sociale de la profession agricole. Elle procède à l’affiliation des actifs agricoles, à l’appel des cotisations et à leur recouvrement. Elle assure le versement des prestations santé, famille et retraite. L’Action Sanitaire et Sociale complète l’aide apportée à la population agricole, en agissant à la fois auprès des personnes et sur leur milieu de vie.
Elle est le seul régime de protection sociale à proposer un suivi et des conseils en matière de Santé au Travail et de Prévention des Risques Professionnels. Ce pôle est un acteur majeur de la Santé Sécurité au Travail, il développe et accompagne les politiques de prévention et d’amélioration des conditions de travail de toutes les entreprises du monde agricole.
Pôle Prévention des Risques Professionnels de la MSA Gironde : 05 56 01 97 52 – prp.blf@msa33.msa.fr
www.msa.fr
Vinitiques
Les Vinitiques sont nées d’une volonté commune du Pôle Digital Aquitaine, du Cluster Inno’vin et des technopoles Bordeaux Montesquieu et Bordeaux Unitec, d’inventer un lieu convivial et propice aux rencontres et aux échanges d’informations entre les filières du vitivinicole et des technologies numériques, électroniques et informatiques. Lancé en 2012, l’événement Les Vinitiques est un rendez-vous bi-annuel à destination des professionnels.
vinitiques.com
Le livre blanc du cabinet Kea & Partners propose 8 pistes pour construire le futur de la filière française. Par Christine Durroux, Senior Partner Kea & Parters ».
L’excédent commercial généré par le secteur vitivinicole français est 4,5 fois supérieur à celui des produits laitiers et 2,5 fois supérieur à celui des céréales. C’est un secteur stratégique pour notre économie, qui doit aussi profondément se transformer pour que la France reste un leader mondial.
Un secteur au confluent de 3 modèles
Les transformations nécessaires impliquent ces 3 dimensions
Télécharger le livre Blanc de Kea&Partners
Kea & Partners intervient depuis près de 20 ans auprès d’une large variété d’acteurs du secteur des vins & spiritueux : groupes multinationaux, maisons et négociants, interprofessions, brasseurs.